Avis : Spider-Man 2 - Page 5

Deuxième volet des aventures du tisseur combattant le docteur octopus, cet épisode surpasse son prédécesseur sur certains points, tandis qu'il révèle de l'autre côté des défauts qu'il a du mal à faire oublier. Commençons par le bon et l'approche différente de Raimi sur cet opus. On voit très bien qu'ici c'est le côté émotionnelle qui prime, un peu comme une comédie sentimentale héroïque même si ce genre divise. Raimi met donc spidey face à un dilemme amoureux, essayant de concilier sa vie sentimentale et sa double vie de super-héros qu'il retranscrit très bien malgré un jeu de Kirsten Dunst en deçà de ce que l'on aurait pu espérer, même s'il reste convenable voire bon. On voit donc un Peter Parker tiraillé entre ses deux vies, très bien interpreté par Tobey maguire qui montre aussi un défaut dont je parlerais plus tard . On le voit donc affronter des problèmes quotidiens tel spider-man affrontant des supers villains. Après, nous avons aussi bien entendu un Spider-man plus absent qui affronte un Doc Oc joué par un Alfred Molina au jeu très inégale. On notera d'ailleurs un travail important de raimi dans ces scènes d'actions comme le train ou l’hôpital même si ce dernier accumule quelques problèmes au niveau de sa visibilité. Passons aussi aux point négatifs qui peuvent gêner le visionnage du film. Tout d'abord, le côté comédie sentimentale gêne par moment car souvent répétitif, ça plait ou ça plait pas. Mais attaquons pour moi le plus gros point noir, le jeu des acteurs. Tobey Maguire est très bon en Peter Parker mais son spider-man souffre d'un surjeu qui ruine sa prestation. Ainsi, il nous offre des grimaces laides dans chacun de ses efforts qui, même si on s'y habitue, laisse un arrière goût amer quant à sa prestation. Le jeu d'Alfred Molina est lui aussi décevant car dénué de recherches et rendant son personnage trop fade. Vous l'aurez compris, malgré des défauts gênants, ce film reste très bon et au niveau de son prédécesseur.

Un chef d'oeuvre partant sur des bases solides et finissant sur un twist final mythique.Le film qui m'a rendu aujourd'hui fan des comics marvel et de Spiderman.

La suite des aventures de Peter PARKER est époustouflante. Contre toute attente, Sam RAIMI parvient à nous offrir un spectacle de meilleur facture que dans le précédent. Dans "Spider-Man 2", l'évolution du personnage de Peter PARKER est traitée avec brio. Cela s'explique notamment par l'admirable interprétation de Tobey MAGUIRE, impeccable dans son rôle. Le public s'identifie facilement à lui, et c'est ici que se trouve la force majeure du film. Mais ce qui fait de "Spider-Man 2" un aussi bon film, c'est que le scénario propose un enchainement de scènes efficaces. Rien est laissé au hasard. Tout à un sens. Par ailleurs, le méchant du film, Otto Octavius, est bien plus crédible que son prédécesseur le Bouffon Vert. Il renforce l'intérêt que nous pouvons avoir pour ce film. Enfin, "Spider-Man 2" propose un excellent mélange de scènes d'émotions et d'actions, le tout rythmé par une bande son du tonnerre. Du très bon travail en perspective.

Un deuxième volet réussi !!! Spiderman doit affronter le Docteur Octopus !!! Il doit dévoiler son vrai visage à sa petite amie Mary Jane !!! Mais la rancœur de Harry Osborn envers Spiderman est sans pitié !!! Un excellent film fantastique avec beaucoup de révélations !!!

L'avis de l'ado : Wé Spideurmanne 2 c tro géan mortel de la vi ! L'avis du critique : Un blockbuster américain bien équilibré entre humour et action qui plaira au public peu exigeant. Mon avis : ronfl ronfl ronfl ronfl ronfl

sérieusement je m’attendais a mieux car se film ne m'a pas énormément plus ,même si quelque scène peuvent être marrante il y en a d'autre qui sont vraiment spoiler: chiante
et qui peuvent être enlever du film .

