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    Moi, Peter Sellers
    Note moyenne
    3,2
    23 titres de presse
    • Ciné Live
    • France Soir
    • Le Figaro
    • Le Point
    • Positif
    • Première
    • Rolling Stone
    • Studio Magazine
    • TéléCinéObs
    • Aden
    • L'Express
    • Le Monde
    • MCinéma.com
    • Télé 7 Jours
    • Télérama
    • Télérama
    • Zurban
    • aVoir-aLire.com
    • Cahiers du Cinéma
    • Chronic'art.com
    • Le Monde
    • Les Inrockuptibles
    • Zurban

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    23 critiques presse

    Ciné Live

    par Laurent Djian

    Voir la critique sur www.cinelive.fr

    La critique complète est disponible sur le site Ciné Live

    France Soir

    par Richard Gianorio

    Dans Moi, Peter Sellers, Geoffrey Rush brouille (...) les cartes en se métamorphosant littéralement en Peter Sellers, le célèbre inspecteur Clouzot de La Panthère rose dont ce biopic s'emploie à révéler la face cachée.

    Le Figaro

    par La rédaction

    Voir la critique sur www.lefigaro.fr

    Le Point

    par François-Guillaume Lorrain

    Voir la critique sur www.lepoint.fr

    La critique complète est disponible sur le site Le Point

    Positif

    par Yann Tobin

    Malgré les clichés du récit et l'innocuité de la réalisation, une belle idée de scénario permet à Rush de faire de Peter Sellers un personnage à la Peter Sellers. (...) Jubilation et mimétisme.

    Première

    par Gérard Delorme

    Résumer en si peu de temps la vie du comédien Peter Sellers tenait du défi impossible. Stephen Hopkins le relève pourtant avec un succès indéniable, grâce à la concision virtuose du scénario et à une excellente interprétation dominée par Geoffrey Rush, fidèle à l'esprit et à l'image du comédien dément.

    La critique complète est disponible sur le site Première

    Rolling Stone

    par Sabine Gros La Faige

    Sans tomber dans l'apologie (ou dans l'effet inverse), le film a le mérite de dévoiler toutes les facettes de Peter Sellers: celles de l'acteur de génie, doté d'un sens comique inégalé et d'un don stupéfiant pour la composition (...). Sous les traits de Geoffrey Rush, formidable de justesse, Peter Sellers ôte le masque de l'artiste ùaudit et entre enfin dans la lumière.

    Studio Magazine

    par Patrick Fabre

    Voir la critique sur www.studiomag.com

    La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine

    TéléCinéObs

    par Olivier Bonnard

    Loin de l'hagiographie que l'on pouvait redouter de la part d'un honnête faiseur tel que Stephen Hopkins, ce film passionnant s'attache à mettre en lumière la part d'ombre du célèbre comédien transformiste.

    Aden

    par Philippe Piazzo

    En somme, on voit, de loin, la folie qui est l'équilibre même de certains très grands comédiens, à la fois transcendés et détruits par leurs métamorphoses. Mais quand le film aborde ce rivage, c'est avec une lourdeur explicite dommageable. Quand il l'évite, ne reste que la superficialité des bios express pour magazines.

    La critique complète est disponible sur le site Aden

    L'Express

    par Christophe Carrière

    Voir la critique sur www.lexpress.fr

    Le Monde

    par Thomas Sotinel

    Cette tranche napolitaine cinématographique resterait tout à fait fade sans le travail assez prodigieux de Geoffrey Rush. L'acteur australien est capable d'égaler son modèle (...) Mais le scénario garde des pudeurs mal placées qui empêchent Geoffrey Rush d'aller plus avant. Et la mise en scène est de celles qui mettent en avant le travail du décorateur et de l'ensemblier.

    MCinéma.com

    par Hugo de Saint Phalle

    Rien à redire sur sa mise en scène, pas flamboyante mais parsemée ici ou là de quelques astucieux effets de style. Pas grand chose à critiquer non plus du côté du casting, chaque étoile tenant son rang bien sagement. Le problème c'est que (...) Moi, Peter Sellers finit par ennuyer. A cause de sa forme narrative beaucoup trop classique. A cause également de la lourdeur qui entoure le personnage principal.

    Télé 7 Jours

    par Gérard Lenne

    La biographie d'un acteur est toujours un défi au cinéma, tant il est difficile à l'interprète de créer durablement l'illusion. Le talent de Geoffrey Rush n'est donc pas en cause s'il ne convainc pas vraiment.

    Télérama

    par François Gorin

    (...) ce qu'on connaît de l'acteur n'est jamais assez bien recomposé, et ce qu'on pense découvrir de l'homme, toujours un peu décevant.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    Télérama

    par Pierre Murat

    De toute évidence, Stephen Hopkins a souhaité le plus possible décoller de la réalité. Lorsqu'il y parvient, le film s'éveille (...) Si l'on excepte ces quelques échappées absurdes, le film est, malheureusement, d'une platitude absolue. Le voir en compétition à Cannes relève de l'insondable et de l'inexpliqué. (critique cannoise)

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    Zurban

    par Addison De Witt

    Les amateurs de Peter Sellers (...) doivet courir voir cette biographie romancée du comédien, (...) surtout pour déguster l'éblouissante performance de GeoffreyRush, hallucinant dans le rôle-titre.

    aVoir-aLire.com

    par Romain Le Vern

    Maîtrisant parfaitement ce sujet qui le fascine, le réalisateur signe présentement un film dense et souvent passionnant qui, en dépit de son académisme plombant (...), fustige l'exposé didactique.

    Cahiers du Cinéma

    par Jean-Philippe Tessé

    Moi, Peter Sellersmange son sujet tout cru et recrache une pelote de chouette: paquet d'os du Sellers englouti, dont on ne sait rien de rien, et dont on voudrait faire taire l'énigme hurlante en l'étouffant sous un tas d'inepties et de psychologie de comptoir.

    Chronic'art.com

    par Jean-Philippe Tessé

    Moi, Peter Sellers ne fait que tirer de pauvres ficelles. Le côté "attention génie" du film et sa manière d'empoigner bêtement l'habituelle ritournelle sur l'acteur (...) l'emmènent directement au terminus de la psychanalyse pour les nuls.

    La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com

    Le Monde

    par Florence Colombani

    Le film reconstitue maladroitement quelques scènes fameuses de l'histoire du cinéma, convoque une série d'acteurs chargés d'imiter David Niven ou Britt Ekland. Stephen Hopkins manque trop de finesse dans l'appréhension de ces zones d'ombre pour réussir son film et nous laisse rêver du jour où Geoffrey Rush trouvera son Stanley Kubrick. (critique cannoise)

    Les Inrockuptibles

    par La rédaction

    Un médiocre biopic consacré à la vie du génial acteur comique anglais.

    La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

    Zurban

    par Mathieu Dupont

    Hopkins s'en tient à une narration simpliste et ne donne pour explication du caractère brutal, narcissique et régressif de Sellers qu'une mère matrone et castratrice. Geoffrey Rush fait de son mieux, en fait même trop (...) mais reste un bon comédien imitant un bon comédien. Hopkins sait filmer les monstres (...) il a plus de mal quand ils sont sacrés. (critique cannoise)

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