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    Good Bye Lenin !
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    553 critiques spectateurs

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    The Claw
    The Claw

    58 abonnés 727 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 juillet 2014
    Oserai-je dire que j'ai trouvé le film "moyen" ? Ben oui, j'ose, allez, soyons fous! En fait, j'ai trouvé l'histoire intéressante et originale. Malgré cela, mes horizons d'attente ont été déçus, car le film est présenté comme étant une, je cite : "comédie réjouissante". Du coup, je m'attendais à un feel-good movie du genre de Little Miss Sunshine, un truc qui te donne la pêche et qui te file la banane : un truc bien fruité quoi! Mais je me suis retrouvé avec un drame un brin dépressif qui te donne envie de prendre des Guronsan, même si quelques moments de légèretés viennent parsemer le film ça et là. Donc bilan pour ma part : un bon film dramatique, mais une comédie ratée.
    L'homme sans nom
    L'homme sans nom

    140 abonnés 891 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 novembre 2022
    Un bon film auquel j'aurais pu accorder une note légèrement supérieure. Comme l'humour est finalement peu présent et la réalisation assez classique, je ne mettrais que 3,5. Good's Bye Lenin! est surtout touchant avec des personnages bien écrits et une histoire originale. Il aborde parfaitement un sujet pourtant bien tutchy, à savoir le choc culturel dans l'ex RDA suite à la réunification, produisant une certaine forme de nostalgie. Thème peu abordé au cinéma et surtout de cet manière, il fait de Good Bye, Lenin! un film à voir.
    peypino
    peypino

    36 abonnés 1 096 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 août 2010
    film très émouvant qui nous fait découvrir les talents du cinéma allemand(trop rare) et la réalité concrète quant à la chute du mur de Berlin.tout ça bercé d'onirisme de fraicheur, de folie, de naiveté ... Donc éducatif, dépaysant, émouvant.
    TUTUR29
    TUTUR29

    24 abonnés 1 019 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 mars 2022
    Good Bye Lenin est un très bon film. Il représente parfaitement le choc culturel qu'a subi la RDA durant la réunification, et ce à travers le personnage de la mère d'Alex. Il en résulte un film qui cristallise parfaitement cette période historique et la rend incroyablement touchante, grâce à ses personnages merveilleusement écrits. Un très bon film, je recommande !
    Kubrick's Club
    Kubrick's Club

    36 abonnés 694 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 octobre 2008
    Beau film qui propose de manière originale de faire la comparaison entre l'avant et l'après RDA, comme entre le communisme et le capitalisme. L'émotion que nous procure l'histoire nous fait prendre le dessus d=sur la crédibilité de l'histoire, que l'on peut remettre en doute. En effet comment tomber si facilement dans le coma ou se laisser leurrer si aisément? Néanmoins, c'est une belle fable sur le communisme, un souci, parfois sincère, de solidarité et d'harmonie qui si dans sa traduction politique se révéla être catastrophique, reste une préoccupation contemporaine.
    nastygobs
    nastygobs

    16 abonnés 785 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 octobre 2008
    Goodbye Lenin est sympathique à regarder,un joli moment accompagné de quelques bonnes musiques et d'une mise en scéne qui ose sans vraiment oser.
    Le scénario en revanche manque parfois de crédibilité mais est surtout ironique tout en étant attachant.
    Akamaru
    Akamaru

    2 797 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 juillet 2010
    Qu'il est agréable de constater que le cinéma allemand nous réserve parfois quelques pépites.Avec son histoire récente riche,l'Allemagne a de quoi faire en termes de sujets politiques.Mais ici,l'angle abordé est volontairement léger et mélancolique.La chute du mur de Berlin est étroitement mêlée à une famille de la RDA dont la mère tombe dans le coma à la suite de l'arrestation de son fils pour manifestation.A son réveil,tout a changé.Les frontières ont disparues,le capitalisme et la société de consommation ont envahis Berlin,la statue de Lénine est emportée au loin...Un monde s'achève,un autre commençe,plein d'incertitudes mais aussi d'espoirs.Alex,lui a surtout le souci de préserver la santé de sa mère,ancienne activante socialiste pleine d'entrain.Ses efforts désespérés pour récréer Berlin-Est donnent lieu à de nombreuses scènes drôles,toujours empreintes de tendresse.La relation filiale est d'ailleurs au centre de "Good bye Lenin!",entre l'amour d'un fils pour sa mère,et la recherche d'un père trop longtemps absent.Par contre,la mise en scène est plus que quelconque,et il est un peu décevant que la douce farce ne s'enrichisse pas d'une véritable réflexion politique.Pourtant,on se lie à des personnages avenants et on apprécie la présence empathique de Daniel Brühl.Belle surprise.
    Julien D
    Julien D

    1 101 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 juillet 2010
    Le cinéma revient une nouvelle sur une page difficile de son histoire récente avec ce petit film très mignon. C’est là une façon originale de réfléchir sur la transformation brutale de l'Allemagne de l'Est dans les mois qui ont suivi la chute du Mur de Berlin. La mise en scène très classique se fait oublier par l’intelligence avec laquelle est traité ce sujet délicat avec beaucoup de délicatesse et d’humour mais trop peu de réflexion politique.
    Dodeo
    Dodeo

    88 abonnés 237 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 février 2011
    Wolfang Becker aborde son film de fort belle manière, le réalisateur allemand a en effet prit la décision de romancer son oeuvre tout en lui donnant de la matière par son fond historique et sa façon d'aborder la RDA. Ainsi il n'aborde pas le coté historique de manière directe, au contraire il s'en sert admirablement pour agrémenter son histoire, certes en demi-teinte mais qui a le mérite de poursuivre sa logique de bout en bout.

