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    Le Jour d'après
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    Votre avis sur Le Jour d'après ?

    1 131 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 4 janvier 2008
    Tout simplement bouffon ! Je pense que l'essentiel de l'histoire a dû être pompé sur un épisode de Goldorak. Le jeu des acteurs est du même niveau. Le sommet est probablement la poursuite sur le cargo échoué, là on sent bien le gagman dépressif et au bout du rouleau (à moins que de toute sa vie le scénariste n'ait vu des loups que dans des jeux vidéo, ce qui est possible). Une touche d'humour quand-même, les politiciens: le président qui ressemble à Al Gore et le méchant vice-président qui ressemble à Cheney... Donc à voir à la télé pour rigoler un bon coup éventuellement. Si vous avez payé pour voir ça, c'est la preuve qu'Hollywood a eu raison de vous prendre pour des cons.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 7 décembre 2006
    Mais que ce nanar est comique...
    prévisible du début à la fin.
    Incohérent au possible, pas crédible du tout, ce film est une bouse dont seuls les américains ont le secret.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 19 octobre 2009
    Pour : Le sujet. Contre : Tout le reste, et notamment la façon de traiter le sujet.
    Mais quel gachit! Il y avait tellement mieux à faire... Et pour un sujet qui concerne la planète entière, je trouve tout simplement navrant que seul les américains soient devant l'objectif. On dirait un de ces films catastrophe aux noms débiles (du type "Le train en folie" "Le réveille du volcan" et autres "le jour des tornades"...) et au contenu sans intérêt. La question est: "Pourquoi avoir sorti cette bouse sur grand écran?!" A noter qu'à aucun moment il n'est fait part des causes de ce changement climatique... Evidement, il ne faut pas choquer l'opinion publique américaine.
    selenie
    selenie

    5 523 abonnés 6 035 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 23 octobre 2007
    Les américains font un film soit-disant écolo avec un budget qui ferait un bien fou à l'écologie et réaliser par le pays le plus pollueur du monde !!! gag ! Comme à son habitude Emmerich est l'artisan (mauvais mot pour lui mais bon) d'un film bourrin au scénario classique de n'importe quel film catastrophe déjà vu. La seule et impressionnante qualité sont les effets spéciaux... et encore ils sont utilisés à outrance, sans limite comme si les acteurs étaient à mettre au second plan, que le cinéaste n'a pas d'autres idées (où talent ?!) que de mettre de la synthèse dans le plus de scène possible avec il est vrai l'excuse du jusqu'au-boutisme du scénario (toutes les catas possibles multipliez par 100 et le tout en un temps record !)... Bref c'est débile, peu intelligent tout ce qui faut pour en avoir plein les mirettes sans finesses aucunes.
    heathledgerdu62
    heathledgerdu62

    141 abonnés 1 613 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 avril 2013
    Un film ambitieux !!! Jake Gylleenhaal ( Donnie Darko, Broabback Moutain , Prince of Persia ) est excellent !!!! Un chef d'oeuvre !!! Roland Emmerich est un réalisateur de génie mais il doit faire attention aux gaffes comme Anonymous et 2012 !!!!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 5 juin 2010
    Le Jour d'après est un film laid et stupide, dont les intentions mercantiles ne sont même pas cachées : il s'agit simplement de surfer sur la mode du réchauffement climatique. Artistiquement, c'est tout simplement le néant absolu. Cependant, ça reste un divertissement à l'américaine : de l'action, des effets pyrotechniques, une morale gerbande de niaiseries, à réserver aux amateurs.
    Scavs
    Scavs

    11 abonnés 373 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 mars 2011
    J'avais lu sur des forums de discussions divers que les gens détestaient le film "2012" de Roland Emmerich, MAIS qu'ils avaient plutôt bien aimé voire adoré ce "le Jour d'après" du même réalisateur donc...
    Eh bien après visionnage de ces deux films... soit vous avez la mémoire courte, soit de la merde dans les yeux, ou alors vous avez mûri niveau goûts (je l'espère pour vous), parce que pour moi ces deux films c'est la même MERDE de A à Z, point!!

