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Julien D
1 099 abonnés
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4,0
Publiée le 22 août 2013
Prototype (trop) souvent copié mais jamais égalé du teen-movie à l’américaine, Ferris Bueller’day off a su marquer toute une génération et imposer par la même les stéréotypes de telles comédies. Avec son discours désinvolte et son interaction avec la caméra, le personnage est d’autant plus attachant que le film est, comme savait si bien le faire John Hughes, parfaitement ancré dans l’esprit des années 80, jouant sur l’image et le rythme. Matthew Broderick, même s’il a depuis été relégué au rang d’acteur de seconde zone pour nanars, était pourtant irrésistible dans ce rôle mythique de cancre plein de bonnes idées pour manipuler tout le monde, aussi bien ses parents que le serveur du restaurant. Parmi ses victimes, le proviseur retors qu’incarne Jeffrey Jones est lui-aussi particulièrement hilarant. Le scénario, aussi astucieux que son héros, et la mise en scène survoltée et tout aussi ingénieuse permettent à cette comédie de référence de cumuler des situations surprenantes, comme le caméo de Charlie Sheen, et même des extraits cultes comme le fameux "twist and shout" collectif.
Totalement jouissif, le film est un hymne à la bonne humeur. Probablement LE teen movies des années 80, à voir et à revoir sans modération. Respect Mr Hughes pour votre oeuvre, car ce n'est pas les américan pie et autres bouzes qui viennent relever le niveau actuelle de la comédie américaine.
LE meilleur film d'ados du réalisateur John Hughes. La Folle journée de Ferris Bueller est à la fois un divertissement agréable car l'histoire est pleine d'énergie mais aussi une reflexion interessante sur la vie des personnages. Les seconds rôles sont importants et parfaitement interpretés et la bande son est superbe. Film qui ne vieillit pas, qui ne vieillira sans doute jamais car on en apprend trop et on retient tout tellement ce chef-d'oeuvre du cinéma est marquant. spoiler: Scène du musée: la plus belle scène du film parce qu'on y voit plusieurs choses intenses et émouvantes.
"La vie bouge très vite. Si tu t'arrête pas de temps en temps elle te file entre les doigts." Ferris Bueller est très philosophique comme le prouve cette réplique mais c'est surtout un cancre ou petit con qui sèche souvent l'école!!!! Il en est même à sa 9ème absence du semestre et il est à cours de maladies: il dit même que la prochaine fois il devra vomir ses poumons!!!!! Et c'est pour cela qu'il faut qu'il profite bien de cette journée, une journée sans cours, avec sa petite copine et un copain!!!!! Et c'est que Ferris aime bien se lâcher: il va sur un char au milieu d'un défilé et commence à chanter en play-back et là la foule commence à s'agiter et à danser... Enfin ce n'est rien comparer à ce qu'il y a encore dans le film, et pour voir cela, à vous de regarder le film!!!!!! Matthew Broderick est fantastique dans son rôle tout comme les autres acteurs. Quelques scènes sont vraiment très drôles et on peut dire que John Hughes signe ici une comédie qu'on oubliera pas de sitôt!!!!! Ce film fait dans doute partis des films qui donne la pêche, la bonne humeur car après avoir visionné le film, on a le sourire au lèvre et on est content d'avoir vu le film!!!!!!!!!!! On ne s'ennuie vraiment pas, le film dégage une belle atmosphère, une ambiance cool et quelques scènes sont sans doute classée culte!!!! Après la morale du film n'est pas très encourageante pour l'éducation car elle incite les élèves à sécher les cours... Sinon le film est vraiment très bien, c'est un très bon teen movie de années 80 qu'il faut voir absolument!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Meilleur teen movie de tous les temps !!! Tout le monde veut être Ferris, tout le monde aime bien Cameron, tout le monde trouve Sloan belle... Sauvez Ferris !!!!!!!!