    Pour parler dans un premier temps de la partie plus romancée, j'aimerais commencer par dire que les tentatives du réalisateur dans le domaine sont tantôt agréables, tantôt lourdes, Wolfang Becker n'arrivant à aucun moment à trouver un juste milieu dans ses principes de mise en scène. Car sur ce coté là le réalisateur allemand se permet quelques facéties inutiles telle qu'une accélération des mouvements pour tenter de donner du rythme et des plans un peu trop arty. Ce qui ne manque pas de donner un petit soupçon de charme au film, mais seulement un léger soupçon, l'exercice de style s'étendant sur près de deux heures, l'ensemble finit par devenir assez lourd.
    La deuxième impression qui me vient c'est cette ambition de nous délivrer un patchwork d'émotions et de thèmes. Cette ambition est effective grâce à un réel effort de montage contribuant néanmoins à ce coté grand guignolesque et arty. En tout cas une chose est sûre, Goodbye Lenin reste malgré tout ses petits défauts un film solide, voire même très solide car soutenu par un mélange impeccable des deux parties du film: la romancée et l'historique.

    Car dans cette seconde notion est intégrée avec malice et c'est probablement ce qui fait de Goodbye Lenin un film très intéressant à montrer aux jeunes autant en cours d'histoire qu'en cours d'allemand car il aborde la RDA de manière ludique et en multiplide les détails parfois même anecdotiques contribuant sans cesse a cette fidélité, cette marque de fabrique permettant de nous délivrer un film authentique. Wolfang Becker réussit à rendre son film riche et simpliste, pouvant plaire de ce fait autant aux avertis de cette période qu'aux néophytes, chaque personne y trouvant son compte dans ce qui lui est proposé.
    Mais si le film a aujourd'hui une renommée assez importante, c'est en partie le travail tout sauf anodin de Yann Tiersen à la composition musicale. Le compositeur français qui avait déjà fait ses armes sur Le Fabuleux Destin d'Amélie Poulain de Jean-Pierre Jeunet retrouve avec Wolfang Becker un réalisateur proche de Jeunet, avec un style visuel très marqué et dynamique. La bande originale reste néanmoins assez pauvre en pistes, le compositeur français ayant seulement développé quelques thèmes, pour la plupart mélodiques et joués au piano. La récurrence des mélodies ne pose aucun problème, les pistes sont légères, dynamiques et émouvantes. Une vrai réussite !

    Goodbye Lenin est un film intéressant qui distille ses informations avec malice et simplicité. Et même si la partie romancé est amputée de quelques faiblesses, l'ensemble reste solide, bien assez pour nous faire passer un bon moment
    fredhiver
    fredhiver

    24 abonnés 152 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 31 octobre 2006
    L’écrivain et chercheur Tsvetan Todorov déclare : « Dans ma jeunesse, en Bulgarie, la fiction était dans la vie réelle, la vérité était dans les livres ». Par un tour de passe-passe vertigineux, Wolfgang Becker, dans « Good Bye Lenin », recrée une sorte de réalité fictionnelle touchant une période essentielle de l’histoire d’un autre pays de l’Est, la R.D.A. Le film se situe entre l’ouverture du bloc communiste par la Hongrie en été 1989 et la Réunification le 3 octobre 1990. L’aspect politique du film est l’adieu à l’utopie, le deuil d’un pays non tel qu’il était mais tel qu’il aurait pu être. De nombreux Ossis ne purent se résoudre à voir la RDA rayée d’un trait de plume de la carte de l’Europe. La disparition des produits de l’Est (le mousseux Rotkäppchen, les petits pois Globus), sert de symbole de l’absorption radicale de la RDA par la RFA. Des sites internet cultivent aujourd’hui encore l’Ostalgie qu’évoque Alex, ce prénom à double sens à Berlin. Autre symbole : ce Palais de la République qui, amianté, fut voué à la destruction, comme W. Pieck et W. Ulbricht avaient préféré raser le Schloss (Château) en 1950. Et ces jeunes Pionniers montant la garde dans les écoles et chantant en chœur le doux pays natal. Après l’union monétaire de juillet 90 on dut se hâter de changer les marks de l’Est (scène marquant le désarroi et l’impuissance des Ossis). L’aspect humain, dans GBL, repose sur les relations mère-fils, frère-sœur et de couple. L’appartement est la métaphore du pays : une RDA petit modèle, qu’on préfère maintenir au prix du mensonge, celui du fils succédant à celui de la mère des années auparavant. La mère n’est pas présentée uniquement comme une victime, c’est plus complexe. Le Mur fut pour les uns Mur de la Honte, pour les autres Rempart contre le capitalisme. Ce film poignant témoigne des traumatismes que sa chute a pu causer, au-delà d’une ouverture des frontières, inéluctable et qui va bien sûr dans le sens de l’Histoire de l’Europe.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 25 juin 2008
    un film étrange vu son mélange drame-comédie qui peut déranger certaines personnes, mais l'ensemble reste très bien
    ferlox
    ferlox

