Dans la ligné du premier on suit les péripéties de Robocop dans le chaos général et la violence, si le film est assez fidèle et dans la même ambiance que l'excellent premier opus, il se perd un peu dans un scénario un peu tiré par les cheveux (fils de Robocop qui se retrouve chef d'un gang redoutable, robot qui se drogue...) bref sa reste un très bon film de SF même si le scénario n'est pas irréprochable, on a le droit à de très bonne scène de fusillade (notamment vers la fin)
Ce robocop 2 reprends efficacement le scénario du 1er pour le pousser à son paroxysme: la ville est plongée dans le chaos et l’OCP poursuit son escalade dans le crime et sa soiffe de posséder Detroit.Tout en étant mois puissant et émouvant que son prédécesseur, R2 reste très agréable à regarder, et comprends d’impressionnantes scènes d’actions; le final avec la machine en animée en stop Motion est éblouissant.
Suite sans grand intérêt, la réalisation est bonne (Irvin Kershner remplace le grand Paul Verhoeven à la réalisation) mais le scénario est maigre sans plus.
On est très loin de l'oeuvre de Paul Verhoeven (auteur des films Total recall, et Starship troopers entre autres). Le scénario est pas très élaboré, voir ridicule par moments. Je prends l'exemple du robot "cain" qui a besoin de sa drogue, le "nuke", pour fonctionner. Il faut reconnaitre que c'est tout à fait ironique. Cependant, le film se laisse regarder, et les effets spéciaux sont tout de même réussis pour 1989.
Une suite très réussie. Robocop 2 joue un peu de dérision et de sentimental mais ne s'écarte pas du coté sombre du premier opus. Les scènes de combat sont très réussies notamment le combat final.
Aussi sombre et plein d'esprit que le film original culte de Paul Verhoeven, écrit par Edward Neumeier et Michael Miner, "RoboCop 2" est considéré par beaucoup comme l'une des meilleures suites de science-fiction de tous les temps. Ou quand le temps rend justice à une œuvre méconnue de son époque.
"RoboCop 2" est le dernier film réalisé par Irvin Kershner – le réalisateur de "L'Empire contre-attaque" (1980) – avant sa mort en 2010, avec un scénario de Frank Miller et Walon Green.
La plupart des rôles principaux reviennent et ont toujours le vent en poupe, mais Jerry Goldsmith, auteur de la bande originale mythique de"'RoboCop" (1987), n'est malheureusement pas de retour.
La scène du spoiler: chef trafiquant de drogue mineur, mourant sur des montagnes de billets de banque, qui demande à RoboCop de ne pas partir et de lui tenir la main jusqu'à son dernier souffle , est hautement symbolique et révélatrice de sociétés en décomposition qui ont perdu tout sens de l'humanité : « spoiler: Je vais mourir. Vous savez ce que c'est, n'est-ce pas ? C'est vraiment merdique. »
Robocop 2 n'échappe pas à la malédiction des suites au cinéma. Malgré les efforts fournis, malgré un scénario qui, sur le papier, ne semblait pas si mauvais, malgré un casting dans la lignée de celui du premier épisode, cette deuxième aventure du flic d'acier ne nous tient pas autant en haleine. La faute à une B.O. bien en deçà de celle du premier opus, à des personnages mal écrits ou mal castés (l'ado pré pubert parrain de la mafia, c'est moi ou y'a quelque chose qui cloche ?), à des scènes d'actions certes plus bourrines mais paradoxalement bien moins sanglantes, à des effets spéciaux plus osés mais surtout moins réussis, à des décors moins travaillés. Robocop 2 est une suite pour le grand public, elle n'égale jamais son modèle, sans pour autant être un ratage complet. A essayer pour les inconditionnels du premier épisode, à éviter pour les autres.
Au départ le projet Robocop 2 était alléchant, avec des scénaristes tels que Franck Miller et Edward Neumeier, puis l'arrivée d'Irvin Kershner (L'Empire contre attaque, Jamais plus jamais) aux commandes. Malheureusement les producteurs ont retouché 90% du scénario et n'ont gardé que quelques idées des 2 scénaristes, à la place de cela on retrouve une sorte de tentative de remake du chef d'oeuvre de Verhoeven avec de l'humour en plus, qui est en plus moins percutant et moins violent que le précédent. Malgré tout Irvin Kershner met en scène dans la dernière partie du métrage des scènes d'action bien bourrines et violentes, alignant les cadavres et faisant tout péter. Si vous êtes indulgent ce film peut être regardable.
Le moins réussi de la saga robocop. L'histoire est mis en scène de manière pathétique, les personnages deviennent absurdes et perdent de leur profondeur. On flirt avec le ridicule (l'enfant qui gère le trafic de drogue, cain qui se transforme en moelle épinière avec de gros yeux globuleux,...). On dirait un scénario conçu pour une série b. J'ai mis une étoile pour le côté humouriqtique de robocop à un moment donné dans le film. Et je suis très gentil...