Dans la série "c'est un film que tout le monde semble adorer sauf moi", je demande "Ferris Bueller's Day Off" ! Considéré comme un grand classique des années 80 aux USA, ce teen-movie signé par le non moins célèbre John Hugues semble avoir enflammer une, si ce n'est plusieurs générations. Il s'agit de mon deuxième visionnage et je ne parviens toujours pas à adhérer à l'affaire. L'humour a à mon sens mal vieilli (mais peut-être était-il impératif de découvrir ce film ado ?). Le propos est tout de même sacrément douteux : les profs sont des ringards, l'éducation n'a rien compris et de toute façon ne sert à rien, séchons l'école et profitons de la vie au titre de carpe diem ! Et le héros est un cancre combinard particulièrement irritant, dont on se demande pourquoi il est si populaire dans le film ? Alors pourquoi cette note décente ? Et bien parce que le film aligne tout de même des qualités indéniables. Une jolie mise en scène, offrant une très belle déclaration d'amour à la ville de Chicago. Et, à travers le personnage de Cameron, une évocation largement plus subtil que les autres teen-movies de l'anxiété des jeunes et de la déconnexion de leur parent. Par contre, la distribution pose un vrai problème en terme d'immersion. Si les acteurs déploient une certaine énergie, ils ont la vingtaine bien tassée alors qu'ils sont censés jouer des lycée. La palme revient à Alan Ruck, qui incarne Cameron alors que l'acteur a 30 ans ! Une prestation un peu dérangeante par moment... De son côté, Jeffrey Jones s'éclate en proviseur malfaisant, à la limite du psychopathe de dessin animé, qui traque nos héros. Une belle ironie quand on sait que l'acteur sera arrêté dans les années 2000 pour une sombre histoire d'attouchements sur mineurs ! Anecdote plus mignonne : les acteurs qui jouent les parents de Ferris se rencontreront grâce à ce tournage, et se marieront ensuite.
Le film emblème de la génération 80. Et pour cause ! John Hugues réussit là un coup de maître comme Nicholas Ray avant lui avec sa "Fureur de vivre". Certes, ici, on est loin de la dramaturgie de son aîné, mais "La folle journée de Ferris Bueller", en prenant le parti de la comédie vise toutefois dans le mille. Presque trente ans plus tard, la magie opère encore et on suit avec délice l'évasion de ces trois adolescents à travers la ville de Chicago. Matthew Broderick compose un adolescent sans complexe très réussi, entraînant dans son sillage toute une pléiade de jeunes acteurs talentueux. Et si on rit plus que de coutume, le propos n'en a pas moins un accent doux-amer sur cette jeune génération toujours perdue quelle que soit l'époque qu'elle vit. Un film très réussi, avec en prime quelques scènes cultes, comme la poursuite du proviseur ou la scène de défilé dans les rues de Chicago.
Nul mieux que J. Hughes n'a réussi à représenté les tourments de l'adolescence, bien loin des préoccupations actuelles sur le cul, l'alcool et le sexe. Non, là, on s'intéresse à cet âge où l'espièglerie est reine et où les tourments nous agitent dans des réflexions pertinentes sur notre avenir. On va donc suivre les aventures de cette feignasse professionnelle de Ferris Bueller qui va entraîner plusieurs personnages dans une journée complètement dingue et durant laquelle il sortira de chaque mauvais pas grâce à son culot, son esprit vif et une chance monumentale. Le rythme est enlevé, le scénario brillant, alternant entre gags mortels et réflexions pertinentes, la mise en scène suit, les acteurs sont déchaînés et le tout est agrémenté d'une BO particulièrement jouissive. Bref, il s'agit là d'un véritable mètre étalon de la comédie ricaine, qui inspirera de nombreux auteurs (à commencer par ceux de "Malcolm"), un chef d'oeuvre du teen-movie, un genre noble et intéressant quand il est fait avec talent. D'autres critiques sur
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4,0
Publiée le 5 juin 2011
