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    Détective privé
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    Michel Gillen
    Michel Gillen

    9 abonnés 74 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 27 décembre 2023
    policier avec Paul Newman en détective privé, dans un film nulissime, il semble s'emmerder autant que nous. Puisqu'il faut préciser, la réalisation est chaotique, les péripéties de cette histoire se succèdent sans logique et Paul Newman dans ce rôle n'est pas crédible, ses performances où en fin de compte il triomphe des malfrats les uns après les autres ne correspondent pas au personnage. Nous sommes très loin de Humphrey Bogart dans le grand sommeil. Pour preciser, dans ce film génial de Hawks où Marlowe est reçu par le général on ressent l'atmosphère étouffante de cette famille bien que le scénario soit incompréhensible les personnages sont tous révélateurs du caractère odieux de ces malfrats. Rien de tout cela dans ce film à mon avis.
    Y Leca
    Y Leca

    22 abonnés 918 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 mars 2022
    Un des pires films de détective : nanar interminable, sans tension aucune, flirtant même avec l'humour et le burlesque. Seuls intérêts : les yeux de Paul Newman et l'ambiance hippie psychédélique de la West Coast. Pas plus.
    Hotinhere
    Hotinhere

    437 abonnés 4 776 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 février 2022
    Un polar divertissant, qui brille moins par son scénario confus et pas super passionnant, que pour son casting séduisant, avec notamment un Paul Newman très charismatique.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 554 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 juin 2021
    Il semblait que cette affaire de détective durait depuis environ 3 jours quel ennui et quel méandre dans cette histoire. Une étoile parce que je peux regarder Paul Newman et que je peux regarder la côte californienne brièvement. C'était un énorme succès au box-office apparemment et je me demande pourquoi. En fait je me souviens des années 60 et des gens qui étaient toujours défoncés ce qu'il faut certainement être pour regarder ce film et le trouver agréable. Les gens défoncés se divertissent facilement car tout est amusant pour eux et cela doit expliquer la popularité de Détective privé en 1966. Tous les personnages de cette histoire sont antipathiques il est donc impossible de s'investir dans le dénouement. En fait qui se soucie de tout cela car c'est un film ennuyeux et même s'il y a Paul Newman...
    Redzing
    Redzing

    954 abonnés 4 314 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 août 2019
    Harper est un détective privé, embauché par une riche femme handicapée, pour retrouver son mari fraîchement disparu. Il mènera son enquête en Californie, où il affrontera une galerie de personnages troubles. L'écriture de "Harper" fait écho aux films noirs des années 40, et en particulier à "The Big Sleep" : présence de Lauren Bacall dans les deux films, personnages rongés par les vices et noués dans un intrigue nébuleuse, détective détaché, etc. Sauf que Paul Newman incarne ici avec classe un "nouveau type" de détective (dixit lui-même !), chewing-gum en permanence à la bouche, bien plus malin qu'il n'y parait, et insolent aussi bien quand il est exaspéré que quand cela sert son enquête. L'intrigue met quand à elle un peu de temps à démarrer, mais est bien mise en boîte par Jack Smight, et offre une deuxième partie assez rythmée et parfois sombre. "Harper" est donc un polar tout à fait convaincant. A noter que le film est également une référence pour les fans de "La Classe Américaine", de nombreuse apparition de "Dave" étant tirée de "Harper" !
    Max Rss
    Max Rss

    171 abonnés 1 713 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 avril 2019
    A l'époque, le film de détective privé n'a plus du tout la côte. Le genre est oublié. Et l'acteur, la trogne du détective privé par excellence, à savoir Humphrey Bogart, est mort depuis plusieurs années. Ce "Détective privé", signé Jack Smight, n'a que deux objectifs: le premier étant de redonner un second souffle au style. Et le deuxième étant de proposer un divertissement de bonne facture. Objectifs atteints. D'autres films de détectives privés suivront et le divertissement est assuré. Smight ne cherche pas à en mettre plein la vue. Il veut du solide et du pragmatique, rien de plus. L'histoire se suit avec intérêt jusqu'au bout. L'ensemble est bien maîtrisé. Et le charisme de Paul Newman fait le reste.
    Gustave Aurèle
    Gustave Aurèle

    111 abonnés 2 335 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 février 2018
    Un film charmant ce qui veut probablement vouloir dire un brin ennuyeux mais avec un Paul Newman impeccable.
    Fabien S.
    Fabien S.