Spider-Man 2 ne fait définitivement pas partie de ces suites de trop qu'on retrouve excessivement dans de nombreuses sagas au potentiel pourtant présent. Après le succès amplement mérité du premier film, il est logique d'en redemander et d'en recevoir de nouveau de la part de Sam Raimi qui balaye d'un coup assez sec les effets-spéciaux simplistes du premier pour laisser place à des affrontements entre Spider-Man et le Docteur Octupus - peut-être bien le méchant le mieux travaillé de la trilogie - bigrement spectaculaires. Après la période de l'adolescence et de la prise de conscience du premier, Spider-Man 2 vise obligatoirement un public plus mature, où l'évolution des personnages dans un monde plus adulte se fait véritablement ressentir (terminé le Harry Osborn douteux et gentillet, place à un fieffé personnage beaucoup plus charismatique à l'esprit vengeur). Hélas pas épargné d'un rythme très différent (plus posé) et d'une petite romance entre Peter et Mary-Jane (toujours d'une beauté naturelle presque poétiquement renversante) offrant quelques séquences un peu niaises sans pour autant être cucul la praline, Spider-Man 2 n'a au final que très peu de défauts, et seul le côté nostalgique et plus ludique du premier volet peut nous guider sur notre préférence envers ce dernier, malgré cet énorme retour en force, évidemment synonyme d'excellente séquelle.

À la limite de la perfection. Ce 2ème volet fait l'exploit de faire encore mieux que le 1er, qui lui, était déjà excellent. La presque-romance entre Peter et Mary-Jane en gaveront certains. Moi, je m'en fiche, elle n'est pas très présente. Ce qu'on retient, ce sont surtout les scènes d'action, tout simplement impressionnantes ! L'un des, voire LE meilleur Marvel de la décennie.

Après le succès phénoménal qu'à engendré la réussite totale du film Spider-Man et la fin proposée par Sam Raimi, il est logique pour ce dernier de rempiler à travers un nouvel épisode.
Si il est difficile de faire mieux que son prédécesseur, Sam Raimi réussit l'exploit de nous émerveiller encore et encore grâce à des aventures toujours plus profondes, toujours plus maîtrisées et toujours plus fluides. C'est ainsi que Spider-Man 2 excelle dans la réalisation, la narration et la mise en scène quasiment parfaite et fabuleuse, offrant non seulement un dynamisme considérable mais une douceur poétique très travaillée, s'intégrant à merveille au film.

Peter Parker a fait son choix... un choix crucial qui décidera du sort de son avenir, de sa vie. Une vie très remplie et pas forcément des plus agréables, marquée par d'immenses responsabilité... La vie d'un héros, la vie de Spider-Man. Un héros tiraillé entre son désir de sauver les gens, son amour pour Mary Jane Watson, le fait d'avoir privé son meilleur ami Harry Osborn de son père, père qui n'était autre que le Bouffon Vert, ennemi de l'homme araignée. Nous verrons ainsi toute la souffrance psychologique qu'endure notre héros tout au long du film, à travers une réalisation menée en main de maître, qui nous plongera pendant près de deux heures dans un épanouissement des plus totales. Nos personnages ainsi que tout ce qui les entoure sont véritablement impeccables et admiratifs... leurs relations, leurs situations, leur évolution sont grandioses et cohérentes. Ces personnages sont, d'autant plus, incarnés par d'excellents acteurs. Nous suivons alors tout ceci à travers un regard qui nous stupéfait devant tant de suspens. Un suspens qui ne s'arrête pas qu'à ces personnages, qui font avancer le récit d'une manière tellement formidable. Ce suspens est présent également durant toute l'intrigue, même si le film ennuie parfois, s'expliquant donc par quelques baisses de rythmes et par un léger manque de vigueur, suscitant quelques peu l'ennui. Les rebondissements sont nombreux, imprévisibles et particulièrement réussis, dont l'intensité et la qualité s'accentuent grâce à une mise en scène vraisemblablement prodigieuse. La beauté narrative regorge dans ce film grâce à l'expression des sentiments et la justesse des dialogues. Toutefois, on peut reprocher au film d'être un peu trop poétique...Si l'œuvre est propre, l'histoire ne doit pas être vu sous un œil aussi dramatique et sentimentale, au point de se concentrer essentiellement sur ça, alors que d'autres aspects du film sont encore à revoir et à améliorer. Nous pouvons prendre comme exemple le conflit entre Spider-Man et le Docteur Octopus, qui manque d'impact. Si le conflit s'avère être tout de même réussi, offrant des scènes d'actions spectaculaires et visuellement impressionnantes, on distingue un léger manque de caractère, un manque de puissance. On aurait aimé un méchant plus approfondi qui soit capable de créer des impacts significatifs dans la vie et l'esprit de notre héros tisseur de toiles. Ici le méchant, bien qu'il dégage un certain charisme, n'accomplit pas son rôle, mais se voit doté d'une certaine originalité psychologique...et même physique, il faut l'avouer.

