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    Nobody knows
    Note moyenne
    4,3
    28 titres de presse
    • Aden
    • Cahiers du Cinéma
    • Ciné Live
    • Cinéastes
    • L'Express
    • L'Humanité
    • Le Figaro
    • Première
    • Studio Magazine
    • The Hollywood Reporter
    • TéléCinéObs
    • Télérama
    • Variety
    • aVoir-aLire.com
    • Chronic'art.com
    • L'Ecran Fantastique
    • Le Parisien
    • Les Inrockuptibles
    • Libération
    • Libération
    • MCinéma.com
    • Ouest France
    • Rolling Stone
    • L'Humanité
    • Le Monde
    • Le Monde
    • Télérama
    • Zurban

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    28 critiques presse

    Aden

    par Philippe Piazzo

    Dans ce film sublime, la délicatesse de la mise en scène semble, finalement, dénuder, insensiblement, toute la rudesse du monde.

    La critique complète est disponible sur le site Aden

    Cahiers du Cinéma

    par Thierry Méranger

    Entreprise de déminage, Nobody knows inclut donc, pour les désamorcer, la plupart des figures imposées du mélo. (...) Si le film séduit par ce qu'il nous épargne, il fascine par ce qu'il donne à voir du mûrissement des êtres et des choses...

    Ciné Live

    par Sandra Benedetti

    Voir la critique sur www.cinelive.fr

    La critique complète est disponible sur le site Ciné Live

    Cinéastes

    par Hendy Bicaise

    L'auteur du mémorable After Life nous revient avec un conte cruel qui, sous la moiteur et l'horreur de ses images, dessine une trace d'espoir indélébile. (...) Nobody knows possède ce qui fait la force des meilleurs films japonais contemporains (Eureka, Kaïro ou All About Lily -Chou-Chou), et se présente comme une invitation à un voyage flottant.

    La critique complète est disponible sur le site Cinéastes

    L'Express

    par Christophe Carrière

    Voir la critique sur www.lexpress.fr

    L'Humanité

    par Dominique Widemann

    Une maîtrise de l'éclairage intime mettant au jour les ressorts fictionnels autant que la précision documentaire du cinéaste. La caméra de Kore-eda Hirokazu capte chaque moment minuscule du quotidien des enfants, fait signe d'un rien ou de tristesses insondables que nul pathos ne noie, se pose sans jamais peser sur la palette de leurs expressions.

    Le Figaro

    par Marie-Noëlle Tranchant

    Voir la critique sur www.lefigaro.fr

    Première

    par Stéphanie Lamome

    S'inspirant d'un fait divers, Kore-Eda filme comme un documentaire l'existence de ces enfants livrés à eux-mêmes qui errent comme des petits fantômes coincés dans un purgatoire avec rien d'autre à expier que la faute de leur mère. (...) De jeune garçon timide, Akira devient progressivement chef de famille (...), se bat pour que sa petite famille existe au moins entre elle. Ce combat, désespéré, touche comme un crève-coeur.

    La critique complète est disponible sur le site Première

    Studio Magazine

    par Michel Rebichon

    Voir la critique sur www.studiomag.com

    La critique complète est disponible sur le site Studio Magazine

    The Hollywood Reporter

    par Ray Bennett

    D'adorables jeunes acteurs et une réalisation soignée font de cette histoire triste un film remarquable. (critique cannoise)

    TéléCinéObs

    par Bernard Achour

    De l'humour à la tragédie, de la débrouille en huis clos à la transgression forcée, l'observation du quotidien de ces quatre enfants peu à peu abandonnés par leur mère se pare simultanément d'un charme, d'une angoisse et d'une compassion qu'on se surprend à ressentir avec une solidarité viscérale.

    Télérama

    par Pierre Murat

    Le plus poignant dans cette chronique qui se joue sur quatre saisons, c'est la douceur de la descente aux enfers. Hirokazu Kore-eda enchaîne les scènes courtes, répétitives, obsessionnelles.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    Variety

    par Derek Elley

    Plus l'état de l'appartement se dégrade, et plus le film acquiert un style visuel rigoureux (...) La magie du film (...) réside dans sa façon désinvolte d'appréhender les détails (...) (critique cannoise)

    aVoir-aLire.com

    par Nicolas Bardot

    Avec la douceur mais aussi la cruauté d'un Takahata à son meilleur, Hirokazu Kore-eda peint l'enfance brisée dans un chef-d'oeuvre qui n'aurait pas eu à rougir d'une Palme.

    Chronic'art.com

    par Jean-Sébastien Chauvin

    Nobody knows semble parfois en équilibre précaire, menacé par le vide qu'il a lui-même conçu. Ce qui n'empêche pas sa petite musique entêtante de ne cesser, bien après l'avoir entendue, de nous trotter dans la tête.

    La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com

    L'Ecran Fantastique

    par Jean-Christophe Ferrari

    La mise en scène de Nobody Knows réussit à imposer, en accumulant des instantanés qui, isolés, sembleraient sans doute abstraits et conventionnels, une ligne claire et épurée, somme toute émouvante.

