Avis : Star Trek : Premier contact - Page 2

Pas trop ridicule, à part l'espèce de Chewbacca pour lequel le costume est manqué, bestiole qui possède moins de poils que l'original bien sûr. L'histoire est compréhensible par le commun des mortels, bien que certains passages soient ultra capillo-tractés, notamment quand le robot vert se fait expliquer l'organisation des "borgs". L'ensemble est assez intéressant à suivre.

L'un des meilleurs de la nouvelle génération : un excellent scénario qui mêle d'anciens ennemis, de l'histoire du futur, toutes les capacités du vaisseau et la psychologie d'un capitaine un peu perdu.

D'un 1er abord plutôt prenant ce Star Trek : Premier contact est finalement comme la plupart des transpositions de Star Trek au cinéma décevante. Au début Premier contact semble assez ambitieux avec notamment des combats spatiaux (bon c'est pas Starwars mais un effort est fait) de plus l'histoire semble assez recherchée et un côté sombre est présent donc tout cela est engageant. Malheureusement patatra au bout d'une demi-heure ce space-opéra sombre dans un manque de rythme, une mise en scène peu ambitieuse (toujours cette impression de téléfilm plus que de film pour le cinéma) et un casting pas toujours heureux qui incarne des personnages pas forcément passionnant à l'exemple du professeur Cochrane ridiculement interprété par James Cromwell. Même Jerry Goldsmith signe une musique très classique limite fade. Il faut se rendre compte à l'évidence seuls les aficionados de la série trouveront leur plaisir.

Je suis pas fan de Star Trek et est vu cet épisode en total inconnu de la mythique saga. Mon avis n'est pas celui d'un expert, mais celui d'un cinéphile moyen: Un bon film pop corn qui se rapproche plus des séries B que des films à la "2001", toute fois de très bonnes idées de science fiction qui font plutôt réfléchir sur la philosophie du genre. Ajoutez à ça un très bel ésthetisme, et vous aurez un film de science fiction, sérieux bien qu'un peut flashy.

Un nouveau Star Trek découlant de la série Next Generation. C'est long, ça n'apporte rien, c'est sans grand intérêt mis à part les effets spéciaux qui sont assez sympathiques et Patrick Stewart digne remplaçant du Capitaine Kirk en temps que leader de l'enterprise.

« Toute rèsistance est inutile ! » Huitième volet d'une saga interminable, "Star Trek: First Contact" ne cesse d'alimenter une science-fiction toujours en quête d'idèes farfelues! Depuis 1979, l'univers « Star Trek » a toujours la côte chez les aficionados du genre! En parti homme et en parti machine, monstres parfaits, afin de dominer la galaxie, les Borgs procèdent à l'èlimination de l'individu! Leur seul obstacle ? Le dernier vaisseau libre de tout l'univers : l'USS Enterprise (NCC-1701-E). Dèsamorcez votre puce d'èmotivitè, c'est reparti pour une nouvelle aventure dans l'espace en compagnie cette fois de robots zombies appelès « Borgs » . Humour ( « Ça fait suèdois ! » ) et effets spèciaux sont au menu pour des « Borgs » qui rèsonnent en troisième dimension tels des humains! En fait, ils attaquent le passè pour assimiler le futur! il faut donc les suivre dans le passè et rèparer tous les dègâts qu'ils ont fait! C'est anecdotique mais le film a reçu une nomination à l'Oscar du meilleur maquillage! Ont suivi "Star Trek: Insurrection" et "Star Trek: Nemesis" pour clore la saga avec Patrick Stewart alias le capitaine Jean-Luc Picard...

Premier véritable long-métrage mettant en scène uniquement les personnages et l'univers de "Star Trek : The Next Generation", ce huitième opus délaisse la médiocrité du précédent film pour se consacrer à une aventure riche en action et en rebondissements, renouant brillamment avec l'esprit de la série. Remettant sur le tapis les fameux Borgs (nouveaux extra-terrestres à moitié bioniques issus de la série TV), Premier contact se révèle être un long-métrage très sombre, jouant avec la part d'humanité du Capitaine Picard, lui qui a été autrefois asservi par les terrifiants aliens... Le scénario, rocambolesque au possible, nous entraîne dans le passé, au 21e siècle plus précisément, la veille du Premier Contact, jour historique où humains et extra-terrestres issus de différentes galaxies se sont enfin rencontrés, créant dès lors une alliance entre les différentes races de l'univers. C'est ce jour-ci que les Borgs veulent empêcher en retournant dans le passé et en tentant de tuer l'homme responsable de cet évènement historique. Mais c'est sans compter sur les membres du fringant nouveau Enterprise-E qui va tout faire pour contrer les Borgs. Autour d'une mise en scène incroyablement dynamique et surtout visuellement époustouflante (la meilleure à ce jour), ce huitième film joue donc la carte de l'action et de l'originalité. Les néophytes auront bien sûr du mal à connaitre les nombreux personnages mais les fans s'amuseront à nouveau des incompréhensions humaines de l'androïde Data, des répliques fumeuses de Picard et son second Riker sans oublier la bestialité du Lieutenant-Commandant Worf et l'incroyable prestation d'Alice Krige dans la peau d'une Reine Borg aussi séduisante que terrifiante. Ainsi, outre son fantastique scénario, son approche beaucoup moins bavarde et son humour plus contenu, Star Trek : Premier contact bénéficie aussi de monstrueux effets visuels surprenants d'efficacité, que ce soit pour la conception de la Reine Borg, lors de combats explosifs encore de plans larges hallucinants (le plan d'intro pour ne citer que lui). Jonathan Frakes (qui campe le Commandant Riker) est visiblement autant à l'aise devant que derrière la caméra pour sa première réalisation. On le félicite, ce huitième film étant tout simplement l'un des meilleurs de la saga et le meilleur de celle tirée de "The Next Generation".