Si cette suite ne surpasse pas son prédécesseur, elle dégage toutefois une justesse, une beauté et un développement très rare dans les films du genre. Ainsi, Spider-Man 2 brille par sa qualité narrative, son développement maîtrisé de l'histoire, des personnages et des situations, le tout sans rogner sur le spectacle. C'est alors que Spider-Man 2, même si il n'est pas parfait, suscite et attise l'admiration.

Encore meilleur que le précédent opus des aventures de l’homme araignée. Cette fois-ci Sam Raimi réussit à pousser plus loin la psychologie de son personnage (chose rare chez un super-héros) en créant, chez lui, le doute et en le menant vers des interrogations identitaires à la conclusion épicurienne. A coté de cette quête initiatique, les effets spéciaux sont toujours plus nombreux pour pouvoir créer un affrontement particulièrement spectaculaire avec un vrai méchant, le docteur Octopus, bien plus impressionnant que le bouffon vert du premier épisode. Tous les acteurs sont géniaux, de Tobbey Maguire qui nous fait parfaitement partager ses états d’âme à Alfred Molina en génie manipulé par sa propre machine, en passant par Kirsten Dunst toujours aussi belle… sans oublier Bruce Campbell en gardien de théâtre sans vergogne ou J.K. Simmons plus hilarant que jamais dans son rôle de rédacteur en chef hystérique.

Après le carton au box office du premier opus, sony et Marvel envisage logiquement une suite toujours mené par Sam Raimi. Mais le résultat va bien au delà de nos espérances les plus folles. Tout simplement l'un des plus grands blockbusters de l'histoire, un véritable chef d'oeuvre. Peut on d'ailleurs, réellement considérer "Spider man 2" comme un blockbuster, tant il brise toutes les règles de ceux ci ? C'est un véritable film de personnages, qui propose de rares scènes d'actions mais qui sont totalement jubilatoires, une réflexion sur le super héros, une belle histoire d'amour, de passage à l'âge adulte, de responsabilités, sans qu'aucune de ces intrigues ne soit secondaires, Sam Raimi les connectent toutes avec une mise en scène aussi intelligente qu'hallucinante. En parlant de mise en scène on passe du format 1:85 au cinémascope 2:40 1, ce qui donne à cette suite une bien plus grande dimension épique, rendant les scènes de "vol" en spidey cam plus tripantes, les scènes d'actions fourmillent de détails impressionnants. Toujours dans la mise en scène, si sur le premier film Sam Raimi "s'efface" pour faire accepter ses personnages, il se lâche ici complètement revenant à son style comic book qui a fait sa gloire, que ce soit dans les couleurs rougeâtre, ses décarages, ses zooms, ses effets de style ( raccords dans l'axe, jump scared ) propre à son cinéma d'horreur. On a même droit à une véritable scène de film d'horreur, just amazing !! L'amour que porte Raimi à "Spider man" transparait à chaque seconde, perfectionnant son style et sa mise en scène, poussant ses experimentations visuels dans leur dernier retranchement, qu'elles lui soient propres ou tirées du premier film. L'histoire est dans la droite lignée du précédent opus, mais cette fois on quitte le monde de l'adolescence pour entrer dans l'âge adulte, avec tous les problèmes que cela impose, les obligations de Peter Parker le force à renoncer à ses rêves d'amour, d'amitié et de carrière. Après avoir affronté le père, le Tisseur se conffronte cette fois à une version de lui même ( l'araignée et la pieuvre ont tous deu huit membres ) mais qui aurait fait les mauvais choix. Et en Docteur Octopus, Alfred Molina est juste parfait. Toujours dans la lignée du premier film et le traumatisme du 11 spetembre, Sam Raimi questionne la place du super héros dans le monde en lui retirant ses pouvoirs. La consécration de cette reflexion trouve son apogé lors du final christique de la mythique scène du train. Scène aussi spectaculaire que détaillé, brillante en terme de découpage et de cadrage. Elle n'est pas sans rappeller la perfection de la scène du camion dans "Les aventuriers de l'arche perdue" en terme de perfection de mise en scène. "Spider man 2" représente l'apogé du film de super héros, mais c'est surtout un véritable chef d'oeuvre d'auteur.

