Les die hard ( piège de cristal, 58 minutes pour vivre et une journée en enfer ) ont une même recette : violence, quelques vannes et un héros cool en tout moment qui finit dans un état pas possible à la fin de l'aventure. Dans ce quatrième épisode, notre héros à l’ancienne se confronte à la technologie ; symbole d'une génération ( celle du héros ) en décalage avec le monde moderne. Mais qu'on se rassure : notre héros contrebalance ce retard par sa fugue et sa coolatitude connue de tous. L'action est au rendez vous, avec ces exagérations parfois et ses guns fights assez efficaces. Le duo vieux flic/jeune hacker fonctionne sans plus, pas de véritable camaraderie en vue et le méchant n'est pas très charismatique. Donc , au final ce die hard 4 conserve les ingrédients qui font la réussite de cette saga mais n'est pas le meilleur opus , seulement un bon film d'action.
Longtemps avec le très bon DIE HARD 3, arrive enfin ce 4ème opus. Pour un 4ème volet le film est plutôt correcte, mais c'est presque toujours la même chose, à chaque fois. Timothy Olyphant est vraiment bien dans son rôle.
Assez bon !! 'Die Hard 4 - retour en enfer' est beaucoup mieux que le 3ème volet ; le scénario est mieux ficelé, et j'apprécie l'ensemble du casting contrairement au trois. Pas un chef-d'oeuvre, ni un bon film... mais c'est un divertissement dans son genre !
Sans aucun doute le "Die Hard" de trop!! Pourtant les trois premiers episodes avaient de la gueule. "Piege de cristal" lançait un nouveau genre de films d'actions avec un simple policier, John Maclane ( Bruce Willis qui sortait d'une série comique "Clair de lune"), qui est piegé dans une tour ou travaille sa femme, pris sous le controle de terroristes Allemands. La suite, "58 minutes pour vivre", avec a peu prés la meme histoire, mais cette fois dans un aéroport. Et enfin, "Une journée en enfer" avec un terroriste qui pose des bombes dans plusieurs endroits à New York et qui en veut personnellement à Maclane et joue avec lui au jeu du chat et la souris. J'attendais le quatrieme volet avec impatience avec un John Maclane, la cinquantaine, divorcé et pere d'une fille, qui reprend du service en protégeant un pirate du virtuel dans une ville ou des Hackers ont pris le controle informatique. Je suis sortis du film déçus par le surnombre d'effets spéciaux et des scenes d'actions assez grossiers digne d'un mauvais Blockbuster que nous pondent chaque année Hollywood. On a l'impression que Bruce Willis est invincible et son duo avec l'acteur boutonneux Justin Long ne fait pas merveille. Len Wiseman n'est pas John Mac Tiernam coté réalisation. J'aime bien Bruce Willis, mais j'ai l'impression qu'il se lasse un peu d'etre héros de films d'actions et qu'il a choisit de reprendre le role de John Maclane pour redorer son blason niveau Box-office. Un conseil, evitez ce film.
Un ton en dessous des autres die hard 4ème du nom a le mérite d'exister par apport aux autres. Toujours autant de cascades et un John Mc Claine qui se trouve toujours aux mauvais endroit aux mauvais moment
De l'action de l'action de l'action ! De la première à la dernière minute cela ne s'arrête pas. Jamais on ne peut reprendre son souffle. L'histoire est totalement invraissemblable et il faut donc la prendre au deuxième degré et là on adhère pleinement. Même si les dialogues sont assez inégaux, soit très drôles soit très niais. Douze ans après, Bruce Willis tient toujours la forme et ne s'est pas rouillé. Il n'en fait pas trop dans le cabotinage en restant plutôt sobre même si comme dans les trois premiers opus John McClane tombe de plusieurs étages, saute d'un avion ou d'une voiture et se relève toujours aussi fringuant ! Sacré John ! La mise en scène de Len Wiseman est donc formidablement rythmée. Une action pure terriblement efficace qui vous colle au siège sans jamais retomber. Chaque scène est spectaculaire et les effest spéciaux de toute beauté. Un peu normal vu le passé du réalisateur comme créateur de ces effets dans des films tels que Stargate, Godzilla, Independence day ou Men in black. Du grand spectacle, du grand cinéma d'action, du grand divertissement. On peut se poser des questions sur les suites de certaines sagas mais là aucun problème, ce quatrième volet est une très grande réussite. Efficace, spectaculaire, gonflé à bloc. A voir.
