Avis : Banlieue 13 - Page 6

Pas grand chose à tirer de ce film qui donne raison au vandalisme et au non respect de la part de ceux qui sont représentés dedans.Un prétexte choisi pour filmer des acrobaties urbaines et combats assez spectaculaires,et finir avec une morale en carton,que des cascadeurs essaient de livrer en jouant les acteurs.Une belle perte de temps.

Je m'en doutais avant de voir le film de toute façon, c'est nullissime. Un film aussi irréaliste que stupide. Cyril Raffaelli sauve légèrement la mise.

Surfant sur la vague de l'époque Yamakasi et tuning, cette production Europa Corp décomplexée, décérébrée et hyper nerveuse met en vedette Cyril Raffaelli, ancien cascadeur, et David Belle, maître du Parkour et initiateur justement du groupe Yamakasi. Si le scénario ne brille pas par son intelligence ni le script par sa finesse, Pierre Morel nous sert un pur film d'action à 100 à l'heure avec cascades, poursuites et bastons de grande qualité. Mis à part quelques seconds rôles, ça joue plutôt bien et ça aurait pu être encore mieux avec un discours moins démago et simpliste. M'enfin, on vient chercher de l'action ici et c'est exactement ce que l'on trouve, le contrat est donc rempli et ma foi c'est très efficace dans l'ensemble. Un bon moment.

Pierre Morel comme à son habitude nous fait un bon film, pour son premier film il a tapé fort avec ce film d'action, cascade, les acteurs sont pas mal, l'univers des decors de B-13 sont bon, l'histoire vraiment simple à comprendre .

Un film d'action ultra rythmé et mis en scène avec efficacité. Le scénario est ultra simple et ne sert que de prétexte à offrir des séquences de course poursuite impressionnantes (à pied et dans des décors urbains comme lors des séquences de parkour) et des cascades folles. Les deux acteurs principaux sont de vrais athlètes et montrent l'étendue de leurs capacités physique. Bref un film où l'on peut débrancher son cerveau et en prendre plein la vue comme sur une attraction.

L'histoire et le jeu des acteurs laissent à désirer. Le seul intérêt du film réside dans ses nombreuses scènes d'actions chorégraphiées. Des tirs sans échange et du combat rapproché à la force des bras et des jambes. C'est à peu près tout. C'est moyen.

Diable. C'est bien mauvais tout ça. Faire un film sur la banlieue, pourquoi pas. Pourquoi ne feraient-on pas de films sur eux ? Même si dit comme ça, ça fait un peu animaux qu'on va voir dans un cirque. Pour moi, il n'y a qu'une France point. Même si après, oui, il y a la France des villes, des périphéries, de la campagne. Mais c'est idiot de faire comme Besson en empilant les clichés dans son sac. Non, parce que moi après voir vu Banlieue 13, ça ne m'a pas donné une idée très reluisante des cités. Vouloir combattre le Front National est une bonne idée. Encore faudrait-il arrêter de lui donner du grain à moudre. Parce que là, qu'est ce qu'on voit ? Des types qui se baladent dans la rue avec des kalachnikovs, des flics qui concluent des accords avec des dealers, des jeunes passant leur journée à regarder la télévision avachis sur leur canapé. Continue comme ça, Luc. Après cet état des lieux assez édifiant, il s'agit de voir ce que le premier film de Pierre Morel a dans le ventre. L'action tient la route. C'est toujours ça de pris. Les décors sont assez glauques. On a peine à croire que ça se passe vraiment en France. Et d'ailleurs, en parlant de ça, Besson a beau s'être pris de passion pour la banlieue, ce n'est pas pour autant qu'il est allé tourner là-bas et offrir du boulot à ces gens qui en manquent cruellement. Non, le tournage s'est effectué...en Roumanie. Bah, oui, vouloir faire de la politique, c'est bien. Mais bon, ça a des limites car il ne faut pas oublier qui paie à la fin et qu'un tournage dans un quartier sordide de Bucarest, ça reste bien moins cher que d'aller planter des caméras dans le 92. A part ça, les acteurs jouent faux. Tous autant qu'ils sont. Les deux tenant le haut de l'affiche. Un peu gênant. Mais ils ne sont pas les seuls. Les hommes de main, c'est pareil. Bibi Nacéri, je n'en parle même pas. Les pontes du gouvernement, idem. Ils ont beau être en costard-cravate, ce n'est pas pour autant qu'ils savent mieux jouer la comédie. L'habit ne fait pas le moine. Celle qui s'en sort peut-être le mieux, c'est la junkie et encore, à la base, c'est une actrice porno. C'est dire le niveau. Banlieue est dans la continuité d'un Taxi : tandem mal assorti, bagnoles trafiquées, flics abrutis, musique assourdissante. Avec de combats en plus. Pourquoi regarder ça alors puisque, pour être tout à fait franc, je pressentais le résultat final ? Parce que je suis sûr qu'il y en a encore capables de tomber dans le panneau en s'attendant à un bon film d'action made in France. Et puis, Kubrick disait que même dans un mauvais film on pouvait en apprendre quelque chose. Voilà, j'ai réussi à caser Kubrick dans un film de Pierre Morel écrit par Luc Besson. Je suis très content.

