Avis : Permis de tuer - Page 2

Je veux pas être trop méchante, il y a en effet le désir, pour une fois, de faire quelque chose qui soit *un peu* différent : un james bond qui se la joue en solo par intérêt personnel, moins de grands effets spéciaux et un grand méchant plus "proche", moins "fou" que d'habitude, quitte à ce qui ça soit une vraie ordure, comme d'habitude ; pas de "méchante" à proprement parlé, juste une amoureuse déçue et pas rancunière pour deux sous.
Le gros problème, c'est que tout cela est mal réalisé, pas la peine de se voiler. James Bond (timothy dalton) a un manque de charisme qui se ressent presque à chaque scène, et le fait que le film ait été peu médiatisé est symptomatique de l'échec global qu'il représente.
On a qu'une envie, se replonger dans ce qu'on a envie d'appeler un vrai james bond, mettant en scène Connery, Moore, ou Brosnan.

Dalton à le charisme d'une huitre et le réalisateur filme avec les pieds.. sinon rien à signaler dans ce James-Bond-Vengeance.. Un des plus mauvais de la série.. c'est dire.

En tant que fan de Bond depuis plus de 40 ans, ben celui là est désastreux.
Pour moi JB c'est codifié et c'est ce que j’attends d'un JB :

Un événement tragique arrive c'est le plan du megalo du jour .
Débriefing au bureau et présentation de la mission
Enquête de 007
Résolution de la mission avec la miss du jour.

La plupart des films sont construits sur ce moule là, moule que j'attends à chaque épisodes tel un Columbo.

Là c'est juste un banal film d'action assez violent je dois dire, j'ai rien contre la violence au ciné mais à ce moment là, je vais voire un john wick ou the boys et là c'est attendu mais c'est sans contest le plus gore de toute la saga et ça ne colle pas au film d'espionnage.
spoiler: [spoiler]Y a quasiment pas d'histoire, c'est juste de la vengeance et le méchant, l'excellent Robrt Davi n'y peux rien, il joue ce qu'on lui demande de jouer, bref c'est vraiment moyen, c'est JB en mode Rambo, seule les 2 filles plutôt sympa sauvent ce film du
naufrage.[/spoiler]

Deuxième opus pour T. Dalton et un Bond toujours aussi torturé, donc un bond avant l'heure (proche de celui de D. Graig). Permis de Tuer offre un méchant simple mais un second (B. Del Toro) très talentueux.

Sans doute le plus mauvais de tous les James Bond jusqu'à ce jour. Timothy Dalton, qui s'en sortait de justesse avec Tuer n'est pas jouer, incarne ici une fois de plus le plus célèbre des agents secrets dans une aventure complètement rocambolesque. En plus d'être assez glauque, ce qui n'est pas le cas en général des films de Bond, le film multiplie les scènes incohérentes, ainsi que les voyages de Bond qui apparemment se font en l'espace de quelques minutes - comme trouver la base secrète de ses ennemis juste après s'être fait engueuler par son patron, tout est normal - Carey Lowell est une actrice terriblement mal choisie. Supposée être une femme belle et attirante, elle incarne tout le contraire en jouant comme un pied, et qui plus est, en ayant un strabisme qui la rend complètement in-crédible quant à son rôle. Permis de tuer de John Glen est malheureusement un navet qui fait tâche dans les séries de James Bond, qui souffre cruellement d'une incohérence permanente, de mauvais acteurs, et surtout d'un scénario qui ne tient pas la route. A éviter.

Seizième mission pour le célèbre agent secret de sa majesté, James Bond, alias 007. Pour cette seizième mission James Bond est confronté à un puissant trafiquant de drogue, Franz Sanchez, qui a fait assassiner la femme de Félix Leiter et sauvagement meurtrie le meilleur ami de 007. Bond est bien décidé à se venger et à désobéir à M pour accomplir sa vengeance personnelle. Ce seizième film de James Bond marque la deuxième apparition de Timothy Dalton dans le rôle de 007 et sa dernière. Ce film est une aventure différente des autres car cette fois James Bond part en guerre contre l’avis de M, il veut se venger. Le film explore une facette plus violente de l’agent britannique jamais montrée auparavant dans la série, avec ce désir de vengeance l’agent 007 est implacable dans Permis de Tuer. Le scénario du film est très bon et surtout beaucoup plus sombre que d’habitude, un peu comme Skyfall qui montre également une vengeance et un Bond plus sombre, cette histoire de vengeance est dans le fond assez classique mais ajouté un trafique de drogue et du Bond on obtient un film d’action explosif. Le film possède des séquences d’action spectaculaires comme la petite course poursuite pré-générique, la séquence sur le bateau où Bond réussi à s’échapper en faisant du ski nautique et rattrape un avion, il y a quelques bagarres, la séquence de la maison avec les agents chinois qui se font attaquer et enfin la séquence finale avec l’explosion de la base du méchant et la course poursuite démentielle et explosive avec les camions citernes sur des routes désertique. Les acteurs sont très bons, Timothy Dalton livre une facette plus sombre, plus violente et plus réaliste de James Bond et reste très bon, le méchant Franz Sanchez est joué par le très bon Robert Davi, pas le meilleur bad guy de la série mais ça va et enfin les James Bond Girl, Carey Lowell joue Pam Bouvier et Talisa Soto joue Lupa Lamora, elles sont toutes les deux très bien dans leur rôles. Ce James Bond est beaucoup plus violent que les autres, la scène où Leiter se fait « charcuter » par le requin est du jamais vu dans un Bond, le meurtre horrible d‘un homme de Sanchez où sa tête explose et le 007 plus violent livrer par un très bon Timothy Dalton. Le film possède pour moi une des moins bonne chanson de la série comme le précédent. Ce James Bond marque la dernière apparition de Dalton dans le rôle de l’espion 007 et le film est très bon avec de l’action, une bonne histoire et des acteurs aussi très bons. Merci monsieur Dalton pour ces deux très bons films.