    Le Parisien

    par Alain Grasset

    Loin d'être tragique, l'histoire se révèle attachante, malgré sa longueur. Rarement, la douleur et la beauté de l'adolescence auront été captées ainsi par la caméra.

    La critique complète est disponible sur le site Le Parisien

    Les Inrockuptibles

    par Amélie Dubois

    On reprochera à Kore-Eda une inscription trop linéaire de cette histoire dans le temps, une fâcheuse tendance à se reposer sur la durée. Ce n'est pas dans ce temps-là, figuratif, que se passent les choses les plus fortes (...). On préfèrera de loin les moments où se matérialise une perception du temps (...) plus intériorisée (...). C'est là que le film touche réellement quelque chose des marques invisibles qui soutiennent notre rapport affectif au monde.

    La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

    Libération

    par Philippe Azoury

    Nobody Knows n'est tendre qu'en apparence. A l'intérieur, c'est un film qui ne lâche rien, pas un gramme d'épanchement (...). On comprend du coup d'autant moins pourquoi Kore-eda a choisi comme musique une ritournelle mélancolique dont la puissance de nuisance envahit la dernière moitié du film, massacrant certaines séquences (...). Cet alliage d'émotivité à tous crins et de rigueur dans le regard en a dérouté plus d'un.

    Libération

    par Didier Péron

    (...) une immersion crescendo au sein de ce groupe d'enfants (deux petits, deux grands), selon une structure volontairement répétitive (repas-disette-vol à l'étalage-retour à la case départ) où les nuances de la dégradation ambiante sont capturées dans une forme ouverte et rêveuse. (critique cannoise)

    MCinéma.com

    par Hugo de Saint Phalle

    NOBODY KNOWS est à la fois mélancolique et attachant. Même s'il s'étire parfois en longueur, on se rattache inévitablement à la pureté de ces visages enfantins et au tempo enivrant de ce conte désenchanté, décliné au rythme des saisons.

    Ouest France

    par La Rédaction

    Quand tout se prêtait aux déversements de larmoiements pathétiques, Kore-eda aborde son sujet avec la belle retenue d'une pudeur empreinte de dignité et de respect. (...) C'est évident, il aurait pu quelque peu en accélérer le rythme qui s'attarde parfois dans la description de petits riens du quotidien dont la répétition ne s'imposait pas.

    Rolling Stone

    par Isabelle Danel

    Adapté d'un fait divers survenu au Japon en 1988, Nobody Knows est une douce plongée dans l'horreur d'un intolérable abandon qui ne dit jamais son nom. (...) Le regard du réalisateur sur ces enfants perdus, leurs jeux et leur souffrance, les rites auxquels ils se raccrochent comme à des bouées, est d'une pureté déchirante.

    L'Humanité

    par Michel Guilloux

    Tout l'intérêt du cinéaste semble être porté sur Akira, dont le personnage (...) est le seul qui soit incarné. La perspective la plus tangible qu'il reste à ce film au dessein improbable suggéré dès le titre est de suivre (...) le fil ténu du passage de l'enfance à l'adolescence, hors de toute contrainte et réalité sociales. Si tel est le sujet, on reste néanmoins sceptique devant le cadre qui lui sert de prétexte. (critique cannoise)

    Le Monde

    par Thomas Sotinel

    Kore-eda est pourtant un cinéaste sensible. Son habileté à saisir les gestes et les expressions des enfants, sa faculté à traduire en images des sensations qui relèvent du goût ou de l'odorat sont admirables, tout comme la clarté d'une narration souvent privée de dialogues. Mais ce laconisme a son revers : (...) Les artifices de mise en scène, souvent virtuoses, semblent n'avoir d'autre raison d'être que d'étouffer l'émotion, l'empathie qui ne demandent qu'à surgir.

    La critique complète est disponible sur le site Le Monde

    Le Monde

    par Jean-François Rauger

    Ce qui est réussi là, c'est sans doute une certaine capacité à capter la formation d'une communauté hors du commun (...) Après s'être débarrassé de ce que l'on devine être le personnage le plus complexe et le plus intéressant (la mère), le film n'évite pas une certaine forme d'attendrissement auquel manque une dimension morbide. (critique cannoise)

    Télérama

    par François Gorin

    L'observation prosaïque de la fratrie abandonnée retient longtemps le flot des émotions faciles. Puis la digue cède, et dans son élan vers une poésie angélico-morbide, Kore-Eda gâche un peu sa marquetterie patiente et son beau sujet. (critique cannoise)

    Zurban

    par Waldo Lydecker

    Avec un sens du cadre très précis, le cinéaste compose ses plans, joue avec le hors champ, nous fait ressentir l'angoisse innocente des gamins (...) Mais la répétitivité de leur quotidien s'étire et (...) l'exaspération du temps mort risque d'être partagée par le spectateur. (critique cannoise)

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