Mon compte
    Les Conséquences de l'amour
    Note moyenne
    3,6
    27 titres de presse
    • Positif
    • Télérama
    • Zurban
    • Ciné Live
    • L'Express
    • L'Humanité
    • L'Humanité
    • Le Monde
    • MCinéma.com
    • Studio Magazine
    • Télé 7 Jours
    • TéléCinéObs
    • Télérama
    • Zurban
    • Cinéastes
    • Le Figaroscope
    • Le Monde
    • Le Point
    • Ouest France
    • Paris Match
    • Première
    • Score
    • The Hollywood Reporter
    • Variety
    • aVoir-aLire.com
    • Les Inrockuptibles
    • Libération

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    27 critiques presse

    Positif

    par Philippe Rouyer

    A Cannes, il a été beaucoup dit que Toni Servillo aurait mérité un prix d'interprétation. C'eût été amplement justifié, tant il exprime de choses derrière l'impassibilité de ses traits. Mais la mise en scène n'aurait pas non plus démérité d'une récompense. Elle regorge de trouvailles (...).

    La critique complète est disponible sur le site Positif

    Télérama

    par Pierre Murat

    Paolo Sorrentino capte, avec l'élégance et la précision d'un orfèvre, le vide qui s'installe entre les êtres et, surtout, le vide qui sépare à jamais son héros de lui-même. Avec cette caméra qui s'approche et glisse aussitôt pour mieux s'écarter, il semble orchestrer, à chaque instant, une cérémonie secrète et sophistiquée.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    Zurban

    par Mathieu Dupont

    Une histoire servie à merveille par un Toni Servillo qui incarne parfaitement l'homme désincarné, et une caméra tenue de main de maître par Paolo Sorrentino, qui fabrique un film original, entre carnet de philosophie à l'humour froid et thriller à l'action minimaliste. (critique cannoise)

    Ciné Live

    par Emmanuel Cirodde

    Voir la critique sur www.cinelive.fr

    La critique complète est disponible sur le site Ciné Live

    L'Express

    par Eric Libiot

    Voir la critique sur www.lexpress.fr

    L'Humanité

    par Vincent Ostria

    Un polar déstructuré et paradoxal, très Éditions de Minuit. Sans doute trop chicos pour certains, car truffé de mouvements de caméras huilés, de cadrages savants, de décors cossus et modernes. Mais, dans ce savant édifice aux arêtes lisses, affleure en permanence un humour pince-sans-rire, lié au déphasage du héros (...) Bref, on applaudit des deux mains (gantées de cuir noir).

    L'Humanité

    par Zoé Lin

    Servi par une brochette d'acteurs qui jouent tous, premiers comme seconds rôles, de bout en bout sur l'ambiguïté et l'étrangeté des personnages, le Conseguenze dell'amore ne manque pas de qualités jusque dans sa construction appliquée (...) ni d'un humour décalé (...) (critique cannoise)

    Le Monde

    par Jean-Luc Douin

    Filmant avec un indéniable souci esthétique, multipliant les travellings dans le lieu clos, glacé, symbole d'enfermement, où végète le porteur de valises, Paolo Sorrentino pourrait n'être crédité que pour sa dextérité dans l'exercice de style. Mais Les Conséquences de l'amour sont mieux que cela : l'illustration, à rebondissements romanesques, de la vacuité d'une existence réduite à un inlassable train-train, des journées mortes, des portes fermées.

    La critique complète est disponible sur le site Le Monde

    MCinéma.com

    par Olivier Pélisson

    Un film extrêmement précis et maîtrisé, habité par une ambiance décalée. La mise en scène est méticuleuse et s'articule autour d'un personnage central qui n'est pas sans rappeler celui du SAMOURAÏ de Jean-Pierre Melville. (...) Sans être totalement enthousiasmant (un peu trop mécanique), un film qui vaut le détour.

    Studio Magazine

    par Michel Rebichon

    Voir la critique sur www.studiomag.com

    La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine

    Télé 7 Jours

    par Gérard Lenne

    Ce pourrait être mortellement ennuyeux mais tout est dans la façon de filmer, constamment surprenante, stimulante.

    TéléCinéObs

    par Elodie Lepage

    Le deuxième film d'un jeune réalisateur napolitain de talent. On appréciera surtout l'élégance de sa mise en scène -sens de la composition, bande-son techno recherchée- et sa représentation de la mafia, dépourvue de tout pittoresque.