Un très bon 16ème volet de la mythique saga James Bond qui est en plus différent des films que l'on avait pu voir jusqu'à maintenant dans cette fantastique franchise !
L'histoire est particulière car notre espion préféré se lance dans une vendetta personnelle ce qui est assez intéressant à suivre et l’univers d’espionnage reste plaisant.
Le toujours aussi charismatique Timothy Dalton est encore convaincant dans la peau du grand 007 et la séduisante Carey Lowell est très agréable.
Robert Davi qui incarne le terrible Sanchez est formidable et la très belle Talisa Soto est satisfaisante.
Tous les autres acteurs sont une nouvelle fois corrects et les images restent convenables.
Les effets spéciaux sont toujours aussi acceptables et les décors sont encore très bien !
Les lieux rencontrés sont une nouvelle fois satisfaisants et les costumes restent bien conçus.
Les objets et équipements sont toujours aussi efficaces et la villa de Sanchez est superbe !
Les véhicules sont encore appréciables et les gadgets sont une nouvelle fois bien faits !
L'ambiance reste très plaisante et la chanson « Licence To Kill » interprétée par Gladys Knight est très bonne et devenue connue !
Les scènes d'action et les cascades sont toujours aussi bien réalisées comme pour la séquence pré-générique et le final explosif !
Les rebondissements sont encore plutôt bien maîtrisés et la mission est une nouvelle fois entraînante !
Le 2ème et dernier épisode de Timothy Dalton dans le rôle du plus classe des agents secrets est donc très réussi, l'intrigue sur la vengeance est vraiment bien trouvée et rythmée avec un super méchant et de charmantes James Bond girls, accompagnée surtout d’une dose d’action qui reste très convaincante et qui est toujours au rendez vous !

C'est loin d'être le meilleur James Bond.. je n'ai pas particulièrement apprécié l'excessivité de certaines scènes (notamment la fin et les sentiments infondés des 2 femmes envers Bond, certes c'est habituel, mais la c'est très poussé), et il y a beaucoup trop de "miracles" dans ce James Bond, l'homme qui a survécu au requin par exemple.
En bref, très déçu par cet épisode..

Mon James Bond favori: une intrigue bien noire et poisseuse, un humour bien anglais, de très bonnes scènes d'action (la scène de fin est époustouflante) et d'excellents "méchants", notamment Robert Davi à la fois antipathique et très crédible.

Pas le meilleur, mais surement un très bon !
On voit Q sur le terrain, en bon assistant d'un 007 décéidé à mener croisade, seul contre tous si il le faut pour venger ses amis.
Timothy Dalton est un bon James Bond, plus touchant et plus émotif que Sean Connery ou encore Pierce Brosnan...
Bien qu'il soit impossible pour un homme de faire du ski nautique après un avion, même cette scène s'incorpore au film, et s'y trouve justifiée.
Pour une fois, les deux James Bond girl (la femme du méchant et la gentille , si gentille que ça?), s'en sorte toutes deux à la fin, et Bond à enfin le choix !

Où le plus célèbre des espions s'écarte un temps de la guerre froide et des sociétés secrètes pour affronter la caricature du trafiquant de drogue sud-américain. Ajouté au fait qu'il est, pour cela, désavoué par sa hiérarchie et sort donc de son rôle d'agent secret, James Bond prend avec "Permis de tuer" des allures de justicier international qui va défendre la veuve et l'orphelin contre tous les méchants du monde. Dépaysant par rapport aux autres films de la série, "Permis de tuer" ne sort hélas pas du lot des films d'action traditionnels, avec un Timothy Dalton qui manque désespérement de personnalité. A réserver aux afficionados de James Bond ou de narcotrafic.

