Derniers Avis sur L'Ambulance

L' idée est pas mal mais le role des acteurs est complètement à l'ouest!! Ils sont tous perchés et même les flics m' ont l' air encore plus déconnecté et pas sérieux!! Bref! Ca se regarde une fois mais sans plus....

Malgré une idée originale, le film parait bancal car il oscille entre un certain suspense et de l'humour. Les acteurs la jouent moyen, meme les seconds roles comme le policier qui ne fait pas sérieux. Dommage...

Un film d action , plein de poursuites ,de cascades & de tôles froissées...mais le scenario est vraiment bâclé , pas du tout crédible, meme le montage du film est mauvais avec de nombreux raccords mal ....bref une serie Z bien trop longue et décevante.

Film plutôt insignifiant au premier abord toutefois Larry Cohen parvient à en tirer quelque chose de dynamique et prenant.
L'Ambulance datant de 1990 se retrouve le cul entre 2 chaises, ou plutôt entre 2 décennies et n'a plus vraiment le style des années 80 et pas encore celui des années 90.
Un dessinateur de comics (il y a une brève apparition de Stan Lee) joué par un Eric Roberts (pas à 100% dans son rôle) qui témoin de l'accident d'une jolie jeune femme va enquêter pour savoir ce qu'est devenu la victime, elle a disparu après qu'une mystérieuse ambulance l'a transporté à l'hôpital ; rien d'extra mais une série B plaisante qui se suit avec plaisir pour qui aime le genre.
Sans temps mort avec musique sympa de Jay Chattaway.

Ambulance, fais-moi peur. Le synopsis éclaire déjà bien ses gyrophares. Un dessinateur de comics part a la recherche d'une nana diabétique kidnappée par une veille ambulance. Bon l'ensemble est moyen, un peu guignolesque mais on passe le temps avec un Eric Roberts en mode pile Alcaline. Ensuite nous avons James Earl Jones et Eric Braeden (Les feux de l'amour), puis la cerise sur le gâteau c'est Stan Lee himself.

Ne tirez pas sur "L'ambulance" j'aurais envie de dire à priori, seulement à priori alors parce que c'est loin d'être la régalade cette série B qui n'a d'horreur que son casting ... Eric Roberts est d'ailleurs relégué au fin fond du cast Allociné alors qu'il est juste l'acteur principal ! Sa prestation ici n'est heureusement pas évocatrice de son talent, on le retrouvera d'ailleurs la même année avec James Earl Jones également présent ici dans l'excellent "Best of the Best". Au delà de tout ça, on assiste à une sorte de comédie pas drôle aux accents de suspens mais qui ne fonctionne jamais vraiment. Le scénario quoique hautement invraisemblable avait des atouts mais est tellement mal vendu que l'on sourit plus souvent qu'il ne le faudrait, mais pas aux bons moments cela va de soi. C'est vrai qu'au final, à part l'originalité du métrage, il n'y a pas grand chose à retenir de celui-ci, d'autant que l'on s'ennuie assez souvent face aux différentes situations ubuesques présentées. Dispensable.

Encore un petit film sympa, énergique, sans prétention et qui permet de passer un bon moment. On ne demande rien de transcendant et c’est bien par là que réussit cette série B en se débrouillant avec trois fois rien. Ce qui est agréable, c’est qu’on ne suit pas un flic, un médecin, un pompier… bref ! Il ne s’agit pas là d’un héro ordinaire. Placer ce héros dans la peau d’un dessinateur de comics (participation de la Marvel et de Stan Lee en prime, excusez du peu !) était assez couillu. Surtout quand celui-ci se retrouve dans une histoire digne d’une BD.
Si le principe de départ est assez macho, on l’oublie vite pour se concentrer sur le docteur maboul dont on n’apprendra pas grand-chose. Comme ce qui nous est inconnu est le plus souvent angoissant, on s’en tape de ne rien savoir sur lui. Au contraire, on est encore plus ancré dans l’histoire, inquiet de savoir si ce pauvre dessinateur va résister aux multiples tentatives d’assassinats dont il est victime. Car là aussi, c’est une recette qui fait mouche : le méchant… enfin, les méchants, sont soit complètement débiles soit très malchanceux. Et quand les deux s’emmêlent, c’est carrément hilarant.
Le traitement est très orienté comics évidemment. C’est de là que le film tire toute sa force. Sans temps mort, avec de multiples rebondissements, le réalisateur ne s’endort jamais sur sa caméra. Un peu kitch par moment, pour ne pas dire souvent, cette ambulance-là n’est pas prête à nous rassurer.