C'est certainement l'un des teen movie les plus cèlèbres du cinèma amèricain que la plupart des ados des annèes 80 ont placè au rang de film culte! Comment ne pas rèsister au charme juvènile de Matthew Broderick à qui tout rèussi! Ferris Bueller, c'est vraiment le genre de mauvais èlève qui fait craquer toutes les filles! il va même plus loin parce qu'il est carrèment la coqueluche du lycèe et un soi-disant petit ange pour ses parents qui gobent absolument tout ce qu'il dit ou fait...même quand il dècide de sècher les cours pour la neuvième fois de l'annèe! Et bien c'est prècisèment cette neuvième journèe d'ècole buissonnière que l'on suit durant 1h40, une journèe, qui, comme l'indique le titre du film, est complètement folle! C'est ce qui explique sans doute en partie, l'attrait de cette comèdie annèe après annèe, ce côtè dingue, dècomplexè et profondèment insouciant! Un aspect que maîtrise à la perfection le regrettè John Hugues, qui est à la fois ici à la rèalisation et au scènario! Ce dernier, pour accentuer le côtè attachant de son personnage principal, n'hèsite pas à le faire s'adresser directement à la camèra! Un petit truc de mise en scène particulièrement original qui a ètè le premier à utiliser! Quelques scènes sont d'anthologies comme le rembobinage des kilomètres d'une Ferrari luxuriante ou le "Twist and Shout" chantè par Matthew Broderick sur un char en pleine rue, sèquence entraînante et devenue quasi-mythique! Sans oublier dans cette folle journèe, Mia Sara, craquante à souhait, Alan Ruck, vèritable boule d'angoisse (et l'un des futurs passagers de "Speed"), Jennifer Grey, hilarante soeur Bueller et Jeffrey Jones, proviseur tatillon inoubliable qui va en voir des vertes et des pas mûres! Une rèfèrence du genre avec ce regard caustique et très drôle qu'avait John Hughes sur les teenagers amèricains...
Le génie comique de John Hughes explose dans ce film d'une drôlerie immense, et qui ne tombe jamais dans le vulgaire. Le trio d'acteurs principal est tout simplement excellent, et les personnages secondaires sont drôles et excentriques. L'un des meilleurs teen-movies de tous les temps.
Contrairement à ce que laisse la première impression qu'on peut se faire au vu du synopsis (en particulier quand on voit les dernières minutes), La Folle Journée de Ferris Bueller n'est absolument pas une glorification de la paresse des adolescents qui envoient paître le système scolaire. John Hughes est bien trop malin pour mouler le grain d'une vieille génération coincée dans la bien-pensance qu'une vie réussit se résume à une vie entière passée derrière un bureau rangé dans le moule, ce qui fait de son quatrième film une exception aussi incontournable n'est pas la journée en elle-même mais le besoin de liberté qui en résulte. Le vent de fraîcheur délivré par cette journée s'applique à tous les personnages dont chaque spectateur peut s'identifier, n'importe lequel. Au milieu de ce monde ordonné, vit comme un guide omniscient et omnipotent le jeune mais très mature Ferris Bueller, véritable personnification de l'insouciance juvénile que tout un chacun a besoin de connaître au moins une fois. Capable de se permettre de sécher les cours grâce à son ingéniosité et ses efforts ahurissants, transmettant à ses amis comme au spectateur installé derrière le quatrième mur la philosophie qu'il vaut mieux saisir l'instant présent pour s'épanouir plutôt que de le gaspiller au lycée à apprendre péniblement des instructions qui ne mènent nulle part ou à s'enfermer dans une quelconque prison de pensée. Plus qu'une journée de désinvolture contestant le système en place, c'est une exhortation à vivre pleinement sa vie pour ne pas la laisser passer aux futilités de notre existence qui peut parler à tout le monde car il implique tout le monde. Une ode au courage et à la vivacité.
Une nouvelle pépite dans la filmo de John Hugues et même si cela fait très 80's ce n'est finalement pas si démodé et on à beaucoup de sympathie pour " la journée " de ce cancre .
J'adore ce film. Dommage qu'ils n'ont pas fait une suite. J'adore l'humour cool et décalé de Ferris Bueller (loin de l'humour gras et vulgaire des teens movies sortis dans les années 90/2000). Le film est de 1986, à une touche "de années 80", mais bizarrement il fait presque intemporel. Un film à voir et à revoir.