Très très bon tout comme la saga. Même si John est revenu avec un sacré coup de vieux, on l'aime toujours autant, et le scénario est très différent des 3 premiers, et je n'en ai pas été déçu du tout. Même si, a mes yeux, les 3 premiers sont meilleurs que celui-ci, il reste très très bon à mon gout.
Trop d'action tue l'action. Wiseman ne rivalise aucunement avec notre très chère John. Sans se casser la figure die hard 4 ne restera pas un film culte
Qui n'a pas rêver de détruire un pays, surtout les USA, rien que par l'informatique. Après que des terroristes s'attaquent à une tour, à un aéroport, à une ville, les voila qui s'attaquent à un pays entier. Le scénario est vraiment géniale dans sa création par la mis en place de la liquidation par les terroristes et par le petit policier John qui reussit toujours a nuire les mechants. De l'action du début à la fin, des cascades un peu exagérés mais au combien excellent. L'humour est également un point fort car je n'ai jamais autant rit dans un film d'action. Voila la conclusion idéale de la saga Die Hard de la meilleur des façons. Une journée en enfer reste quand même le meilleur.
Je n’ai pas vu tous les films de la saga « Die Hard ». J’ai cependant vu et apprécié « Une journée en enfer », qui est apparemment le meilleur avec « Piège de cristal ». Ce qui était bien dans le film de John McTiernan, c’est qu’il avait un duo de héros qui fonctionnait plus que bien, un méchant charismatique (Jeremy Irons, je t’aime), une histoire pouvant être qualifiée à la fois de maligne et divertissante grâce aux énigmes. Le retour en enfer de John McClane n’est pas malin du tout. « Die Hard 4 – Retour en enfer » est un condensé d’action pure. Les cascades, courses poursuites et fusillades s’enchaînent sans interruption. Sans surprise, tout se passe bien pour John McClane, encore une fois au mauvais endroit au mauvais moment. De nombreux "heureux-hasards" et incohérences y sont peut-être pour quelque chose. En parallèle, une bonne place est laissée à l’humour. Malheureusement, celui-ci ne prend pas vraiment. Il décrédibilise les scènes d’action à cause de son omniprésence. Impossible de s’en faire pour les héros s’ils passent leur temps à s‘échanger des vannes. Parfois, ce même humour ne semble plus pouvoir être arrêté, ce qui donne lieu à des scènes vraiment gênantes. Le meilleur exemple restant le moment où Matt Farrell cherche à démarrer un véhicule volé sans utiliser la bonne vieille méthode des câbles. Un moment interminable et aucunement drôle... Il n’empêche qu’une répartie en toute circonstance et un grand détachement face aux évènements sont les principaux traits de caractère de McClane, qui est dans cet opus égal à lui-même. A ses côtés, on retrouve Mary Elizabeth Winstead, qui est toujours aussi magnifique. Elle aurait mérité plus de présence à l’écran. En fait, au lieu de ce geek cliché et paumé, c’est Lucy McLane qui aurait dû seconder John, parce que Matt Farrell est un boulet. Avec sa tête d’ahuri qui n’arrange rien, Justin Long est le sidekick idéal et insupportable qui cherche à se la jouer avec son vocabulaire informatique recherché. Il faut reconnaître que le contraste avec un John McClane vieillissant et "trop vieux pour ces conneries" de nouvelles technologies est assez amusant. Le fait que les scénaristes Mark Bomback et Doug Richardson aient choisi de placer le héros face à une menace d’actualité est intéressant. Comment le roi de l’action peut-il parer une menace virtuelle ? En fonçant dans le tas quand même. Pas de chance pour Timoty Olyphant le super-méchant et son super cyber-réseau de pro cachés au fin fond de leur cave. Sans John McTiernan, la saga « Die Hard » meurt à petit feu. Faudrait-il obligatoirement du McTiernan pour que McClane retrouve la forme des grandes années ? Peut-être bien. Sinon, j’ai aimé entendre les Creedence Clearwater Revival. Sauf qu’apparemment c’est de la musique de vieux. Mince alors...