Second volet au niveau du premier, avec un Tobey Maguire excellent dans ce rôle hésitant entre héros et looser jeune adulte. Le méchant (Docteur Octopuss) est bien dans son rôle et les scènes de combat avec Spiderman sont de très bonnes qualités. Mais est ce surprenant pour un film de Sam Raimi. Un must dans l'histoire du cinéma.

Dans la lignée du premier. Un bon scénario, de l'humour et de l'action bien dosés. On aperçoit pour la première fois la femme du rédacteur en chef ! :) L'histoire avance et promet une belle suite. Il n'y a que les nombreux cris de Mary-Jane qui causent une gêne légère aux oreilles. Mais rien de grave

Sacrifiant sa propre vie au détriment du héros qui l’habite, Peter Parker plonge dans le doute, fragilisé par les secrets et l’énormité de sa tâche. Meilleur que le premier volet, "l'Araignée" revient sous la direction de son commandant de bord, Sam Raimi, en s’affichant comme étant le comic book-movie ultime. Le scénario est une fois de plus brillant, gagnant en complexité et en tragédie. Les effets spéciaux sont plus fluides, certaines envolées donnant véritablement le vertige mais le développement des personnages demeure la priorité et s’enrichissent d’avantage de profondeur. Submergé par les responsabilités, Tobey Maguire accroit en psychologie sa lumineuse interprétation du mal être de son personnage alors que Mary Jane (adorable Kirsten Dunst) lui échappe malgré elle tout en restant sa plus forte raison de vivre. De son côté, l’excellent James Franco est rongé par la haine féroce qu’il voue à l’insecte alors que Rosemary Harris est une Tante May toujours aussi attachante. Survolté comme jamais, J.K. Simmons est à hurler de rire à chacune de ses apparitions et Alfred Molina est un Doc Ock magistral. Un mot qui résume à lui seul le film.

Quand on me demande quel est mon film préféré, je tique parce qu'ils sont nombreux, mais la plupart du temps c'est celui-ci qui revient. Ce n'est pas qu'un « simple » film de super-héros, ou bien plutôt il en est la quintessence. Mais au delà de ça, le film a pour lui cette narration parfaite, où la mise en scène millimétrée et survoltée (jamais tape à l’œil) de Sam Raimi, les gags vraiment drôles (qui sont toujours la traduction du parcours initiatique du personnage), et les séquences d'actions sont toujours au service du récit et de ses protagonistes. Presque chaque ligne de dialogue fait sens au delà de sa simple fonction narrative (« There are bigger things happening here than me and you. », « it's a little heavy », « Peter, I can't survive whitout you ») Non content d'être un morceau de bravoure filmique, le film véhicule des valeurs et une force d'inspiration démentielles et, en plus, arrive à intégrer dans le cadre de son intrigue (et non pas dans des scènes post-génériques rajoutées et déconnectées) des arcs narratifs qui s'étendent sur les 3 films (Marvel devrait y jeter un œil attentif, ça peut aider). Par souci d'humilité je n'aime pas employer ce mot, mais là il n'y en a pas d'autres : c'est un chef-d’œuvre.