    L'histoire est creux, les acteurs sont insipides, les dialogues mais au secours, les scènes clichés en veux-tu en voilà, les scènes qui se veulent émouvantes sont pathétiques. Comme pour le film "2012", seul les effets spéciaux des catastrophes naturelles valent le coup d'oeil, sinon ce film c'est le néant! Et bien sûr c'est une pure perte de temps!!
    shmifmuf
    shmifmuf

    159 abonnés 1 761 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 11 janvier 2012
    Fallait s'arrêter au jour d'avant!
    Apocalyptique!! NON
    DRAMATIQUE dans tout les sens du terme!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 2 juin 2007
    On retrouve avec plaisir (?) le realisateur americain le plus comique malgré lui. Si Emmerich prends ses films au serieux , le petit messieur a un grave probléme (lobotomie ?) : si c'est du second degré , alors là , c'est un maitre. RIEN ne tient debout dans ce film , qui a du couté plusieurs fois le budget annuel d'un pays du Tiers-Monde. Lamentable du début à la fin , ce film a quand méme , à l'instar de "Independance Day" ou "Godzilla" , un pouvoir comique hallucinant. Malheureusement pour Emmerich , ce n'est pas voulu ...
    Eselce
    Eselce

    1 221 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 mai 2015
    Si on le prend au second degré, il y a beaucoup de passages amusants, surtout avec les journalistes qui sont face aux tornades. C'est peu convaincant, mais la volonté de rendre le film réaliste est un vrai plus. Les effets spéciaux passent bien et l'histoire nous maintient éveillé jusqu'à demain (haha).
    PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile
    PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile

    319 abonnés 1 372 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 mai 2018
    En effet, Roland Emmerich ne sait faire que du Roland Emmerich. C'est d'ailleurs ce que l'on peut lui reprocher, ne pas forcément surprendre le public, renouveler le genre à sa manière, voir surfer sur le succès des grands classiques, un goût prononcé pour les valeurs sûres, le grand spectacle à tout prix, la surenchère visuelle. D'un autre côté, il fait très bien toutes ces choses, si bien que l'engouement se lit sur le visage des amateurs de blockbusters. Encore un film catastrophe?! Et pourquoi pas? Le sujet, bien qu’extrapolé et exagéré de long en large est tout à fait d'actualité, non? Le réchauffement planétaire, la bêtise humaine, les œillères politiques...tout cela devrait nous interpeller. Au même titre, je sais encore apprécier l'esthétique et la qualité d'un bon film. Savoir mettre de côté les clichés et les invraisemblances scénaristiques permet d'autant plus d'en apprécier le caractère poignant. Depuis sa sortie en 2004, Le Jour d'après aura inspiré bon nombre de tragédies du même genre, dont un florilège de séries B. Remercions le budget qui sans surprise, fait beaucoup. L'idée d'une nouvelle ère glaciaire est tout à fait judicieuse. C'est une rébellion de la nature contre la race humaine. Des grêlons gros comme des poings, des tornades virulentes, raz de marée, tout cela suivit d'une glaciation généralisée et instantanée!! Autant dire que le cheptel humain en prend pour son grade. C'est un réel plaisir de retrouver Dennis Quaid et ses théories scientifiques, œuvré en condition extrême pour retrouver son fils au cœur d'un Manhattan dévasté. Le décor post-apocalyptique est sublime. Mais cela reste très pro américain. Une rengaine qui agace certains, difficile d'y faire abstraction. Mais le jeu en vaut la chandelle, et après toutes ces années, ce film n'a pas prit une ride et se range toujours au rang de référence incontestable en la matière. Incontournable. 4,5/5
    videoman29
    videoman29

