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    À l'ouest des rails
    Note moyenne
    4,0
    13 titres de presse
    • Le Monde
    • Les Inrockuptibles
    • Cahiers du Cinéma
    • Ciné Live
    • L'Express
    • Le Figaro
    • Le Figaroscope
    • Libération
    • Positif
    • TéléCinéObs
    • Télérama
    • Zurban
    • Aden

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    13 critiques presse

    Le Monde

    par Jacques Mandelbaum

    ce film de fin du monde est une oeuvre majeure réalisée avec une caméra DV. La composition plastique, la recherche d'une justesse de point de vue sur les personnages, l'interrogation sans cesse renouvelée des conditions qui président dans une situation donnée au rapport des sujets filmés avec l'espace et le temps, le montage entre eux de ces éléments, en un mot la mise en scène, sont ici les soucis et les outils prépondérants du cinéaste, qui atteint, grâce à eux, avec infiniment plus de pertinence et de fulgurance que s'il l'avait posée comme préalable, le coeur de la question politique.

    La critique complète est disponible sur le site Le Monde

    Les Inrockuptibles

    par Jean-Baptiste Morain

    Seul et avec une simple caméra DV, Wang Bing transforme un documentaire sur la fin d'un complexe industriel chinois en une fresque apocalyptique d'une puissance politique, historique, humaine incroyable.

    Cahiers du Cinéma

    par François Bégaudeau

    On voudrait dire la grandeur d'A l'ouest des rails et à quoi elle tient. A l'Ouest des rails est une fête pour les yeux dont la potion magique ne se compose pas des ingrédients usuels du juste filmage propre au genre.

    Ciné Live

    par Xavier Leherpeur

    Voir la critique sur www.cinelive.fr

    L'Express

    par Julien Welter

    Voir la critique sur www.lexpress.fr

    Le Figaro

    par La rédaction

    Voir la critique sur www.lefigaro.fr

    Le Figaroscope

    par La rédaction

    Le cinéaste chinois Wang Bing extrait de la désolation ambiante le minerai précieux de l'existence humaine, avec une exceptionnelle qualité d'attention.

    Libération

    par Didier Peron

    A l'ouest des rails n'est pas qu'un film engagé sur le front d'une lutte des classes toujours perdue où, désormais, les anciens "camarades" sont livrés les mains nues aux affres dédoublés d'un Etat omnipotent et d'une poignée de spéculateurs sans scrupule. Le Parti est devenu cette tutelle indigne qui ne veut plus subvenir aux besoins de sa progéniture mais entend qu'elle continue à lui obéir au doigt et à l'oeil. Le film d'ailleurs fascine en ce qu'il dévoile la docilité d'un peuple qui n'a plus la force de se révolter.

    Positif

    par Pascal Sennequier

    La grande force de Wang Bing est de s'être focalisé sur la dimension collective du phénomène "Tie Xi" et d'en avoir extrait l'âme de toute une population.

    TéléCinéObs

    par Bijan Anquetil

    Wang Bing a su prendre la mesure de la disparition d'un monde. (...) Avec "A l'ouest des rails", l'expression "cinéma du réel" prend tout son sens.

    Télérama

    par Louis Guichard

    Attention, convoi exceptionnel. Ce documentaire chinois en trois parties dure plus de neuf heures, et son ambition, sa réussite sont à la hauteur de ce format hors norme. (...) Ces trois volets du film forment une somme d'une ampleur et d'une intensité rares, comme si les ruines dévoilées par Wang révélaient en même temps ce que fut la Chine industrielle de la seconde moitié du XXe siècle et ce qu'elle est devenue en peu de temps.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    Zurban

    par Eric Quéméré

    Une étonnante expérience de cinéma vérité, qui rend palpable le désarroi d'une population confrontée à une "révolution" d'un genre nouveau.

    Aden

    par La rédaction

    Un portrait étouffant, enfermé, sans regard sur l'extérieur. Comme si la caméra, à l'instar de ces hommes, était condamnée à regarder indéfiniment ces rails qui défilent entre les bâtiments crasseux, cette pauvreté, cette absence. Condamnée à l'ennui. Un film dépressif pour un pays en dépression ?

    La critique complète est disponible sur le site Aden
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