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Incertitudes
172 abonnés
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2,5
Publiée le 1 novembre 2018
Harrison Ford en informaticien à soixante-cinq ans ? D'accord, il y a des personnes âgées très douées avec l'informatique mais quand même. Et puis je ne dois pas être le seul mais j'ai tellement l'habitude de le voir dans la peau d'Indiana Jones que j'ai du mal à le voir ailleurs. C'est comme ça. Il y a des acteurs prisonniers d'un seul rôle alors qu'ils ont fait des tas d'autres trucs cools à côté. Donc, c'est un informaticien avec une vie de rêve. Le boulot marche bien. Il a une gentille secrétaire dévouée. Une belle maison. Une épouse charmante, architecte qui en a elle-même fait les plans. Deux beaux enfants. Un bateau. Un chien. Le grand classique. On devine que cette famille n'a aucun problème de fin de mois. Que leur seul souci, c'est de savoir si maman fera des crêpes en rentrant à la maison. Les veinards. Il faut un élément perturbateur sinon il n'y aurait pas de film et ce serait horriblement ennuyeux à suivre le bonheur des autres. Des terroristes le menacent sa famille et lui. Et là, ça ne va plus. Comme dans Air Force One en 1997, papy Ford va prendre les choses en main. Car la famille, c'est sacré. On n'y touche pas. Et ce n'est pas une bande de jeunes geeks encore en culottes courtes quand monsieur faisait Blade Runner qui vont bouleverser ce qu'il a mis une vie à construire. Non mais ! Une différence par rapport aux années 80 et 90. Comme on est à l'ère d'Internet, les scénaristes américains ont intégré qu'on pouvait causer autant de dégâts sinon plus avec le piratage informatique qu'à l'ancienne avec de bons vieux explosifs dans une mallette. Heureusement, Ford est aussi à l'aise sur un clavier que dans les bagarres. Comme je l'ai expliqué, Firewall est particulièrement niais, et ce dès le début, dans la description de cette famille parfaite où rien ne dépasse. Tout est prévisible. Le pseudo suspens pour donner l'illusion de tenir en haleine. Et une conclusion désespérante car sans surprise. Et sinon, Indy, au lieu de faire joujou avec les ordinateurs, il reprend quand du service ?
techniquement, improbable. mais bien joué avec un Ford vieillissant mais convaincant. l'intrigue est cousue de fil blanc mais le suspense est bon. ca se regarde. un film avec windows Xp et des cellulaires à clapet fait tout de suite démodé. mais bon, ca ne rajeunit pas ceux qui ont connu cet OS.
Comment est-il possible qu'un aussi bon film soit si durement critiqué? J'ai du mal à comprendre, car tout y est minutieusement réglé: le jeu savoureux des acteurs (prestations remarquables de Paul Bettany et Harrisson Ford), l'intrigue originale mais bon c'est vraie que il n'y a pas explosion et de carnage comme dans les film d'action américain et que un réalisateur français qui réalise à Hollywood sa dérange beaucoup même le public français alors que l'on devrait être fière. mais on passe un bon moment, y'a du suspens, ça ne s'arrête pas. Le seul bémol c'est que la fin est super prévisible, voir trop classique. je me suis laissé prendre par cette histoire, pas si bête que ça, et avec un Harrisson Ford, vieux, c'est clair, mais pas mou du tout. Il est plus tout jeune, le papy Harrison Ford, mais il a toujours beaucoup de répondant face aux méchants quand il s'agit de castagner. C'est l'un des mérites de ce thriller hign-tech que de nous montrer cela. Sinon, pour le reste... Je dirai que l'on reste un peu sur sa faim, même si dans l'ensemble c'est plûtôt ce qu'on attendait.
Un petit thriller honnête, qui remplit sa fonction principale, à savoir: divertir. Néanmoins, l'intrigue est trop convenue, et ce du début à la fin. Les clichés abondent (spoiler: le faux méchant, le happy end,... ), comme c'est le cas dans bon nombre de films du même acabit. "Firewall" se laisse cependant suivre sans déplaisir aucun. Les comédiens sont bons, dans l'ensemble (Harrison Ford en tête, bien évidemment, même s'il est très loin des rôles qui ont fait sa gloire).
La famille d'un cadre est kidnappée, et celui-ci se voit contraint de braquer informatiquement sa propre banque. Dans l'esprit, "Firewall" ressemble un peu à "Hostage", sorti un an plus tôt, mais se révèle moins original. Les personnages sont assez stéréotypés, et l'intrigue prévisible. Cependant, Harrison Ford est efficace dans le rôle principal, face à un Paul Bettany charismatique en méchant froid et calculateur. Et malgré quelques incohérences, le film est globalement divertissant, sans renouveler le genre.