    208 abonnés 1 809 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 novembre 2020
    En matière de film catastrophe tout a été dit depuis longtemps. De l'incendie gigantesque de « La tour infernale » à la destruction d’astéroïde dans « Deep impact », il est vrai que les scénaristes ne nous ont épargné aucun caprice de notre chère Dame Nature. Avec « Le jour d'après », le réalisateur Roland Emmerich (spécialiste du film à grand spectacle) nous propose un retour à l'air glaciaire et tant pis pour les frileux. Bien que l'histoire semble un poil « abracadabrantesque », il faut reconnaître que les effets spéciaux font le job en nous proposant quelques scènes de destructions qui donnent (forcément) le frisson. L'action ne manque pas non plus et on suit avec beaucoup d'intérêt les pérégrinations d'un groupe de lycéens qui se retrouvent en classe de neige, bien malgré eux. Les acteurs sont jeunes pour la plupart, mais ils ne manquent pas de charisme et leur prestation est tout à fait à la hauteur des enjeux... preuve que, parfois, la valeur n'attend pas le nombre des années. La vision de Manhattan, balayé par un raz-de-marée puis envahi par les glaces, fait froid dans le dos (héhé) et on ne peut que constater que nos amis Américains sont vraiment les « pros » pour nous distraire avec de telles calamités. Le film fonctionne donc très bien, c'est indéniable, et nous sommes dorénavant prévenus... l'hiver arrive, préparez vos moufles !
    Uchroniqueur
    Uchroniqueur

    116 abonnés 2 297 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 avril 2020
    Roland Emmerich, une valeur sûre du cinéma à grand spectacle des années 90 à 2012. Le Jour d'Après est un film de cette période. Un scénario assez classique mais toujours bien mené, une scène d'ouverture qui vient nous chercher, puis quelques présentations de petites familles façon "mon fils ma bataille" ou "jamais sans ma fille" dans leur petites vies quotidiennes, juste de quoi nous attendrir avant de donner les signes flagrants que quelque chose ne tourne pas rond. Une scène catastrophe subite, à l'autre bout du monde, puis une deuxième et voilà c'est parti ! Alternance de scènes reposantes, voir parfois même totalement ennuyeuses et à peine on s'en rend compte que de nouveaux événements surviennent bousculer le monde entier et nous en mettre plein les mirettes !
    C'est bien mené, bien rythmé et toujours (à l'époque) bien filmé, une mise en scène lisible, des cadrages stables, une réalisation très propre. Scènes de grandes ampleurs, aux quatre coins du monde, de l'humour, des personnages attachants, souvent mêmes parmi les personnages secondaires ou très secondaires.
    Du grand spectacle. Bien mené, qui se laisse bien voir, ici pas de scènes de nuit, d'éclairages stroboscopiques ou autres cache-misère, une durée généreuse, de la vrai musique et non des bruitages achetés au mètres. Un sens de la belle image symbolique et du plan très large. Mais, c'était à la grande époque ...
    Stephenballade
    Stephenballade

