Avis : L'Empire des loups - Page 2

Quand on regarde la bande annonce, on a l'impression que c'est un film mega bien et pourtant... Les bandes annonces sont faites pour attirer le monde. Passez votre chemin, même si vous aimez jean reno.

Voulant surfer sur la vague des Rivières Pourpres, Nahon se perd complètement entre polar et SF et offre un film risible à l'interprétation aussi dégueulasse que l'est sa photographie!

Invraisemblable, pas du tout captivant et ridicule,
"L'Empire des loups" est un film dont le cinéma aurait très bien pu se passer.

Mais qu'a fait Jean-Christophe Grange au bon dieu pour qu'on dilapide ainsi son oeuvre ?

Chris Nahon à voulu nous servir le même plat que les Rivières Pourpres mais le résultat n'est pas aussi savoureux.

Moins fort que les Rivières Pourpres, ce thriller reste néanmoins d'une très grande efficacité.

Confus et chiant. 1 étoile pour la gueule de Jean Reno que j'adore.

alors que dire de ce film? esthétique deja daté qui fait très année 2000 à la get carter mais sinon agréablement surpris du scénario ( je n'ai pas lu le bouquin ) et la performance badass de jean reno que j'aime bien avec des flingues, les autres acteurs s'en sortent pas trop mal. Ce n'est pas un grand film mais cela se laisse regarder un dimanche soir d'été qd il pleut

Si on a pas lu le livre avant de voir le film, ce film peut sembler plutot bon.
Mais comme le bouquin etait passionnant, la seule conclusion que je fais de ce film est que c'est un ENORME navet pas du tout fidèle au livre de base !
Le choix du trio principal est mauvais.
Le pire rôle est attribué à arly jover qui joue le rôle d'Anna heymes l'actrice principale.
Sa voix, sa posture et son jeux sont insupportables.
On peine à aller au bout du film malgrès un excellent scenario de base .
Au final le projet semble bien trop difficile pour ce réalisateur qui peine lourdement à donner un Plate copie bien vilaine d'un chef d'œuvre littéraire .
Dommage !

Certes beaucoup d'invraisemblances mais des acteurs convaincants, un suspense habilement mené sur une bande sonore percutante.

Un film policier correct mais sans réelle surprise.

Jean-Christophe Grangé est sans doute un très bon auteur, mais ce n'est pas lui faire injure d'écrire que ses adaptations ne sont pas toujours réussies (euphémisme). Il faut dire ici qu'il n'est pas aidé par Chris Nahon, réalisateur lourdingue et clipesque persuadé que pour rendre son film très sombre et inquiétant il faut en faire des tonnes visuellement, le tout en ayant recours à des effets éléphantesques et en virant régulièrement au glauque de manière pas du tout subtile... D'ailleurs, je dois avouer avoir mis longtemps à comprendre où le scénario voulait en venir tant tout cela est peu clair, pour ne pas dire assez inintéressant un bon moment. Heureusement, la dernière partie permet un léger regain d'intérêt à travers un rebondissement improbable mais ayant au moins le mérite de nous secouer un peu. Que dire de plus ? Interprétation très moyenne, Jean Reno nous servant son numéro habituel tandis qu'Arly Jover ne parvient toujours pas à montrer une once de talent. Dans des mains talentueuses, cela aurait pu être correct. Là, on a juste quelques bribes nous laissant imaginer cette possibilité. Très dispensable.

« L'empire des loups » représente une nouvelle tentative, après « Les rivières pourpres », pour développer un « Thriller à la Française » capable de concurrencer les États-Unis sur leur propre terrain. L'idée est louable mais le résultat est loin d'être à la hauteur des efforts déployés. Si l'esthétique est parfaitement réussie, le scénario se révèle bien trop complexe et brouillon pour convaincre vraiment. D'ailleurs les acteurs semblent s'y perdre aussi et surjouent de manière désagréable. Tout semble alors reposer sur les larges épaules de Jean Reno qui fait ce qu'il peut pour garder le cap. Malheureusement son charisme évident ne suffit pas à imposer un film qui reste très anecdotique dans sa généreuse carrière. Dommage, mais il semble qu'il faudra encore bien du travail pour détrôner le thriller Hollywoodien, seul Maître à bord.

Cette adaptation du roman éponyme de Jean-Christophe Grangé n’est pas sans rappeler l’ambiance lourde, glauque et cotonneuse de "Les rivières pourpres". Si les lecteurs de cet écrivain s’accordent à dire qu’on ne s’ennuie jamais avec ses œuvres littéraires, grâce à un aménagement maîtrisé du suspense, ici on est loin d’être captivés par ce scénario aux apparences compliquées alors qu’il est en fait tout simple. Malgré les intentions de nous livrer un policier épique, nous n’avons guère de dimension humaine dans cette histoire qui permettrait au spectateur d’adhérer à cette enquête. Pire : malgré la situation d’Anna, nous ne ressentons à aucun moment l’aspect dramatique de sa condition, laquelle nous aurait permis de nous intéresser ne serait-ce qu’un peu à son histoire. Seulement son interprète parait vide de tout sentiment. On expliquera cette froideur par le passé mystérieux de son personnage… Le film avance, un flic enquête sur une série de meurtres, et par un coup de baguette magique, les loups gris représentent le lien entre les deux histoires. Ce tour de passe-passe scénaristique peu crédible donne la même impression que le cheveu tombé dans la soupe. Le problème est qu’aucun des acteurs ne semble bon, pas même Jean Reno ou Jocelyn Quivrin. Comme bon nombre d’internautes cinéphiles, le film parait affreusement plat, si plat que l’intérêt est quasi inexistant spoiler: , d’autant plus que l’intrigue repose sur un détournement de quelques kilos de drogue
… D’habitude, je suis plutôt bavard dans mes critiques, mais je ne vois pas ce que je peux dire de plus, si ce n’est que les sous-sols de Paris sont plutôt bien représentés. Ainsi mon inspiration est à la mesure de mon attachement à l’histoire : quasi nulle.

Chris Nahon possède un certain savoir-faire dans le domaine de l'action. Ce n'est pas une nouveauté. Il l'avait déjà prouvé dans Le Baiser mortel du dragon. Il y a une atmosphère à la Seven pas trop mal non plus. Cadavres atrocement mutilés. Pluie incessante (je ne savais pas qu'il pouvait pleuvoir autant à Paris). Flics troubles. Je suis plutôt agréablement surpris. Ça démarre bien malgré le petit frisson ressenti à la vision du nom de Christian Clavier crédité au scénario. Cependant, c'est après que ça se gâte. C'était trop beau. Le côté trop clinquant de la réalisation. La musique techno trop bruyante. Plus ennuyeux et comme souvent chez Grangé : la superposition d'intrigues dont le lien entre elles n'est pas évident à saisir. Pensez donc. Une épouse ayant des trous de mémoire des flics manifestement corrompus des expériences menées par les services secrets une organisation d'extrême-droite turque qui s'invite à la fête. Ça fait beaucoup. Sur six cents pages, c'est tenable. Sur un film de deux heures avec des scènes d'action obligatoires, c'est compliqué de tout caser et d'être clair. Sans parler de Reno qui mène son enquête d'une manière très personnelle et en sortant des répliques que je ne pensais pas réentendre un jour ( spoiler: je n'ai qu'une seule loi : la mienne !
. Mais bon, j'imagine que pour les réfractaires à la lecture souhaitant simplement voir un petit thriller français poisseux, celui-ci fera vaguement l'affaire.