Un film avec un scénario se rapprochant de "New York 1997", mais dans les banlieues françaises, très bonne idée. Le scénario n'est pas bête non plus, avec l'idée que les autorités veulent se débarrasser de ce ghetto en y introduisant une bombe, mais bon, la où le bat blesse, c'est sur le jeu des acteurs (à part lors des scènes d'action), qui est assez mauvais dans son ensemble. Mais à part ça, cela reste un bon divertissement.

Un super film ou j ai adore tout cette action et les dialogues on passe un super moment mais aussi pas faire comme eux

Bonlieu 13 un film qui parle de la banlieue qui est critiqué et délaissé le reste de la France et qui est au cœur et au centre des plus trafic les plus grosses vagues de criminalité mais c'est aussi de leur faute à eux. on n'est pas là pour parler de morale ou de qui est le responsable parler de ce film qui est inspiré en grande partie de l'inspiration américaine et de l'admiration que Ah Luc Besson pour le cinéma d'action américain et action pur. ce genre de film dans la même lignée même si le scénario est parfois pas à la hauteur de mes espérances et qui limite fait passé des criminels pour des victimes du système alors que c'est pas le cas ! un film violent qui montre pas de sang ceci et un plus. scénario quelquefois bâcler. Le film traître du sujet que un flic doit désamorcer une bonne dans la banlieue 13 et piur cela il doit faire équipe avec un gars qui se bat pour le bien de sa cité et l'entente du duo ainsi que ce qui va ce passer comme ils l'avais imaginée. (vue et revue ce genre de chose ). Une réalisation plutôt bonne mais le casting et plutôt moyen en terme de qualité acteur et même si action et au rdv c'est parfois brouillon.

Le New-York 1997 version cité de France. C'est moins sérieux que son ancêtre, plus comique et moins travaillé mais cela reste un bon film d'action, à ne pas voir comme une anticipation cependant. ----Septembre 2015----

Un flic d'élite est envoyé pour désamorcer une bombe dans la banlieue 13, un ghetto confiné par les policiers dépassés. Luc Besson pompe donc les grandes lignes du "Escape from New York" de Carpenter, et fait réaliser son torchon par Pierre Morel. Au menu : dialogues raz-des-pâquerettes, scénario ridicule, empreints scandaleux, et ambiance rap/tuning fatigante. A noter : les chorégraphies travaillées, mais mises en scènes de manière complètement clipesque et putassière. Passez votre chemin.

Banlieue 13 fait partie des oubliables de la filmogrpahie de Pierre Morel. Sorti de l'entourage professionnel de Besson, c'est son 1er film en tant que réalisateur, et donc chez EuropaCorp. Et comme la majorité des films EuropaCorp qui se déroulent en France, ça tourne vite au ridicule et à l'énorme caricature Rien à ajouter.

Un peu de scénario de « New York 1997 » par-ci et de « Los Angeles 2013 » par-là, n'oublions pas "Robocop", ça se passe dans les banlieues de Paris en catastrophe d'état d'urgence pour cause de haute criminalité galopante. Le but est de chercher la bombe à retardement nucléaire en plus prêt à exploser, un super athlète de croisement entre « Ong Bak » et « Yamakasi », l’histoire n’est pas très futé, musique electro rap. Une cascade de haute voltige surhumaine pour l’infiltration policière, le geste du salto de plongeon au style série B, zéro originalité à l’horizon, autant regarder « The Raid ».

Pour un film d'action français, Banlieue 13 n'a vraiment rien à envier aux américains, que ce soit dans les cascades (tel des yamakasis), les plans sublimes (et très pros pour une première réalisation de Pierre Morel), la manière de filmer très percutante, et les scènes de combat dynamiques. Les musiques sont bien choisies et collent parfaitement au film. Cyril Raffaelli (bourré de charisme) et David Belle (bourré de charisme) pour des acteurs non expérimentés se débrouillent comme des chefs. Dès le début du film le ton est donné, on rentre tout de suite dans le vif du sujet, pas le temps à la discute avec ces gros durs. Il y a un bon rythme, des dialogues qui pour ma part je trouve bien ficelés et on va de surprise en surprise dans l'intrigue. Il faut aussi remarquer qu'il n'y a pratiquement pas d'effets spéciaux, tout est naturel et sans trucage et rien que pour ça je dis chapeau !