    358 abonnés 1 236 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 janvier 2020
    Je suis en colère. Oui, je suis en colère parce qu’en dépit du fait que "Le jour d’après" soit diffusé en cette soirée du dimanche 26 janvier 2020, je considère que ce film devrait être diffusé plus souvent qu’il ne l’est. En effet, il parle d’un sujet de plus en plus préoccupant, celui du changement climatique. Bien avant de s’occuper du terme du calendrier maya synonyme de fin du monde selon certains théoriciens, voilà que Roland Emmerich se penche sur la question environnementale tel un chevalier venu au secours des scientifiques que les politiciens n’écoutent pas. Et il condamne. Il condamne la mise dans les tiroirs des prévisions pessimistes, restées pour ainsi dire lettres mortes. Il condamne les enjeux financiers et économiques malgré le désastre annoncé si rien n'est fait rapidement. Vous savez, ces enjeux qui rendent l’accord de Kyoto totalement inutile. Sans doute le cinéaste a considéré qu’il était anormal que les scientifiques crient à corps et à cris dans le vide. Alors quoi de mieux que le cinéma pour informer, alerter, mettre en garde ? Qu’on aime ou pas ce réalisateur, on doit lui reconnaître cette volonté de porter plus haut le chiffon rouge agité par les climatologues. On le connaît pour ses films à grand spectacle, et bien souvent le spectateur avide de scènes spectaculaires est servi. Mais on le connaît aussi pour avoir cette capacité à exagérer, et de passer par quelques incohérences. Eh bien il est fidèle à sa réputation. Après un générique de début nous faisant découvrir toute la beauté immaculée de l’Antarctique, Emmerich cueille le spectateur à froid (si j’ose dire) par l’arrivée rapide d’une scène spectaculaire avec une belle prise de vue vertigineuse. Oui, les images sont parfois impressionnantes (la faille, le raz-de-marée…), à la fois effrayantes et si belles par la démonstration de force de Dame Nature. On a droit aussi à quelques belles images, comme lors du générique ou de couchers (ou levers) de soleil. Vous l’aurez compris, les images les plus simples et les effets spéciaux nous en mettent plein la vue, ces derniers spectaculaires à souhait quand le raz-de-marée est filmé à la verticale : cela permet de prendre la mesure du désastre. Et encore, ça reste malgré tout assez inimaginable, dans le sens qu’il faut le vivre pour parvenir à se rendre compte de ce genre de truc. Bon, j’entends dire certains que la théorie relayée par Emmerich est fantaisiste. C’est vrai quoi : on parle de réchauffement climatique et on irait vers une période glaciaire ? Allons allons, a priori ça ne tient pas debout ! Eh bien au risque de vous déplaire et de perdre là un certain nombre de mes lecteurs, moi j’y crois à cette théorie. D’abord parce qu’elle existe, ensuite parce qu’elle me semble logique. Il suffit d’y réfléchir deux secondes : après tout, notre bonne vieille planète a toujours fait ce qu’il faut pour maintenir ou retrouver son équilibre, sinon il y a belle lurette que la vie aurait disparu. Et puis il n’y a qu’à observer l’actualité : la Terre se rebiffe et fait toujours plus de dégâts ! Dans tous les cas on doit admettre que le cinéaste s’est bien documenté pour lancer cet énième avertissement, seulement entendu par un million de français, ce que je considère comme étant nettement insuffisant. A vrai dire, moi non plus je n’ai pas été voir ce film au cinéma, l’emploi du temps ne m’en ayant pas laissé l’occasion. Pourtant, ça en valait la chandelle, ne serait-ce que pour le spectacle. Mais si je peux dire que le cinéaste s’est bien documenté, c’est par la présentation (certes rapide) de cette toile d’araignée tissée par la science pour surveiller notre Mère en tout point du globe. Et si j’ose encore affirmer qu’il s’est bien documenté, ce n’est pas seulement pour cette théorie ; c’est aussi par les signes donnés par les animaux, en particulier les oiseaux dont le déplacement en grande masse ne laisse présager rien de bon. Et puis il y a cette montée des eaux, un phénomène attendu et agité tel un spectre devant lequel seules quelques personnes semblent s’inquiéter. Cependant je crois que Roland s’est laissé aller une nouvelle fois à une trop grande exagération : le fait qu’il puisse y avoir plusieurs tornades côte à côte me semble un peu fort de café. Le refroidissement brutal également, ainsi que le court délai du changement climatique. Mais ne fallait-il pas ça pour interpeller de manière définitive ? Moi je pense que si : autant établir un scénario catastrophe pour provoquer une prise de conscience générale. Seulement Emmerich n’y a pas été avec le dos de la cuillère, alors l’effet escompté n’a malheureusement pas eu lieu. La preuve aujourd’hui, seules quelques petites mesurettes sont prises, en aucun cas consécutives au film. C’est déjà ça me direz-vous, mais c’est loin, trèèèèèèèès loin d’être suffisant.