    472 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 août 2017
    Un chef d'œuvre. Paul Newman incarne un détective privé. Janet Leigh interprète celle qui m'a engagée. En plus , il y a Lauren Bacall et Robert Wagner.
    Adrien B.
    Adrien B.

    17 abonnés 238 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 30 mai 2017
    Paul Newman interprète ici un de ses meilleurs roles. Il est irresistible par son habituel charme et son implacable sens de la répartie. Alliant les deux comme personne il prouve une fois encore pourquoi fait partie des plus grands acteurs du cinema
    mazou31
    mazou31

    82 abonnés 1 266 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 mai 2015
    Film d’époque qui a eu beaucoup de succès à sa sortie. On a aujourd’hui bien du mal à s’intéresser à ce polar à l’histoire confuse, aux personnages sans relief, au rythme bien mou et aux invraisemblances excessives. Voilà l’exemple du film qui ne survit pas au temps – heureusement qu’il y en a qui traversent les décennies sans une ride ! Même les acteurs sont peu convaincants, probablement mal dirigés. Reste Paul Newman, son charme, son charisme, sa classe et sa désinvolture, qui met un peu de lumière dans ce piètre policier. Et en plus il dure 2 heures, durée peu courante à l’époque. Tant pis !
    Plume231
    Plume231

    3 531 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 janvier 2015
    Lauren Bacall, Janet Leigh, Robert Wagner, Shelley Winters, Robert Wagner, Pamela Tiffin, Julie Harris et bien sûr le beau Paulo, soit un casting de gros malade pour ce film noir à cheval entre l'âge d'or du genre c'est-à-dire les années 40-50 et le sporadique renouveau du genre à partir des années 70 et de "Chinatown" de Roman Polanski jusqu'aux années 90.
    Un film à cheval qui a tendance à avoir une réalisation parfois ronflante et plate mais qui est, heureusement, bénéficie grandement de la présence de Paulo dans le rôle principal.
    En détective privé qui balance des répliques cinglantes quand on s'y attend le moins, qui faire preuve d'un sans-gêne à toute épreuve, qui n'hésite pas une seule seconde à user des moyens les plus malhonnêtes pour parvenir à ses fins et même à buter un méchant de sang-froid quand l'occasion se présente, Paul Newman est excellent dans un rôle qui lui va comme un gant. Et ses partenaires ont beau être prestigieux, c'est surtout lui qu'on voit.
    Alors rien que pour le beau et charismatique Paul Newman dans un de ses plus grands rôles, rien que pour ses beaux yeux, ce représentant d'un genre entre deux époques mérite une vision.
    Benjamin A
    Benjamin A

    655 abonnés 1 922 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 mars 2014
    "Harper" (traduit en Détective Privé par les Français) relance un peu les films de détectives, dont la mode était passée depuis quelques temps. On est en plein années 1960 et ça se voit dans le film, on suit un détective qui va devoir retrouver l'époux disparu d'une femme, mais plusieurs obstacles viendront se mettre sur sa route. Le scénario est bien écrit et bien construit, et plutôt intéréssant. C'est aussi porté par la très bonne distribution et en premier lieu Paul Newman, et si ce n'est pas son meilleur rôle, il fait le boulot, son charisme fera le reste, on retrouve Lauren Bacall ou encore Janet Leigh. C'est plutôt sympa et sans longueur, on est pris dans l'histoire et même si l'enquête peut paraitre classique, il y a quand même du suspense. Un bon film, ce n'est pas non plus un incontournable et je doute qu'il en ait l'ambition, juste un bon et charmant divertissement.
    Frederic Koster
    Frederic Koster

    79 abonnés 25 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 mai 2013
    Un bon petit polar, avec une bonne intrigue et une ambiance très sixties.. Et qu'est-ce qu'il était beau Paul !!!
    cylon86
    cylon86

