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    Une visite au Louvre
    Note moyenne
    4,6
    5 titres de presse
    • Cahiers du Cinéma
    • Le Monde
    • Les Inrockuptibles
    • Aden
    • Libération

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    5 critiques presse

    Cahiers du Cinéma

    par Antoine Thirion

    Straub et Huillet ajoutent un édifice à la question décisive des rapports entre une parole qui s'envole et un regard qui creuse.

    Le Monde

    par Jean-François Rauger

    Derrière la fascination pour le texte de Cézanne, pour sa quête d'une émotion qui ne s'obtiendrait qu'en approchant au plus près les choses, s'affirme aussi l'éternelle recherche des cinéastes : l'absence absolue de toute complaisance, la véhémence, une forme de radicalité productive et critique. Cette histoire subjective des formes est aussi une histoire du cinéma.

    La critique complète est disponible sur le site Le Monde

    Les Inrockuptibles

    par Jean-Baptiste Morain

    Une série de plans fixes sur quelques tableaux exposés au Louvre, un texte vibrant attribué à Cézanne. D'une simplicité élémentaire, Une visite au Louvre (...) est un chant ardent dédié à l'art et à l'esprit critique.

    La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

    Aden

    par La rédaction

    Visite pédagogique ? Mais aussi hymne à la beauté et chant de gloire à la réflexion critique. Voir et penser. Observer. A travers la peinture des autres et la réflexion d'un maître, Une visite au Louvre est aussi une approche du cinéma même des deux réalisateurs.

    La critique complète est disponible sur le site Aden

    Libération

    par Hervé Gauville

    Le Rut du printemps, Combat de cerfs choisi par les Straub illustre certes à merveille l'églogue de Courbet, il présente aussi l'avantage d'annoncer la conclusion pastorale du film. Une nouvelle analogie surgit alors : Straub serait au cinéma ce que Cézanne était à la peinture.

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