    Si l’effet escompté n’a pas été atteint, c’est aussi à cause de quelques incohérences, matérialisées par un piolet. D’abord je suis surpris par la vitesse à laquelle le climatologue dégaine son piolet dans la faille. Ensuite, lors de son opération de sauvetage à l’échelle de petit être humain insignifiant, il le plante où son piolet lorsqu’un de ses collègues dévisse ? Mmmm ? Ils sont sur une verrière, non ? OoO !!! A cela on rajoute des actes de sacrifice, de bravoure, voire d’héroïsme, et même de morale ! Un vrai film américain, quoi. Mais un film américain qui se respecte en tant que tel. En même temps, c’est du Roland Emmerich, auteur d’un cinéma pas toujours très fin mais souvent efficace point de vue spectacle. On sent tout de même son entière implication sur ce sujet qui concerne la terre entière. Non seulement il condamne comme je le disais plus haut, mais il tombe aussi dans les clichés, comme ces foutues conventions auxquelles on peut s’accrocher de toutes nos forces alors que le caractère d’urgence se fait sentir (l’interdiction d’entrée aux chiens), les gens qui sont bien longs à la comprenette (voilà la flicaille égratignée au passage alors que deux personnes essaient de sortir du taxi piégé), ou encore comme les gens qui ne pensent qu’à leur gueule (le chauffeur de bus). On n’échappe pas non plus à la morale finale présentée sous forme d’un mea culpa. Dans tous les cas, les acteurs font parfaitement le boulot. Que ce soit Kenneth Welsh en vice-Président qu’on détestera rapidement, ou que ce soient les compagnons de Jake Gyllenhaal que sont Emmy Rossum et Arjay Smith (respectivement dans la peau de Laura et Brian). Si je n’ai pas trouvé Jake si formidable que ça en garçon blasé de tout (ou presque), j’ai trouvé une anecdote un peu marrante à propos de Dennis Quaid : en 1987, lors de "L’aventure intérieure", il avait littéralement « habité » un dénommé Jack, lequel repartait sur les chapeaux de roues en fin de film en disant… « Jack à la rescousse ! ». Cette fois, Dennis Quaid est Jack, mais pas le même Jack hein, ça n’a rien à voir. Allez savoir pourquoi je me suis souvenu de ça… Ça n’a aucun rapport !!! Bref passons. J’ai tout de même apprécié Sela Ward (qu’on a davantage vu dans la série "Les experts : Manhattan") en Dr Lucy Hall parce qu’elle amène un peu d’émotion mais surtout parce qu’elle incarne à la perfection l’engagement total dans le sacerdoce qu’elle a choisi de servir tel un capitaine qui coule avec son navire. Mais le personnage que j’ai préféré, c’est Luther, le SDF incarné avec beaucoup de réalisme par Glenn Plummer. C’est pourtant un personnage de second plan, voire de troisième, mais c’est ainsi. Moi-même ignore pourquoi ma préférence va vers lui. Dans tous les cas, il est fort possible qu’un frisson vous parcoure le corps à la fin du film. Non pas à cause d’une histoire à faire froid dans le dos quand on voit ce qui nous attend possiblement, mais certainement en raison du fait d’être plongé dans une ambiance glaciale durant deux heures.
    Après, nous sommes d’accord, ce film n’a pas grand-chose de scientifique, si ce n’est l’exposition de cette théorie. Non ça reste une fiction parce que quand les scientifiques parlent d’un changement brutal de climat, c’est sur plusieurs années (cinq, dix, quinze ans, qui sait vraiment ?). Mais le staff a pris le parti d’un grand spectacle visant à éclairer le public sur un problème qui concerne tout le monde. La raison de ce parti en revient à la difficulté de faire le tour de la question en deux heures à peine.
    Maintenant, à chacun de se faire son propre avis là-dessus…
    halou
    halou

    105 abonnés 1 532 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 septembre 2011
    Film catastrophe catastrophique. Ennui mortel. Emmerich devrait être interdit de cinéma.
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