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    Rochester, le dernier des libertins
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    48 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 9 octobre 2006
    Un OVNI! Sans morale, ni histoire propre ce film est simplement extraterrestre! Le scénario n'est pas bien lourd et l'histoire moins libertine que ce que les divagations de Rochester pourait le faire croire! Néanmoins, l'atmosphère glauque confine au poétique, les odieux personnages sont très attachants et la mise en scène présente des pointes de lyrisme! Deux étoiles donc, puisqu'il est très dur de se faire une opinion nette sur ce film!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 24 juillet 2007
    Ce film est très bizarre, certaines choses sont difficiles à comprendre. Mais, Johnny nous envoit des émotions. Cet homme est dans un autre monde, il est seul, il ne peux vivre en harmonie qu'avec la personne qu'il aime. Cet homme finit malheureux, c'est le destin des gens trop différent. Ce film nous amène à réflèchir.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 17 janvier 2008
    J'ai adoré ce film très provocateur, assez choquant et touchant. Une histoire d'amour cachée par l'interprétation de scènes au théâtre. Film qui réunit de surcroît deux grands acteurs : Johnny Depp et John Malkovich. On a pitié pour ce fâmeux libertin qu'est Rochester... A voir, si vous aimez les films d'époque et si le "vulgaire" ne vous dérange pas !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 9 octobre 2006
    magnifique! du théatre... folie d'un homme en son génie, allant jusqu'au bout de l'abject, descente en enfer volontaire d'un poète... Du théatre vivant, des lumières suggestives, un environnement vicié... à voir, à détester de toute sa chair...
    isnemes
    isnemes

    2 abonnés 52 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 mars 2008
    franchemen c rare mais jai pas pu finir ce film qui est d'une lourdeur incroyable,j'adore johnny deep(il ressemblait trop a vile valo le chanteur de HIM)et je trouve sa prestation correcte mais le film est vraiment ennuyeu.a eviter
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Ce film ne cède à auncun compromis, et respècte des choix artistiques profonds et courageux. On n'est si peu habitué à pareil traitement que le début du film en est presque rebutant. Mais petit à petit on se fait à ce grain aggressif, à cette luminosité faible, on trouvera même certaines scènes dans la brume finalement très esthétiques. Le rythme est assez lent. Le jeu des acteurs est remarquable. Le rôle de Depp est très riche, mais j'ai aussi noté la prestation de Malkovitch. Il en est de même du contenu que de l'image, pas de concession, l'angleterre est boueuse, sale, et l'époque passablement ennuyeuse. Un homme cherche sa propre philosophie de la vie dans cet univers, c'est Rochester. Le film trace sa décadence, et sa rédemption, sans là non plus s'attarder sur les sentiments. A noter outre d'excellents acteurs, une musique de Nyman très discrète et très bonne. Les dialogues sont recherchés, on est presque aissillis de bonnes répliques tout au long de ce film assez pessimiste et glauque qui s'adresse à un public averti et où la philisophie et le théâtre prennent le pas sur le libertinage.
    Marie A
    Marie A

    1 abonné 38 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 avril 2020
    Un film d’une beauté et d’une tristesse sans nom. Plongé dans une ambiance morose appuyée par ces images aux couleurs froides et cafardeuses, Laurence Dunmore redonne vie au compte de Rochester, le plus grand libertin que la terre n’ait connu, menant une vie de débauche dans cette Angleterre boueuse que fut celle du 17ème siècle. Un provocateur sarcastique n’ayant nullement peur de la controverse et du scandale, incapable de s’employer à l’hypocrisie du monde et dédaignant la société dans laquelle il vit “J’ai le devoir de m’exprimer car ce qui se passe dans ma tête est toujours plus intéressant que ce qui se déroule dans le monde qui nous entoure”. Un bon vivant dites-vous? Certainement pas, car un bon vivant aime la vie alors que lui en ait contraint, et s’adonne à toutes sortes d’excès afin de la supporter. Le personnage de John Wilmot est mis à nu, notamment dans la scène du premier cours de théâtre avec Mrs Barry, une scène extrêmement prenante de par sa douceur poétique ainsi que ses brillants discours. Il se révèle être un homme immensément passionné, mais aussi d’une profonde tristesse inébranlable liée au vide insatiable qu’il éprouve, ne se traduisant que par froideur et mépris « Je souhaite qu’on m’émeuve, car je n’éprouve rien dans la vie. J’ai besoin que d’autre le fasse pour moi, ici, au théâtre. [...] Je suis le plus grand cynique vivant dans cet âge d’or. [...] La vie n’a nul but, partout elle est pervertie par l’arbitraire, que je fasse une chose ou un bien l’inverse cela n’a aucune importance. Mais sur les planches d’un théâtre, n’importe quelle action, bonne ou mauvaise, à ses conséquences. [...] Le théâtre est ma drogue ». On y découvre également le personnage fort qu’est Elizabeth Barry, une femme remarquablement ambitieuse, indépendante et intelligente, puis surtout très avant-gardiste du fait de son sarcasme et de son insolence. La tristesse de ce film est sollicitée par l’époustouflante soundtrack de Michael Nyman, collant si justement au désespoir du personnage ainsi qu’à son destin tragique. L’affliction de la fin est accompagnée par l’émouvante et merveilleuse composition classique « If », toujours de Nyman, interprété par la sublime voix contralto d’Hilary Summers. La vie de dépravation de John aura eu raison de lui, l’emportant dans la souffrance de la maladie, et aucun détail n’est épargné. Comme dans le reste du film d’ailleurs, que ce soit la vulgarité des mots ou la vulgarité des gestes, tout y est, sans filtre et sans romance, avec un incroyable franc parlé de Rochester qui reste néanmoins poétique, et il est là le génie. Ce dramaturge incompris a été mis à mal par son ultime pièce blasphématoire à cause de ce génie là, de sa non-hypocrisie et de son œil visionnaire. Le terme exceptionnel est faible pour décrire l’incroyable performance de Johnny Depp ineffablement poignante, d’autant plus dans les derniers instants du film avec son impressionnante transformation. Il est si convaincant, intimidant et charismatique avec un air méprisant d’éternel insatisfait, il a capté le personnage. Finalement John Wilmot, deuxième compte de Rochester, m’inspire autant de pitié et de compassion que de fascination, mais en aucun cas du dégoût, en tant que libre penseur il a su garder ses convictions jusqu’à la fin, et aussi controversée qu’elles puissent-être, c’est admirable. À la question « Est ce que vous m’aimez en cette heure? », je répondrai oui.
    isabeau p.
    isabeau p.

