Avis : Le Grand Blond avec une chaussure noire - Page 9

Quand j'étais gamin, je ne pouvais voir ce film, sans sauter de mon siège et me rouler par terre de rire. La quintessence de la rhétorique Richardienne.

Le must des comédies française des années 1970. Scénario parfait, acteur excellent et surtout le rythme et l'absence de formatage, ce dont est incapable les comédies française des années 2000 !

Ce film a pris de grosses rides bien qu'il reste une valeur sûre de la comédie "à la française". Servi par des acteurs au charisme sans pareil (Richard, Rochefort, Blier, Darc, Carmet, Le Person...), "Le grand blond avec une chaussure noire" est aussi une satyre dénonçant l'influence délétère des services secrets. Pierre Richard en fait moins que dans ses 1ers films tout en étant plus naturel. Les gags, variés, font mouche, bien que souvent éculés. La scène des cheveux coincés dans la braguette, qui aurait pu paraître déplaçée dans d'autres circonstances, est irrésistible. Le duo François Perrin-Maurice : une amitié improbable entre un violoniste pro et le beauf de base. Il va être manipulé par l'inquiétant et machiavélique Toulouse, son énigmatique bras-droit Perrache et le faussement débonnaire Milan. Le coup de foudre entre François et Christine va bouleverser les plans des commanditaires. A voir et à revoir sans modération.

Très bonne comédie d'espionnage française. Meilleur rôle de Pierre Richard sans doute. Mireille Darc en blonde séduisante. Histoire assez sympa. Allusion à peine dissimulée à James Bond.

Malgré toute l'affection que l'on peut porter au film, ce dernier a terriblement vieilli...On a connu Francis Veber (ici au scénario) et le réalisateur Yves Robert plus en verve.

Reste la partition de Vladimir Cosma...

Comédie française culte, "Le grand blond avec une chaussure noire" se démarque surtout de par son humour frais et redoutablement efficace, les mimiques tordantes de Pierre Richard, et son scénario totalement déjanté, qui offre des quiproquos hautement jubilatoires et jouissifs. Mais ce serait cruel de ne pas parler de la sublime Mireille Darc et de la fantastique musique de Cosma en faisant l'éloge de ce film. Certes, il a vieilli, mais il n'en reste pas moins une bonne comédie!

Excellent scénario de départ, et des rebondissements, qui donnent lieu à des situations cocasses! dommage que les gags ne soient pas plus drôles que ça, même si on passe un bon moment.

Vraiment une comédie française comme on n'en fait plus. Ce qui manque aux comédies d'aujourd'hui, ce film en est un condensé! Des gags francs et simples, mais efficaces, des dialogues qui font mouche et des acteurs qui jouent juste. Ainsi qu'une histoire un minimum ridicule pour ponctuer le tout. Très bon moment.

Le Grand Blond avec une Chaussure Noire est un comédie française qui mérite ce statut de culte.
Les situations sont très drôles. L'histoire va de surprises de surprises. On reconnaît la patte de Jacques Veber dans l'écriture.
Les acteurs sont très bons : Pierre Richard dans son registre habituel de M. Catastrophe, Jean Rochefort, Mireille Darc (en femme fatale), Bernard Blier ou encore Jean Carmet.
Le thème musical composé Vladimir Cosma est très connu (même si on ne l'assimile pas forcément à ce film).
Par contre, les bruitages des coups de feu sont très perturbants (car ne ressemblant pas du tout à des coups de feu).
Très drôle film.

C'est l'une des meilleurs comédies d'espionnage qui soit. C'est aussi le meilleur rôle tenu par Pierre Richard ! Les autres interprètes aussi sont parfait à commencer par Bernard Blier, mais aussi Jean Rochefort ! Un très grand film !

Une bonne idée de départ (faire jouer à un pauvre type distrait le rôle d'un dangereux espion international), du beau monde (Y. Robert, F. Veber, Rochefort, P. Richard, B. Blier, M. Darc, J. Carmet...) suffisent à parler de réussite concernant ce "classique" des années 70. Et il est vrai que parmi tous les navets de ces années là dans le genre comédie à la française, il se détache. Mais il ne faut pas regarder de trop près les invraisemblances ou la redondance des ressorts comiques.

Une (la) meilleure comédie de Pierre Richard. Géniale histoire d'espion, avec des gags toujours plus innovants et frais. On rit à s'en décrocher la machoîre pendant toute la durée du film, et on est pas déçu par la fin. C'est du grand art, longue vie au roi Richard !!

Il fait incontestablement partie des films de patrimoine de notre cinéma hexagonal. Il existe totalement dans cette liste d’œuvres que l’on adore regarder le dimanche après-midi, persuadés que nous serons, de passer de toute façon un bon moment.

https://leschroniquesdecliffhanger.com/2022/12/06/le-grand-blond-avec-une-chaussure-noire-critique/

Tout de suite, la musique de Vladimir Cosma donne le ton. C’est une époque, c’est invariablement un univers, cette musique du Grand blond, c’est tout Pierre Richard, c’est tout Yves Robert.

Et puis évidemment, Pierre Richard et ses yeux bleus du distrait romantique, qui fait des bulles, et déjoue involontairement en accumulant les gaffes et les chutes, comme lui seul sait faire, tous les pièges des hauts dignitaires du renseignement français ; Jean Carmet complètement déphasé, en proie à des hallucinations sonores et visuelles ; L’envoutante Mireille Darc, au magnétisme fou et à la robe suggestive la plus sexy du cinéma français.

Le Grand Blond avec une chaussure noire, c’est une accumulation de pépites, scènes après scènes, ça respire une forme de bonheur cinéphile ambiant, entre la mise en scène, la narration, cette musique et des acteurs qui s’en donnent à cœur joie. A voir et revoir inlassablement.

Une comédie française culte et drôle de Yves Robert avec un scénario audacieux, un Pierre Richard hilarant, des dialogues bien écrits et un casting en or.

Un homme est pris par erreur pour un agent secret. Quel plaisir de retrouver une brochette d'acteurs du calibre de Pierre Richard, Jean Rochefort, Bernard Blier, Mireille Darc et Jean Carmet. Le scénario de Francis Veber est excellent, plusieurs scènes du film sont cultes : celles entre Rochefort et Blier (sommet du faux cul), celle avec Mireille Darc et le pantalon enfin celle avec Carmet et la camionnette.
On rit souvent avec ce plaisir nostalgique, du temps ou la comédie n'était pas une excuse pour afficher sa vision politiquement correcte du monde.