    2 289 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 avril 2013
    Après la mythique figure imposée par Humphrey Bogart, voici Paul Newman dans le rôle type d'un détective privé. Pas de chapeau à feutre mou ni de cigarette mais avec un simple costume-cravate et un chewing-gum perpétuellement fourré dans sa bouche, Newman compose Lew Harper avec délice, se frayant un chemin dans une affaire de kidnapping qui implique différentes personnes. L'intrigue n'aurait pas été reniée par Chandler, regorgeant de personnages tous impeccablement interprétés (de Robert Wagner à Lauren Bacall en passant par Shelley Winters) et réservant son lot de surprises. On se laisse prendre tout au long du film et le flegme de Paul Newman, évoluant sous un soleil californien pour trouver le fin mot de l'histoire ne manque certainement pas de charme.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 029 abonnés 4 097 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 juillet 2023
    Dans les années 1930, la Warner avait connu son heure gloire avec les films de gangsters puis dans les années 1940 avec les films de privés interprétés par Humphrey Bogart sa star inconditionnelle de ces années aux côtés d’Errol Flynn dans le registre des films d’aventures. “Le faucon maltais” (1941) de John Huston inspiré du roman éponyme de Dashiel Hammet et “Le grand sommeil” (1946) d’Howard Hawks inspiré de Raymond Chandler avaient gravé dans l’inconscient collectif les noms de Sam Spade et de Philip Marlowe et imposé de manière définitive Humphrey Bogart comme l’un des plus grands acteurs d’Hollywood.
    Dans les années soixante qui voient vaciller dangereusement le trône sur lequel étaient jusqu’alors assis les grands studios, tout est envisagé pour tenter de stabiliser la situation . L’idée de relancer le privé en actualisant son image aux temps nouveaux fait son chemin quand Elliot Kasner et Jerry Gershwin, deux jeunes producteurs qui viennent de s’associer décident de confier à l’écrivain William Goldman l’adaptation d’un roman policier la série Lew Archer née de l’imagination fertile de Ross MacDonald considéré alors comme le premier héritier des deux auteurs cités plus haut. Le choix de Goldman se porte sur “The moving target”, le premier roman de la série paru en 1949.
    Goldman pense tout d’abord à Frank Sinatra qui refuse le rôle (peu de temps après l’acteur endossera le rôle du détective Tony Rome pour deux films réalisés par Gordon Douglas). Paul Newman entre alors en piste, cherchant un rôle plus en rapport avec ses aspirations et son registre après avoir vécu une expérience malheureuse avec “Lady L”, le film en costumes de Peter Ustinov. Le nom du détective se change en Harper sur demande de Newman qui pense qu’un titre commençant par un “H” lui portera chance. Allusion directe à “The Hustler” (1961) de Robert Rossen et “Hud” (1963) de Martin Ritt, deux de ses interprétations les plus marquantes mais aussi deux très gros succès. Jack Smight ancien réalisateur de télévision sous contrat pour six films avec la Warner pour laquelle il vient de réaliser le film à suspense “Le témoin du troisième jour” est adoubé par Newman qui apprécie son travail.
    Le scénario écrit par Goldman place Lew Harper (Paul Newman) dans une situation similaire à celle de Philip Marlowe quand après un réveil difficile dans la chambre qui lui sert de bureau (où l’inverse), Harper conduisant jusqu’aux quartiers chics de Los Angeles, débarque dans la superbe villa d’un homme d’affaire dont l’épouse (Lauren Bacall) lui demande de rechercher celui-ci dont elle est sans nouvelle depuis qu’il a atterri avec son homme de confiance (Robert Wagner) en provenance de Las Vegas. Lauren Bacall, veuve de Bogart, superbe de classe et de suffisance dans un rôle plutôt court jette immédiatement le pont avec “Le grand sommeil” évoqué plus haut. Paul Newman n’a dès lors qu’à bien se tenir.