    30 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 décembre 2018
    Un bon jeu et un Johnny Depp toujours aussi surprenant. À la hauteur de mes attentes avec des fous rires mais sans grande surprise avec quelques longueurs.
    pijonico
    pijonico

    54 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    C'est vrai que le début est un peu lent, que le film est parfois vulgaire, mais le descendre comme l'on fait certaines critqiues est tout à fait injuste.
    Alors, une fois de plus Johnny Depp est extraordinaire, dans un rôle pas gagné d'avance. L'ambiance lourde du film passe bien.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    L’histoire : Biographie du Comte de Rochester, figure controversée de l’Angleterre du 17ème.
    Mon avis : Une technique remarquable au service d’une illustration de la vulgarité. Dommage : la lumière, les décors, les costumes, les acteurs… tant d’énergie dépensée pour un sujet sans intérêt, je dois avouer que ça me dépasse. A réserver aux spectateurs en manque de seins, de godemichés et de mots crus. Un premier film volontairement provocateur ?
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    S'il fallait vraiment faire ce film, il fallait que ce soit avec Johnny Depp. Il est tout simplement éblouissant, dans un rôle pas si facile.
    L'histoire un peu plan plan aurait cependant pu être beaucoup mieux réalisée. On s'ennuie un peu.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Un film que j'ai trouvé assez léger. Une scène magistrale entre Johnny Depp (assez inégal tout au long du film) et Rosamund Pike ne suffit pas à relever un ensemble tirant plutôt vers le terne. Des images pas toujours très jolies ni très plaisantes, et une agacante teinte jaunatre de la luminosité, qui j'ose espérer vient illustrer le côté sombre et complexe du Comte de Rochester...ou serait ce pour mieux coller à la réalité de l'époque...Quoiqu'il en soit...le tout est assez bof.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 3 mars 2007
    Les critiques ont été particulièrement assassines avec Rochester, le dernier des libertins. Certes, c’est vrai que le scénario reste bancal et confus, avec des longueurs et certaines scènes qui auraient sûrement pu être supprimées au montage mais le film n'est pas totalement de mauvaise qualité non plus : il faut saluer la mise en scène de Laurence Dunmore (aux tonalités théâtrales - étant donné qu'il s'agit d'une adaptation de la pièce de théâtre The Libertine -) qui retranscrit les sentiments du Comte de Rochester avec réalisme ainsi que la prestation d’un Johnny Depp toujours aussi convaincant. Loin du chef-d'oeuvre, mais pas abject pour autant.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 7 mai 2007
    Magnifique prestation de Jhonny depp que je n'aurais jamais imaginée dans ce genre de rôle.
    Histoire sans grande intêret, mais c'est plutôt la facette philosophique et morale qu'il faut retenir de ce film car il montre bien que le bonheur est inaccessible, même si la personne qu'il le recherche met tout en oeuvre pour y arriver.
    Rochester parait heureux de l'extèrieur, on dirait qu'il profite bien de sa vie...Mais à l'interieur c'est tout l'inverse, il s'autodetruit moralement et physiquement. D'un côté on peut observer qu'il n'est pas vraiment heureux, son air sarcastique lui donne un aspect de diable qui rit du malheur des autres ainsi que du sien.
    L'alcool et le libertinage lui permettent rapidement d'être gravement malade (sida) maladie qui est alors mal connue à cette époque.
    Bref il sombre dans la tristesse qui lui était destinée.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 18 décembre 2009
    Que dire de ce filme si ce n'est qu'il est pénétrant !Rochester intérprété par Depp est une sorte de grand personnage hybride émouvant et subtile c 'est un mélange de Heathcliff de bronte (sa froideur,arroganceméchanceté,noirseur)Julien Sorel de sthendal (narcissisme,soife de pouvoir,ambition)et sade (libertinage,débauche)a voir absolument!!Depp est magistrale,le scénario captivant ,le film magnifique...
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