L’ambulance est un petit film sympathique, qui s’en sort surtout car, conscient de ses limites, il joue la carte de la générosité avec ses spectateurs.
L’interprétation est plutôt solide, emmené par Eric Roberts. Acteur un peu touche à tout, et, il faut bien le dire, habitué aux séries B surtout, il livre une composition dynamique et entrainante. A défaut de jouer comme un as et d’avoir un personnage tonitruant, il en rajoute un peu, donnant une sorte de caricature un peu cabotine mais tout à fait agréable à suivre dans ses péripéties. Pour le reste il y a quelques acteurs rodés, comme James Earl Jones, Red Buttons, Eric Braeden (première fois que je le vois hors des feux de l’amour !) qui jouent juste et convenablement, et d’autres moins connus, notamment Megan Gallagher ma foi très honorable dans sa prestation. Au final même s’il n’y a pas des lumières du coté des acteurs, ceux-ci font un boulot correct.
Le scénario part sur des bases assez simples, mais va ensuite (pour tenir sur la durée), multiplier les rebondissements, et finalement se désolidariser un peu de sa base originelle. J’imaginais une simple affaire de tueur en série se cachant dans une vieille ambulance achetée d’occasion, mais en fait l’histoire est plus complexe. Cela pourra séduire, mais pourra aussi un peu décevoir, car du coup il y a plus d’action et de cascades, que de séquences purement horrifiques ou de tension. L’ensemble est assez rythmé et se regarde sans déplaisir, même s’il n’y a pas de franche surprise, et si le film ne cherche jamais vraiment à s’extirper de la série B de base.
Sur la forme il faut reconnaitre à L’ambulance une certaine solidité. La mise en scène de Larry Cohen manque c’est certain de relief, et finalement il se contente de suivre l’action comme il peut. La photographie est plutôt quelconque, mais pas laide. Là aussi elle ne fait preuve d’aucune audace particulière, ce qui est un peu regrettable. Les décors sont tout à fait suffisamment pour apprécier le film, mais là encore, il convient de ne pas chercher davantage que le nécessaire. A défaut d’être horrifique, L’ambulance est riche en action, avec des bagarres, des cascades, des courses poursuites. C’est, compte tenu du budget et de l’âge du film assez artisanal, mais toujours efficace, un peu comme dans Maniac Cop III, pour citer un autre film sur lequel a bossé Cohen. En termes de musique L’ambulance n’est pas intéressant.
Au final, voilà une petite série B plutôt divertissante, mais qui se contente de faire honnêtement ce que l’on attend d’elle, sans chercher à surprendre ou se démarquer. En bon artisan Cohen offre un spectacle sympa, mais sans plus, et qui ne s’adressera probablement pas à un grand public aujourd’hui, car trop basique.

Et la terreur revient à New-York! Mais cette fois ci, c'est une ambulance qui la provoque! Une ambulance d'un vieux modèle et qui kidnappe des diabétiques pour en faire on ne sait quoi. Et Eric Roberts, courageux se lance à la poursuite de cet étrange véhicule. Voici donc un film totalement méconnu, tourné avec les moyens du bords mais ce petit thriller arrive sans problèmes à être captivant grâce à une histoire au final assez solide et grâce à un rythme qui ne connait aucune baisse de régime. J'en conviens, la mise en scène est très approximative, le jeu des acteurs est cabotin mais ça fait largement l'affaire. Une petite série B bien troussée.

Surprenante et au combien palpitante Série B de la part de Larry Cohen (Le monstre est vivant - 1974 & The Stuff - 1985) qui ne cesse de nous surprendre avec cette petite production fauchée de 90min qui ne nous laisse que peu de répit.

Avec son intrigue totalement improbable, le film narre l’histoire de Josh, un jeune dessinateur de comics et accessoirement, un gros lourdaud qui drague tout ce qui a une paire de loches. Sauf que sa dernière victime en date fait un malaise au beau milieu de la rue. Josh ne s’avoue pas pour autant vaincu et décide de se rendre à l’hôpital pour continuer de la harceler, pardon, de la draguer. Sauf qu’à l’hôpital, personne ne trouve trace de son admission. Josh décide alors de mener son enquête et il ne tardera pas à découvrir qu’une mystérieuse ambulance kidnappe d’innocentes victimes spoiler: pour le compte d’un médecin véreux (qui fait des expériences uniquement sur des diabétiques, en leur greffant des pancréas de porcs…).


Clairement, on n’était pas là pour le pitch, mais plutôt pour tout ce qui gravite autour. A commencer par un Eric Roberts (frère de…) d’une rare laideur avec sa coupe mulet imposante (et qui doit sans doute l’aider à draguer… allez savoir). Il incarne un dessinateur de comics chez… Marvel et son patron n’est autre que Stan Lee en personne (joli coup de pub). Quant au médecin véreux, il est interprété par Eric Braeden (le "Victor Newman" de l’inter'minable' série télévisée Les Feux de l'Amour).

Passer les présentations, Larry Cohen nous concocte une Série B réalisée à tombeau ouvert, avec une impressionnante course-poursuite endiablée avec la magnifique et rutilante Cadillac Miller-Meteor de 1973. A noter aussi, l’improbable destruction d’une discothèque à grands coups d’ambulance !

Ce film est clairement un sympathique thriller paranoïaque, avec par moment, un certain penchant vers le nanar. C’est d’ailleurs ce subtil mélange des deux qui font de ce film, une Série B qui détonne et se regarde sans déplaisir. A noter que ce film est toujours inédit en France en DVD & BluRay, il n’existe qu’en VHS.

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Malgré une réalisation très moyenne, et ce sur beaucoup de plans, ce qui est caractéristique de ces petites productions du début des 90's, ce thriller médical bénéficie d'une intrigue certe classique mais prenante du départ jusqu'à l'arrivée de cette "ambulance" qui tient donc plutôt bien la route. Remarquons également une petite touche d'humour parfois involontaire (le méchant est hilarant) qui vient améliorer un tout qui, au final, ne s'avère pas si déplaisant qui l'en a l'air.