    Malgré quelques imperfections, il va se montrer tout-à-fait à la hauteur dans un rôle plutôt nouveau pour lui. L’acteur qui a fait ses gammes à l’Actors Studio et longtemps été vu comme un concurrent de James Dean a eu bien du mal à s’émanciper des tics inculqués par Lee Strasberg. Une tendance à appuyer ses effets favorisée par les rôles de rebelles qui sont jusqu’alors les plus emblématiques de sa carrière comme “Marqué par la haine” (Robert Wise en 1956), “Les feux de l’été” (Martin Ritt en 1958), “ Le gaucher” (Arthur Penn en 1958), “La chatte sur un toit brûlant” (Richard Brooks en 1958) ou encore “Le plus sauvage d’entre tous” (Martin Ritt en 1963). Souvent des adaptations de romans sudistes de William Faulkner, Tennessee Williams ou Larry McMurphy propres à l’extériorisation paroxystique mais aussi un peu pesante des passions humaines. Arrivant juste après Marlon Brando et James Dean qui avaient ouvert la voie avec Elia Kazan et Nicholas Ray, Paul Newman ne pouvait objectivement se soustraire à l’exercice. D’une nature plus introvertie, son jeu s’adapte assez mal à cette méthode dont il faut bien avouer qu’hormis au génial Marlon Brando, elle n’a pas servi à beaucoup d’acteurs qui à l’instar de Newman ont dû cheminé parfois longuement pour révéler leur nature.
    La maturité arrivant, Newman semble avec “Détective privé” sur le chemin d’une émancipation qui n’est pas encore tout-à-fait intégrée à son jeu. Notamment concernant les petites expressions narquoises ou désabusées de Lew Harper qui parfois tombent à plat. Mais observons tout de même que ce film précis marque un tournant pour les deux décennies à venir qui vont révéler Paul Newman comme le très grand acteur qu’il était, atteignant son Graal avec l’indépassable “Verdict” de Sidney Lumet alors âgé de 57 ans. Quoiqu’il en soit, c'est bien Paul Newman avec Lew Harper qui le premier a donné au privé son allure désinvolte des années post Bogart. Dans ses pas s'engouffreront Frank Sinatra (Tony Rome), Robert Mitchum (Philip Marlowe) et Elliot Gould (Philip Marlowe) mais aussi Jeff Bridges, l’inénarrable Duc dans « The Big Lebowski » (1998) des frères Coen ou encore le souffreteux Art Cartney (Ira Wells), détective ulcéreux sur le retour dans le trop méconnu « Le chat connaît l’assassin » (1977) de Robert Benton.
    On l’a dit, la trame du film fondateur que fut "Le grand sommeil" est en grande partie conservée autour d'une disparition qui mène le détective sur de nombreuses fausses pistes, prétexte à la découverte d'une faune interlope aux mœurs étranges. La déambulation urbaine est de rigueur mais les décors chers à Hawks ou Huston ont été remplacés par un Los Angeles ensoleillé. Jack Smight est certes un réalisateur sans grand génie mais le scénario écrit par William Goldman relance l'action très efficacement, permettant aux divers personnages de prendre corps. Le casting haut de gamme renvoyant très lestement la balle permet à Paul Newman d’avancer en toute quiétude sur un chemin très judicieusement balisé. Du très suave Robert Wagner en play-boy amoureux à la toujours aussi piquante Janet Leigh en instance de divorce d’un Harper auquel il lui est difficile de résister en passant par Julie Harris toujours parfaite pour exprimer la souffrance psychique, Shelley Winters en ex-starlette alcoolique ou encore Arthur Hill en avocat sur la corde raide, les personnages hauts en couleurs ne manquent pas. Le tout est magnifiquement filmé par le grand chef opérateur Conrad L. Hall oscarisé trois fois dont deux pour des films avec Paul Newman. Une vraie réussite qui poussera Paul Newman à reprendre le rôle neuf ans plus tard avec « La toile d’araignée » dirigé par son ami Stuart Rosenberg qui permet de mesurer les progrès accomplis par l’acteur passé depuis par “Luke la main froide” (Stuart Dosenberg en 1967) , “Butch Cassidy et le Kid” (George Roy Hill en 1969) et “Le clan des irréductibles” qu’il a lui-même réalisé en 1970. Un film encore inspiré d’un roman de Ross MacDonald très injustement sous-estimé.
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