    14 abonnés 521 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 mars 2009
    Si on est juste un sectaire, au premier abord on se dit:"tiens ils savent faire des films en Allemagne", le reste ça ne se décrit pas ce vie...
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    579 abonnés 2 748 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 août 2019
    Good Bye Lenin ! a la grande intelligence de proposer, à partir de son canevas digne d’une comédie de boulevard, une reconstruction topique et utopique d’un Berlin sous régime démocratique. Ou comment la fiction sert la concrétisation de la fiction idéologique dans laquelle une femme s’épanouissait et qu’elle imposait à sa famille. Alexander Kerner l’avoue lui-même : la RDA ainsi recréée est celle dont il a toujours rêvé, lui ce jeune rebelle qui n’hésitait pas, quelques années auparavant, à manifester pour défendre la liberté de presse. Car la mystification mise en place offre un important potentiel artistique : elle mobilise le meilleur ami qui s’initie aux métiers de réalisateur et monteur, elle transforme Alex en archéologue contraint de fouiller les vestiges de l’ancien système – comprenons : les poubelles – pour mieux le restaurer, le redynamiser. C’est à l’hôpital qu’il trouve l’amour, et la relation qu’il entretient désormais avec sa mère semble balayer les rancœurs passées : il a donné naissance à une utopie située en dehors du temps, dans une zone intermédiaire entre la Terre et le Ciel. Ce bouleversant adieu d’un fils à sa mère pose également la question de la subjectivité de l’Histoire comme expérience vécue et fantasmée : que signifie penser la République Démocratique Allemande ? comment rendre compte de ce qu’elle a pu représenter pour son peuple sans épouser l’idéal qu’elle visait ? La mystification comme seul instrument apte à révéler le fanatisme politique dans ce qu’il a de plus religieux. Le lieu principal n’est autre que la chambre à coucher dans laquelle Christiane réapprend à vivre, bulle à la fois insérée dans le monde de la fiction et projetée hors du monde réel. Nul hasard si son contact avec la réalité s’effectue par le biais du lit, support de la rêverie. Pourtant, il ne faudrait pas voir dans Good Bye Lenin ! l’apologie d’une idéologie et le déni d’une autre, par simple jeu d’oppositions. Car s’il y a bien une charge critique à l’encontre du communisme, le capitalisme subit une même charge à la puissance cette fois redoublée, puisqu’elle va à l’encontre du système qu’il propose et à l’encontre de l’eldorado qu’il était censé incarner. Et le comique constitue l’arme privilégiée pour renvoyer dos à dos les idéaux et leurs désillusions, ne sert, en fin de compte, qu’une esthétique de la récupération par le mensonge : le seul idéal réellement accessible est celui qu’un individu construit pour sa famille, contre vents et marées, à partir de bribes de souvenirs ramassés çà et là, de vieux pots de cornichons et de chants patriotiques. Jadis la mère, maintenant le fils. Toute cette farce prône la réconciliation et se saisit d’un miroir curieusement suranné dans lequel se réverbèrent néanmoins les maux nouveaux, apportés par le système capitaliste, et les avantages inspirés du passé. C’est dire que le faux a valeur de vrai, c’est dire aussi que la politique de rétention des hommes était seule à même de leur faire ressentir une liberté que le capitalisme, en feignant l’octroyer à tous, engloutit dans sa machinerie déshumanisante. Un grand film politique, en somme, caché derrière une grande comédie dramatique, portée par le piano de Yann Tiersen.
    moket
    moket

    434 abonnés 4 201 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 juillet 2020
    Pari osé faire d'un sujet sérieux et douloureux le sujet d'une comédie. Pari plus que réussi ! Entre légèreté et cynisme, le film nous fait sourire, rire, pleurer. C'est drôle, émouvant et insolent.
    Don Keyser
    Don Keyser

    66 abonnés 1 640 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 mars 2012
    Grâce à une mise en scène très intéressante de la part de Wolfgang Becker, "Good Bye, Lenin!" captive entièrement le spectateur. Mêlant ce fond d'histoire dramatique au comique, le long-métrage divertit du début à la fin. Les acteurs sont très convainquants tel Daniel Brühl et le final est plaisant. Dans l'ensemble, le film est très réussi puique l'on passe un très bon moment.
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