    La critique complète est disponible sur le site TéléCinéObs

    Télérama

    par Cécile Mury

    Le comédien Toni Servillo épouse brillamment le rythme insolite que lui impose son réalisateur, cette lenteur ponctuée d'instants d'une drôlerie brusque, dissonnante. (critique cannoise)

    Zurban

    par Véronique Le Bris

    Seul représentant italien en compétition officielle au dernier festival de Cannes, ce film signé Paolo Sorrentino est passé presque inaperçu. C'est dommage car l'originalité du sujet et de son traitement, ainsi que la fabuleuse interprétation de Toni Servillo méritaient plus que cela. Encore faut-il apprécier les films sans effets, quasi minimalistes ou avoir la patience de se laisser porter jusqu'au surprenant dénouement.

    Cinéastes

    par Sara Ri

    Il s'agit plus d'un beau personnage que d'un beau film. (...) Une chute absurde et arbitraire qui sacrifie le film à un ultime retournement de situation.

    La critique complète est disponible sur le site Cinéastes

    Le Figaroscope

    par Marie-Noëlle Tranchant

    Bizarre, bizarre, ce suspense existentiel qui s'allonge indéfiniment dans une lenteur antonionienne, avant de déboucher sur un drame ironique d'argent et de Mafia. Beaucoup d'attente, qui risque d'être un peu déçue, mais dont les cinéphiles apprécieront l'élégance.

    Le Monde

    par Florence Colombani

    Paolo Sorrentino (...) fait montre d'un indéniable sens plastique et d'un certain talent pour instaurer une atmosphère à la fois funèbre et cocasse. Mais, tandis que les plans s'orchestrent autour de quelques objets (...) il apparaît vite que le cinéaste est prisonnier de la mécanique qu'il a inventée. (critique cannoise)

    Le Point

    par La rédaction

    Voir la critique sur www.lepoint.fr

    La critique complète est disponible sur le site Le Point

    Ouest France

    par La Rédaction

    Le deuxième long-métrage de l'Italien Paolo Sorrentino, servi par l'impeccable prestation de Toni Servillo, énigmatique à souhait. Mais les rigoureux partis pris du début de récit, nourris d'étrange et d'absurde pour installer le malaise, volent peu à peu en éclat. Comme si, un peu apeuré devant ses choix absolus, le cinéaste se laissait tenter par le confort d'une intrigue plus conventionnelle. Et rassurante.

    Paris Match

    par Christine Haas

    Avec une esthétique très marquée et parfois agaçante, Paolo Sorrentino fait de l'atmosphère avec du malaise. (...) Magnifique derrière son masque d'impassibilité, Toni Servillo évoque un Peter Sellers triste à mourir.

    Première

    par Sophie Grassin

    Paolo Sorrentino signe un film d'atmosphère mélancolique et mystérieux sur la mafia. Ses partis pris esthétiques peuvent agacer, mais Toni Servillo, comme en exil de lui-même, sert le film à la perfection.

    La critique complète est disponible sur le site Première

    Score

    par G.D. Jones

    Un film ultra-maniéré, lounge et claustro, qui plonge au plus profond du désespoir.

    La critique complète est disponible sur le site Score

    The Hollywood Reporter

    par Kirk Honeycutt

    Une réussite mineure par un cinéaste qui fait preuve d'une grande maîtrise technique. (critique cannoise)

    Variety

    par David Rooney

    (...) Sorrentino prend un chemin original, profond et délicieusement tortueux pour traiter un des sujets les plus fréquemment explorés dans le cinéma italien (...) ce qui semblera distancié et maniéré pour les uns fascinera les autres (...) (critique cannoise)

    aVoir-aLire.com

    par Catherine Le Ferrand

    Un film qui déroute. Follement séduisant par certains partis pris de mise en scène, un rythme très rapide qui se heurte à l'asepsie de l'image, un choix musical qui renforce encore cet aspect "clip", et le jeu de Toni Servillo, fascinant, hypnotique ; terriblement agaçant par la mise en place d'un mystère dont on se contrefiche, par l'impossibilité de la moindre empathie pour les personnages, par le côté presque prétentieux de certaines scènes et un sentiment d'inachevé, d'inabouti.

    Les Inrockuptibles

    par Serge Kaganski

    L'histoire, tout comme le personnage, sont lugubres. La mise en forme n'arrange pas grand chose : cadrages compliqués, photo ripolinée comme un magazine de mode, intention suraffichée de faire style, pseudo-modernité déjà ridée, ce n'est qu'une succession d'effets aussi voyants que gratuits.

    La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

    Libération

    par Didier Péron

    L'histoire (...) tient difficilement sur ses maigres jambes (...) Sorrentino emballe tout ça d'une mise en scène maniérée où la caméra n'arrête pas de glisser et de faire des arcs de cercle comme si elle tentait d'imiter un paon parvenu à l'ultime stade de la surestimation de soi. Puis la mafia débarque et la lourdeur forcée du film se met à peser vraiment sur l'estomac. (critique cannoise)

    Les meilleurs films de tous les temps
    Back to Top