Avis sur Wallace & Gromit : Rasé de près

Un très bon film d'animation de pâte à modeler, qui montre que des laveurs de vitre peuvent tout à fait être mêlés à un trafic de laine, qui plus est de mouton!! La scène de course-poursuite est digne de la scène de l'avion de "La mort aux trousses", d'Alfred Hitchcock! Du pur délire pour un pur joyau.

Troisième volet des aventures de Wallace et Gromit, Rasé De Près n'est pas le meilleur épisode de la série mais ses excellentes idées (Le travail de Wallace et Gromit, le chien robot, le petit avion de Gromit,...) et sa perfection technique en font un incontournable.
Du grand art !

Après avoir savouré chaque minute d’un Mauvais Pantalon, je m’attaque à cet opus de Wallace et Gromit qui propose une nouvelle fois quelque chose d’assez fou. On tient encore un petit bijou d’inventivité qui ne peut qu’attirer la sympathie pour ma part, tant tu sens la passion des créateurs pour ces petites aventures en pâte à modeler. La qualité de l’animation explose principalement pendant les séquences d’action qui sont juste bluffantes. C’est incroyable d’arriver à un tel niveau de fluidité et de limpidité au vu du procédé technique, ce qui en fait un beau tour de force. A ce titre la mise en scène est exemplaire, bourrée de plans ingénieux.

Je suis un peu moins fan de l’histoire en revanche, le coup de la romance et ses quelques rebondissements m’ont moins passionné que l’amitié en péril d’Un Mauvais Pantalon par exemple. Peut-être parce que le film n’a pas forcément le temps de développer ses personnages. Je ne savais pas par contre que Shaun le mouton apparaissait dans cet opus, ça m’a rappelé au bon souvenir du très bon film sorti récemment et qui proposait les mêmes qualités artistiques. Dans l’ensemble on a quand même affaire à un film d’animation de qualité très inventif sur le plan formel et attachant dans le fond. Encore un très agréable petit moment de cinéma, il va sérieusement falloir que je m’attaque au mystère du Lapin-Garou.

Moins bon que son prédécesseur, mais pas de mauvais goût non plus.

Si vous aimez l'humour britannique, cet épisode de Wallace et Gromit vous plaira, sinon passez votre chemin.

La durée est bien dosée car plus long serait trop long.

Une histoire qui fout les chocottes mais surtout une bonne occasion de rire, décidément c'est drôlement agréable de regarder les (més)aventures de Wallace et Gromit.

une bien belle aventure.

Trente minutes de génie. C'est ce qu'on ressent en voyant Rasé de près, Oscar du meilleur film d'animation en 1996, un de plus pour le génial Nick Park. Un concentré d'intelligence croisé à une réussite technique irréprochable. Sur un scénario encore plus jubilatoire, enchainant les références cinématographiques, Nick Park signe un modèle de l'animation. Mélange aussi étrange que maitrisé de comédie, de science-fiction, de poésie et de polar, A Close Shave est un moyen-métrage truffé de séquences devenues cultes : le mouton Shaun avec ses "bééééé" tordants, la poursuite en side-car et Gromit pilotant son avion tirant du porridge à prise rapide, le chien-robot avec une belle référence au Terminator de James cameron...Nick Park possède plus de moyens et créé une véritable petite ville, porte encore un soin méticuleux quant aux tous petits détails, créant ainsi un petit monde crédible emportant le spectateur dans son univers. Le nouveau personnage de Wendolene et son chien Preston posent les bases des personnages de Lady Tottington et du chien impitoyable de Victor Quartermaine dans le long-métrage "Wallace et Gromit le mystère du lapin-garou". Rasé de près, à voir et à revoir.

Troisième court-métrage des (més)aventures de Wallace et Gromit, Rasé de près va encore plus loin que ses prédécesseurs dans le burlesque et l'action : cette fois-ci, nos deux héros sont des laveurs de carreaux professionnels avec des gadgets toujours aussi délirants. Lorsque Gromit se fait arrêter pour un meurtre qu'il n'a pas commis, les choses se compliquent... pour notre plus grand plaisir ! Le scénario est encore plus rocambolesque, l'animation a un poil évolué, l'humour propre au réalisateur Nick Park reste aussi hilarant et les nouveaux personnages nous en font voir de toutes les couleurs : Gwendoline la vendeuse de laine timide, son chien-robot Preston et les fameux moutons malicieux dévoreurs de chaises et de journaux. L'aventure va crescendo entre rires et larmes pendant 20 minutes et nous nous retrouvons devant une des meilleures aventures du duo. Toutefois, il manque au court-métrage un petit quelque chose qui faisait pleinement le charme du précédent, Un mauvais pantalon. Peut-être un certain effet de surprise ou je ne sais quoi. Dans tous les cas, si Preston le chien-robot tueur de moutons n'a pas le charisme de l'excellent pingouin Feather McGraw, force est de constater que Nick Park arrive toujours aussi bien à nous émerveiller avec de la pâte à modeler.

Le 3ème court-métrage sur les aventures de Wallace et Gromit. Celui-ci est mon deuxième favoris. L'histoire est drôle et originale, l'humour british toujours aussi excellent. C'est sans doute l'opus le plus spectaculaire de tous, notamment avec la fameuse course poursuite en avion ! L’œuvre se permet même l'audace de parodier de célèbres films comme Terminator 2 ! Vraiment une perle de mon enfance !

Les aventures de Wallace et Gromit sont toujours aussi sympa a suivre.

Un film vu plusieurs fois et toujours impressiones de savoir que cette histoire et fait avec de pâtes modelée

Wallace & Gromit : Rasé de près est un bon film d’animation de Nick Park. Les images et la technique sont irréprochables, la mise en scène du réalisateur est parfaite, le scénario est travaillé, recherché et l’histoire réussit à intéresser le spectateur. En clair, on passe un très bon moment, à découvrir…

Mon enfance... Un petit bijou d'animation en "stop-motion" (image par image) qui donne vie à deux compères inséparables à l'humour très british qui nous ravit de la première à la (regrettée) derrière minute ! Les moutons sont hilarants, surtout la future vedette d'une série animée éponyme : Shaun le mouton. Le chien massif est effrayant à souhait et la petite amourette entre sa maîtresse et Wallace est mignonne. Attention au tout début du court-métrage, l'ouverture peut faire un peu peur aux plus petits. Wallace et Gromit, ou la folie de l'invention, l'excentricité des situations, la magie de pouvoir tout faire en pâte à modeler et que cela fasse réel tout de même... Les enfants seront contents, et les adultes (secrètement) aussi.