Une histoire qui prend beaucoup trop de temps à se dessiner pour un film assez vieillissant.

Sans le duo mythique formé par le capitaine Kirk et monsieur Spock, Star Trek n’est plus qu’un support à de la science-fiction de série Z. Alors que le septième épisode, qui devait avant tout servir de chainon scénaristique entre les deux séries de films, fut un échec cuisant, Jonathan Frakes semble avoir voulu en reprendre tous les éléments dont les vilains Borgs, ces extraterrestres mi-robots mi-zombis absolument grotesques et ses personnages dénués du charisme qui donnait son charme aux anciens membres du vaisseau. Le scénario se basant sur un retour dans le temps comporte quelques bonnes idées, dont surtout celle de servir de prétexte à expliquer l’évolution de l’humanité entre les 21ème et le 26ème siècle, mais est finalement trop peu original et mal exploité pour nous offrir une histoire captivante mais uniquement un film fade dénué de suspense et d’action.

Un grand film de science-fiction !!! Des effets spéciaux excellents !!! Du grand spectacle !!! Pactrick Stewart est au sommet de sa gloire !!! Le Star Trek le plus populaire !!! Des théories sur la troisième guerre mondiale : la guerre nucléaire !!!

J'ai franchement pas accroché aux nouveaux personnages même si la transition est sympathique, et l'absence de Spock est pour moi un manquement important à la série... Mais bon, Il reste encore une dernière fois la présence du capitaine kirk, c'est pas mal déjà ! Mais si il ne descendaient pas toujours dans le feu de l'action (c'est vrai c'est toujours les capitaines et les gradés qui vont sur les planetes : ou sont les soldats ? lol)

Excellent film dans l'espace qui est un peu trop 70 sur terre et manque un peu de crédibilité.
Malgré quelques défauts, bon divertissement incontournable pour les fans puisqu'il est le crépuscule des borgs.

Un bon Star Trek ! assez lointain des premiers films d'origine, mais bien basé SF et prenant ! Une nouvelle équipe de l'Enterprise qui saura aussi marquer sa génération !

Star Trek Premier Contact est un film dérivé de la série Star Trek Nouvelle génération et prend place dans une trilogie venant clôturer l’histoire de la série. On retrouve donc ici l’ensemble de la troupe d’acteurs qui semble bien heureux de tous se retrouver et le spectateur également. Le scénario est également intéressant avec un saut dans le passé périlleux pour sauvegarder le futur. Oui les Borgs, ces monstres assimilateurs ont pour ambition d’empêcher les terriens de rejoindre la fédération et cela permet de découvrir les origines de la conquête de l’espace. De l’action et de l’humour parcourent ce film qui parait tout de même assez ringard 25 ans après. Oui les années ont passé, et tant les costumes, les décors que les prestations d’acteurs semblent d’un autre temps.

Même univers, mais époque et personnages différents. N'ayant là aussi pas vu la série dont s'inspire le film, il m'a fallu un peu de temps pour resituer le truc. L'histoire est assez classique dans l'ensemble, bien qu'elle offre de nouvelles possibilités grâce aux nouveaux personnages. L'ambiance est cependant nettement plus sombre et glauque que dans la précédente saga (qui était plus familiale). On découvre également un nouveau méchant dont le système de fonctionnement participant à rendre cette atmosphère plus pesante. Pleins de nouveaux acteurs et comme à l'image de leurs aînés, on les sent à l'aise dans leurs rôles sans pour autant être transcendant. James Cromwell se la joue un peu électron libre : s'il est amusant au début, il devient très vite lassant. Techniquement, on voit une nette différence avec les films précédents : des effets spéciaux moins cartons-maquettes ; une mise en scène plus dynamique et moderne, à l'approche bien plus moderne ; une musique plus sombre aussi, plus électronique ; des décors à la fois épurés (la vision du futur évoluant avec l'époque) mais aussi plus sombre et oppressant. Bref, un début d'une nouvelle saga plutôt réussit même si on n'atteint pas le niveau du tout premier film.