Suite de mon tour d'horizon des James Bond avec cette deuxième et déjà dernière aventure de Timothy Dalton. Certes, celui-ci n'avait ni le charisme, ni la présence d'un Sean Connery, mais faisait le boulot avec sérieux et même une certaine sensibilité : un 007 peut-être plus humain. Point de vue cinéma, on ne retrouve pas forcément ce qui a longtemps fait l'ADN de la saga : gadgets, humour, scénario fantaisiste et méchant mégalomane voulant conquérir le monde... Ici, nous sommes dans quelque chose de beaucoup plus classique, presque trop, qui nous ferait même, parfois, oublier où nous sommes. Mais pour le coup, ce n'est pas vraiment un problème, voire un atout. On revient en quelque sorte aux fondamentaux du film d'action : presque avant tout une histoire de vengeance, du trafic de drogue, un « bad guy » ne se donnant pas de grands airs (ce qui le rend d'autant plus efficace, Robert Davi le jouant fort correctement)... C'est carré, solide, le scénario tenant la route, mettant le paquet sur les (nombreuses) scènes spectaculaires, plutôt bien filmées par l'habitué John Glen, à l'image d'un final proche du « WTF » et qui, pour le coup, renoue assez clairement avec les origines de la saga. Même la relation qu'il entretient avec les deux femmes de l'épisode, pas toujours très subtile (le pouvoir de séduction de cet homme est décidément très impressionnant), fait preuve d'un minimum de tact, au moins pour mettre ces deux partenaires un minimum en valeur (et je ne parle pas, bien sûr, uniquement de leurs attributs physiques ! À ce titre, Carey Lowell se montre fort à son avantage). Sinon, on peut apercevoir un certain Benicio Del Toro tout jeunot qu'on aura l'occasion de revoir avec plaisir les deux décennies suivantes. Sans doute pas le plus « personnel » des Bond, mais sûrement l'un des plus efficaces.

mais fuck le film mérite tellement plus de succès ce film de guerre contre la drogue ma beaucoup marquée un film où james bond va faire le rebelle pour venger son amis foncer voir ce film il est incroyable .

Timothy Dalton incarne pour la seconde et dernière fois notre cher agent secret préféré et c'est dommage car il était excellent dans sa peau, j'aurais bien aimé le voir dans une 3ème fois en 007. Permis de tuer n'est pas le meilleur de la saga mais il fait partie des bons films de la saga et même si la scène d'ouverture n'est pas la plus mémorable des aventures de James Bond on sent de suite que l'on est dans un film de la saga, Permis de tuer comporte son lot de scènes d'action très réussies (celle avec les camions et vraiment jouissive) et l'ensemble est prenant et rythmé mais en-dehors de l'action on sent un peu les faiblesses de John Glen ; le scénario avec son histoire de vengeance est pas mal, Robert Davi fait un méchant convaincant et Carey Lowell une jolie Bond girl qui a de l'allure. Donc un bon cru qui se regarde avec grand plaisir.

« Tuer n’est pas jouer » avait montré les limites du jeu de Timothy Dalton, lui interdisant d’épouser pleinement toute la dimension du rôle de l’agent 007. Les scénaristes Richard Maibaum et Michael G.Wilson avaient sérieusement travaillé pour pallier au manque de charisme patent de l’acteur gallois. Le premier épisode de la courte ère Dalton malgré une intrigue plutôt bien charpentée, avait laissé les fans de la saga sur leur faim. On pouvait espérer que les manques expressifs constatés allaient en partie pouvoir se corriger avec la prise d’assurance d’un Timothy Dalton rassénéré par le bon score au box-office de « Tuer n’est pas jouer ». Il n’en n’a malheureusement rien été, Dalton sans aucun doute conscient de la distance qui le sépare de l’esprit du rôle semble encore une fois gravement inhibé. Heureusement, Robert Davi dans le rôle du méchant trafiquant de drogue, secondé par un Benicio Del Toro débutant dont on sent bien qu’il ne lui faudra pas longtemps pour percer, comble de toute sa rouerie la transparence d’un 007 comme anesthésié. Maigre consolation, la paralysie évidente de Timothy Dalton sert de carburant aux scénaristes pour trouver des idées donnant le change comme celle excellente de développer la participation de Q qui pour l’une des dernières participations de Desmond Llewelyn à l’écran, s’immisce en protecteur malicieux de Bond tout au long du film. Malgré ces quelques artifices, l’affaire semble entendue. Timothy Dalton ne pourra endosser plus longtemps un costume trop grand pour lui, malgré son contrat initial pour trois films. Le box-office américain n’étant pas au rendez-vous, la transition se fera automatiquement. Pierce Brosnan pourra donc entrer en scène au prochain épisode. La critique peut sembler un peu courte mais sans l’incarnation crédible du héros né de l’imagination de Ian Fleming et façonné par les interprétations pourtant opposées de Sean Connery et Roger Moore, rien n’a vraiment d’intérêt.