Une mise en scène plate au possible, un scénario prévisible et un casting sans relief (avec un Harrison Ford que se foule pas trop et un Paul Bettany pas flippant une seule seconde). Vivement le retour de Ford dans un grand film!
Avec "Firewall", Richard LONCRAINE nous propose quelque chose de déjà vu. Le film bénéficie d'une mise en scène sans surprise. Par conséquent, le suspense n'est pas au rendez-vous et la conclusion demeure prévisible. Paul BETTANY ne se révèle pas très convainquant dans le rôle du méchant, et Harrison FORD fait de son mieux pour sauver la face.
Sur un scénario vu et revu (un homme aux compétences reconnues dans son domaine est contraint, à l'insu de ses collègues de travail, de commettre un délit car sa famille est retenue en otage) et qui ne date pas d'hier (souvenez-vous « Commando », en 1986, avec Arnold Schwarzenegger et le même scénario), scénario qui est proposé ces dernières années à tous les acteurs d'Hollywood sur le retour (cf. Bruce Willis dans le déjà pas terrible « Otage »), on met un réalisateur tâcheron d'Hollywood, Richard Loncraine, à qui l'on doit le très moyen « La Plus Belle Victoire » (Wimbledon, 2004), réalisateur appelé de dernière minute (ce n'est pas lui qui avait commencé le film) et un méchant pas assez méchant et très peu charismatique (Paul Bettany). Avec tous ces handicaps de production, êtes-vous vraiment étonnés que le film ne soit pas terrible ? A cela, ajoutez aussi un informaticien dont les commandes qu'il tape sur un clavier d'ordinateur apparaissent plus vite à l'écran qu'elles ne sont tapées et un dénouement regroupant tous les clichés du genre spoiler: dont un plan final, tout droit sorti d'une projection-test, sur la famille américaine type (le père, la mère, la fille, le fils, le chien) réunis et enlacés . Dire que ce film a fait 47 millions de dollars d'entrées au Box-office américain !
Chargé de la sécurité informatique pour une banque de Seattle, Jack Stanfield (Harrison Ford) va devoir contourner son pare-feu inviolable et détourner 100 millions de dollars s’il souhaite un dénouement positif au rapt de sa famille. Harrison Ford est un acteur qui a conquis le public grâce à une carrière qui aura été parsemée de chef d’œuvres, malheureusement il y aura également eu bon nombre d’action movies souvent très moyens comme le démontre "Firewall". Pour ce genre de thriller on était en droit de s’attendre à quelque chose d’un peu plus sophistiqué, plus high-tech qu’un banal jeu du chat et de la souris entre les preneurs d’otages et leurs victimes. Malgré un scénario manquant d’originalité, le film de Richard Loncraine ("La Plus belle Victoire") peu se reposer sur des acteurs convaincants. Harrison Ford toujours aussi sympathique et à l’aise dans ce genre de rôle et Paul Bettany qui, malgré un doublage français peu flatteur, donne le change en kidnappeur froid et pausé. "Firewall" est genre de divertissement idéal pour une soirée sans prise de tête mais sorti de ce contexte il est bien difficile d’y trouver de l’intérêt.
Un film de braquage très banal et qui a du mal à tenir en éveil. Il ne suffit pas d'ajouter une vague caution technologique moderne pour faire la différence. Cela ne renouvelle pas le genre et ce n'est pas particulièrement prenant. Harrison Ford voit son talent un peu gâché...
Petit film d'action mettant en vedette Harrison Ford et aux spécificités proches du téléfilm, Firewall raconte la prise d'otages de toute une famille dans le but de persuader le père de famille de détourner de l'argent virtuellement, étant un pro de l'informatique. Malgré les présences renforçantes de Paul Bettany, Virginia Madsen ou Robert Patrick, le métrage s'embourbe rapidement dans les méandres inconscients du mauvais film, à la fois long et monotone. Malgré un pic de tension qui monte sur la fin mais qui s'accompagne d'action tirée des productions à faible budget, Firewall ne parviendra jamais plus à décrocher le statut de bon film du dimanche.
Un thriller assez moyen, qui ne révolutionne absolument pas le genre ni y apporte rien de nouveau, on reste dans les sentiers battus malgré les bonne sintentions du début, ce qui fait que le scénario est quelque peu improbable et incohérent. Les performances des acteurs sont assez inégales, et on sent que Harrison Ford est juste venu encaisser son chèque.
Rien de bien neuf, mais une intrigue plutôt bien menée et Harrison Ford, toujours impeccable. Malgré les bonnes idées, le film n'évite pas les clichés, notamment une bande son qui nous dit quand il faut avoir peur, être méfiant, ému ou intrigué... A la longue c'est fatigant !