Avis sur Fantasmes

Une film magnifique. Le mélange entre le fantastique et l'absurde se noue avec délicatesse. L'acteur Moore, pour l'un de ses premiers films, reste parfait et grandisime. A voir. Sur.

Une bonne histoire, une intrigue donnant lieu à des scènes amusantes, bien interprétée mais manque de rythme.

Comédie à l'humour so british, décalé et absurde. Ce n'est pas forcément drôle, j'ai pas vraiment ri mais c'est inventif bien que cela reprenne le thème de Dorian Gray. Peter Cook est formidable et le film repose sur lui, il a tout fait d'ailleurs sauf la réalisation....Après il faut croire au diable, à dieu et à toutes les légendes mésopotamiennes....

Un chef d'oeuvre érotique , sublime. Raquel Welch incarne la métaphore de la luxure avec brio et volupté.

Quand on a vu Charade on sait que Donen a du génie. Bedazzled est du même acabit mais carrément plus loufoque, barré, débarrassé de toute convention… Certains le décrivent comme l'inspirateur et le papa des Monty Python. Il est la parfaite synthèse entre comédie à l'humour divinement british et conte fantastique (faustien plus exactement), ce qui donne une tonalité folle, absurde, très libre au fond, ce qui en fait un véritable morceau de bravoure du 7ème art. A dévorer sans tarder. God Bless Stanley !

Comme son titre l'indique, "Bedazzled" est une comédie pleine d'histoires & de 'délires' typique de cette époque plutôt rebelle des 70's... Un film à la frontière du cynisme et de l'ironie pour 1 public certifié!

Un comédie vieillotte aux gags totalement éculés,mais surtout peu drôle.Endiablé a le même principe mais reste plus drôle que fantasme.

Même si je n'ai pas détesté le film, ce n'est pas la meilleure comédie des années 60. D'autres comédies m'ont bien plus marqué.
L'histoire, malgré une idée très originale, m'a vite lassée.
J'ai peu accroché au personnage et à ses mésaventures.
La femme dont il est amoureux est peu appréciable (pour ne pas dire antipathique).
Seul le personnage du diable est fun par moment avec ses mesquineries constantes.
À partir d'un moment (au 3ème ou 4ème souhait), on voit où le film veut en venir (le Diable qui va détourner systématiquement tous les souhaits du protagoniste pour qu'ils soient tous indésirables). Les fourberies et vœux déjoués par le Diable commence à lasser.
L'humour très british ne m'a pas toujours séduit. Et si certains gags ont bien marché et m'ont fait sourire, je ne me suis jamais vraiment marré.
Peter Cook et Dudley Moore forme un duo sympathique. La présence de Raquel Welch (bien qu'incroyablement désirable) relève plus du caméo que du second rôle (ce qui est assez dommage vu qu'elle apparaît sur l'affiche).
Au final, une comédie moyenne.

c'est très drôle et très sexy, décalé comme beaucoup de films britanniques de l'époque

Stanley est simple cuisinier dans un petit restaurant miteux. Timide, presque chétif et faiblard, il n'ose pas se déclarer à Margaret, sa collègue serveuse (et aussi chaleureuse qu'un boa). Déséspéré par le vide et la morosité de sa vie, il tente de se suicider. C'est alors que le diable entre en scène et lui propose de changer le cours de sa vie au moyen de 7 voeux en échange de son âme. Cette fabuleuse comédie satirique est excellemment servie par deux acteurs britanniques talentueux : Peter Cook et Dudley Moore, qui avant Fantasmes formaient un duo qui sévissaient déjà sur le petit écran. Attention, l'humour so british est vraiment à son summum. C'est de l'humour fin, piquant, acide, absurde, terriblement sournois mais irrésistible. L'histoire est très fluide, les événements s'enchaînent aisément sans jamais lasser ni ennuyer, et l'on a droit à une belle galerie de personnages tous plus inspirés les uns que les autres. Les péripéties de Stanley débouchent au final sur une saine et sauve moralité qui a le mérite de ne rien imposer lourdement et ce, d'un point de vue narratif plutôt original. Sur ce dernier élément, la technique de focalisation adoptée, et adaptée, tout au long du récit est très bien maîtrisée et permet divers points et angles de vue.

Fantasmes est une comédi, ma foi fort sympathique, le scénario est de qualité mais est simpliste, en clair, satan accorde 7 voeux à un raté mais chaque voeux sera prétexte à gaffe et ressortira tous les mauvais côtés en ressortiront.
Il est clair qe c'est simpliste mais a fonctinne.
les rires viennent, certes l'humour est enfantin mais a fait du bien.
La photographie est vieillote, c'est dmage, a quand une remasterisation?
Les acteurs sont super, le diable est en chacu de nous, il n'y en a pas qu'un, c'est génial aire ressortir ça.
Fantasmes est un excellent film sans être un chef d'oeuvre mais ilmérite largement ses 4 étoiles!

Chef d'oeuvre d'humour britannique, fantasme est vraiment très drôle d'un bout à l'autre, sans la moindre fausse note. Eclats de rire garanti, et une subtilité malgré tout qui permet à ce film de s'élever loin au-dessus d'une bonne partie des films du genre.

Parmi les meilleures comédies des sixties, avec cet humour décalé bien british, pourtant réalisée par l'américain Stanley Donen, cinéaste toujours intelligent et subtil, dans sa manière d'aborder ses sujets et qui signe ici l'une de ses plus belles réalisations.

Sarcastique, irrévérencieux, surréaliste et pop, ne vous fiez pas à ce stupide titre français, choisi pour en ajouter une couche au racolage d'une affiche qui exploitait abusivement l'image de Raquel Welch alors que son rôle est très bref, pour attirer les beaufs vers un film qui les dépasse. Dans ce pur joyau qui annonce déjà les Monty Pythons, notons un monument de loufoquerie avec des religieuses au comportement inattendu et stupéfiant, mais chut, découvrez le vous même.

Un grand bravo à Carlotta pour avoir sorti un superbe DVD de ce chef d’œuvre comme beaucoup d'autres dans son catalogue sans fautes, ah si tous les éditeurs avaient autant de bon goût dans leurs choix. Attention, ce film est strictement interdit aux abrutis goinfrés par les grosses poilades des vingt dernières années, au risque de les voir débarquer sur cette page, le démolir avec une rage indescriptible. Mais bon, vu leur style littéraire, leur critique tombera d'elle même.