le scénario de robocop 2 est vraiment pas bon. l'histoire de la drogue et le méchant était vraiment bon ont s'y prend vite mais cela n'est que de courte duré. entre les cerveau retiré d'un corp et qu'il soi de nouveau fonctionnel dans un robot (ce qui n'est pas le cas avec robocop puisqu'il est toujours en vie il a juste été amputé de ses membres) et la débilité d'une femme qui choisi un cerveau de criminel (du méchant principal du film ???? QUELLE HONTE) mais que le grand patron évidement accepte. des prototypes robocop 2 a 19 million de dollar en fumé alors que la ville est déjà en déficit. qui ne font que prouver a quel point robocop est unique, qu'il a été créé par un génie. Alex Murphy qui est un héro unique impossible a remplacer.
Excellente suite du premier Robocop, réalisé par un super metteur en scène qu'est Irvin Kershner (Empire Strikes Back !!), l'essence du premier film est intacte avec une ville glauque et corrompue, un Robocop qui se fait malmener, tout est malsain dans ce film, un enfant qui fait partie de la pègre et qui au final devient aussi mauvais que les adultes dépeints dans ce monument de la science-fiction.
Alors que le film de Verhoeven nous présentait une dystopie assez effrayante où les multinationales avaient dépossédé les pouvoirs régaliens aux institutions politiques ainsi qu’un intéressant personnage psychologiquement perturbé, sa suite n’a plus la moindre originalité ni la profondeur de cette écriture cynique. On peut reprocher à Irvin Kershner de ne pas savoir filmer la violence aussi bien que son prédécesseur, mais c’est incontestablement le fait que Frank Miller n’est pas participer à nouveau à l’élaboration de ce scénario issu de ses bandes-dessinées qui en a fait perdre toute sa saveur. N’en reste qu’une explosion de mauvais effets spéciaux justifiant des fusillades explosives entre le flic mi-homme-mi-robot et des adversaires particulièrement grotesques, le tout sur fond de divertissement mainstream de seconde zone. Limité à ses blagues et son flingue, le personnage de Robocop se retrouve être une coquille vide et donc, par conséquent, l’objet d’un film superflu.
Le réalisateur de L’Empire Contre Attaque s’associe à un célèbre auteur de bande dessiné pour reprendre la saga culte créée par Paul Verhoeven. Le projet a de quoi faire rêver sur le papier. Sur le papier seulement car il faut bien l’avouer, Robocop 2 est une catastrophe industrielle. Entre le scénario faiblard, les personnages pas crédibles (le gosse, le méchant, le maire…), l’humour au ras des pâquerettes, les dialogues bidons et les effets spéciaux ignobles on a parfois l’impression d’assister à une mauvaise parodie. Une preuve de plus de l’inutilité de faire des suites et une insulte à tous les admirateurs de l’opus original.
Robocop, c'est un peu le fantasme du flic : indispensable pour maintenir l'ordre, incorruptible et incapable de bavure. Sauf que là, je préfère encore Bernard Dupont, beauf de chez beauf, sous-brigadier raciste au QI insondable. Plus authentique, plus sain.
Irvin Kershner n'a pas de chance. Ayant déjà une bonne cote en tant que réalisateur de cinéma, sa carrière en la matière va se terminer par trois "suites" données à de gros succès: l'Empire Contre-Attaque (pas besoin de s'étendre dessus, chef d’œuvre), Jamais plus Jamais (un James Bon non officiel pas indispensable mais pas honteux non plus) et ce Robocop 2. Autant d'exercices différents où il aura fait montre d'une certaine habileté à se fondre dans les pas du prédécesseur. Malheureusement, passer derrière Verhoeven et son esprit acide est une affaire compliquée, et cela se ressent nettement ici. Sur le plan de la virtuosité formelle il n'y a rien à redire, et le scénario est plutôt intelligent. Le problème se situera surtout sur le plan de l'humour pas toujours au niveau et du côté des méchants loin d'être aussi mythiques que Clarence Bodicker. On se retrouve néanmoins avec un film d'action au-dessus de la moyenne, avec du rythme et de la tension.
De l'extrême violence, un scénario limite par endroits, des effets pas toujours réussis et la question de l'humanité qui est oubliée font que notre première impression est décevante mais finalement quand on y repense on remarque que ce film comporte beaucoup de rythme, beaucoup d'action, on passe un bon moment et on s'accroche à ce héros fantastique.
Un plaisir de retrouver le robot policier le plus connu du cinéma. Mais, on voit bien que le réalisateur n'est pas le même que celui qui a fait le premier. Il n'est pas aussi percutant que le premier. Cependant, le scénario du film est plutôt bien ficelé avec quelques bonnes idées bien trouvés. Un casting d'acteurs bien choisi. Des scènes d'actions bien filmées, ni trop près et ni trop loin. De bons guns fight comme on aime. La politique de l'entreprise des robots ajoute bien côté un côté humain au film, surtout quand il s'agit de concevoir des robots comme Robocop. Costumes impeccables. Toujours la ville de Détroit représentée comme une vraie ville de criminels. Les décors le montrent bien. Certes, malgré que j'ai une préférence au premier, celui est tout à fait regardable sans s'ennuyer.
Le premier Robocop est un Chef d’œuvre, le second opus est raté et n'aurait pas du exister. Ne parlons pas du troisième opus oubliable également ainsi que de la série télé pas terrible.
Certes, cet opus est loin d'être aussi bon que le premier... mais, bon, il ne faut pas non plus cracher dans la soupe ! Le film reprend à peu près les même cas de figure que le 1er, soit de l'humoir noir, un rien d'émotion et des effets spéciaux impressionnants, il faut le dire. Le successeur de Paul Verhoeven, monsieur Irvin Kershner, n'a pas lésiné sur les moyens ! Une curiosité à voir ou à revoir, donc...
La suite des aventures du célèbre Cyber-Flic est une franche déception. Le réalisateur ne parvient pas à créé une histoire convaincante et préfère tout misé sur les scènes d'actions. Nous sommes loin de la richesse de l'original, et les acteurs sont correct. Peter Weller est toujours parfait dans la peau de Robocop au coté de Nancy Allen , toujours aussi parfaite dans le rôle de sa fidèle équipière. Un second épisode qui a perdu en qualité, les images sont pour la plupart ratées et, et la réalisation n'est pas au point. Un film très décevant.
Il est évidemment inconcevable de passer après Verhoeven, quand celui-ci aura foulé des terres avec ce second degré et cette distance qui n'appartiennent qu'à lui. Robocop est ici plus terre-à-terre ; moins humain, moins ambigu, moins riche aussi naturellement. Mais pasticher du Verhoeven, c'est, en soi, absolument incohérent. Cette suite n'est qu'un gentil divertissement de son époque, honnête et réfléchi, mais très vite oublié.
La suite aussi violente mais beaucoup moins pertinente que le 1er opus...Et ce malgré la réalisation de Irvin Kershner (L'Empire contre-attaque)... Beaucoup d'humour noir dans cette suite attendue