Avis : Pirates des Caraïbes : le Secret du Coffre Maudit - Page 4

Une suite qui s’en sort bien. Sans égaler le niveau du premier film, qui reste de très loin le meilleur de la saga, Pirates des Caraïbes et le secret du coffre maudit n’est pas du tout mauvais.
Ok, tout est parfois un peu trop long, et un peu trop excessif. Plus d’effets spéciaux, mais moins de caractère, moins d’originalité, le film répète forcément des idées du 1, semblant seulement leur donner plus d’ampleur, plus de grandiloquence, ce qui ne signifie pas forcément que c’est mieux !
Malgré tout, et l’ennui qui peut poindre parfois devant un spectacle inégal, le résultat est tout à fait concluant à bien des égards. Visuellement presque impeccable, le film propose des effets spéciaux très spectaculaires et tout à fait réussis qui n’ont pas pris une ride. Le kraken est une réussite, même si certains pourront trouver le design surprenant, les décors sont impeccables, avec un Hollandais Volant sublime, et la photographie est toujours un des gros atouts du film. La mise en scène de Verbinski de son côté est rigoureuse, et Pirates des Caraïbes conserve l’habileté du réalisateur dans les scènes d’action, fluide et ultra-dynamique. Franchement, formellement il n’y a, comme pour le premier film, pas grand-chose à redire, avec toujours l’excellente bande son, sans laquelle la saga ne serait pas aussi épique.
Le casting est pléthorique, entre les anciens et les nouveaux. Depp reste l’attraction principale du film avec son personnage haut en couleur qui a complètement boosté sa carrière hors du cinéma de Burton. Il sait être excentrique sans en faire trop, et c’est un équilibre louable très efficace. Face à lui, et si cela changera dans l’épisode suivant, Bloom et Knightley sont clairement en retrait, surtout cette dernière. Personnages moins présents, et surtout prestations plus fades. En revanche, très belle arrivée de Bill Nighy que l’on ne reconnaitra pas dans la peau de Davy Jones, et toujours de bons seconds rôles, spécialement dans l’équipage de Sparrow. Malgré le nombre d’acteurs, ce film reste encore dans des marges raisonnables, à l’inverse du troisième épisode qui se disperse beaucoup trop.
Le scénario reste celui d’un épisode de transition à mon sens, puisque la fin de ce film est en réalité ouverte sur le troisième. Les deux doivent donc se regarder conjointement. Pas énormément de changement, mais plus d’action, et une intrigue qui s’alambique déjà pas mal. Pas désagréable à suivre du tout et tout à fait divertissant, cette suite n’évite cependant pas les redondances avec le premier métrage, tout en maintenant avec assez d’intelligence le mélange humour-sérieux qui avait fait le succès du 1. En clair, on sent que le film a des ambitions plus marquées que le premier film qui restait pour le coup un épisode d’exposition, et qu’il y a une volonté ici d’affirmer les bases d’une histoire plus grande et épique. Reste qu’on nous sert une introduction un peu longue qui aurait pu avoir plus de coupures.
Pirates des Caraïbes et le secret du coffre maudit est donc un film très divertissant, mais auquel il faudra pardonner certaines longueurs, et ce caractère « transitoire » qui transparaît parfois trop. Très réussi visuellement et rondement emmené par ses interprètes, il n’en reste pas moins que la machine bien rodée continue de nous tenir sur notre écran pendant 2 heures 30, ce qui n’est jamais une mince affaire. 4

D'un ennui magistrale et d'une longueur soporifique. Ce film de pirates avec des acteurs d'un nullissime grandiose n'a vraiment pas trouvés grace a mes yeux tellement c'est "Gnangnan" de long en large. Nul ou pour les enfants.

Film d'aventures dans la lignée du premier épisode, Le secret du coffre maudit est un poil trop long et un poil trop compliqué par moments. Mais l'aventure est toujours présente et défile à cent à l'heure. Jack Sapprow est toujours merveilleusement incarné par Jonnhy Deep. Comme dans le premier avec Barbosa alias geoffrey Rush, le pirate voulant la mort de Jack Sparrow (Davy Jones) est superbement interprété par Bill Nighy. Les seconds rôles sont toujours bien présents et donnent une vrai dimension au film. La fin possède une esthétique particulière vraiement réussi sur cette belle plage des caraibes et donnent envie de voir le troisième opus.

Difficile de renier son plaisir devant cette suite inévitable, et qui plus est inimitable. L'âge d'or de la piraterie étant illustrée à merveille à travers cette saga, au même titre que l’œuvre de Disney. Les présentations sont faites, mais d'autres personnages font ici leur apparition. Place à la fureur de Davy Jones et son terrible Kraken. La créature tentaculaire venue du tréfonds des abysses ne laisse aucune chance aux navires qu'elle attaque, même le mythique Black Pearl. Quoi qu'il en soit, voici une suite épique et diablement efficace. Un divertissement de haute voltige sous la direction de Gore Verbinski qui met tout en œuvre pour faire honneur à Disney et surtout à son public. On l'attendait davantage sur le scenario, et c'est justement là qu'il nous cueille avec un développement plus approfondie de certaines légendes des mers telles que le Hollandais Volant et son monstrueux équipage. Les scènes d'action, notamment de combats à l'épée, nous régalent d'une photographie précise et dynamique, où l'originalité n'est pas une option. La séquence de la roue est simplement démentielle. Le personnage Jack Sparrow, campé par l'incroyable Johnny Depp, ne cesse de surprendre. Il est encore plus pleutre et calculateur qu'on l'imaginait, mais il n'y en a pas deux comme lui, le plus légendaire des pirates. L'ensemble du contenu est globalement plus travaillé pour le plaisir des yeux et de l'intrigue. La fin de ce deuxième opus laisse un goût amer et bien des questionnements. Ce qui forcément donne envie d'embarquer pour la prochaine étape. Affaire à suivre. 4,5/5

Excellente suite, dans le même ton que le 1er volet !! Une aventure incroyable avec des personnages incroyables !!! L'histoire est très intéressante , utilisant beaucoup de personnages tous interprété magnifiquement !! Les scènes de batailles navales avec le Hollandais Volant sont superbes avec des effets spéciaux de grandes qualités !! Il en est de même pour les scènes terrestre notamment celle de la grande roue, accompagné d'une BO toujours aussi prenante durant les scènes d'actions !! Johnny Depp est une nouvelle fois fantastique , notamment son humour, plus présent dans ce volet !!

le secret. du coffre maudit, deuxième film de la franchise, s'avère être un film de très bonnes facture. il est rythmé, drôle. bref, on ne s'ennuie pas.

Une suite bien décevante ! Malgré beaucoup de choses réussies, comme les combats à l'épée sur l'île ou les différentes fins, le film ( devenu plus un divertissement familial, voire une comédie, qu'un film d'action ) n'est clairement qu'un épisode charnière lançant les base d'un troisième opus indispensable en posant beaucoup de question mais ne répondant à rien...

Pirates des caraïbes reprends là ou le premier volet s'était arrêté.
La recette est la même : des personnages forts et des intrigues multiples ( voir même un peu trop ). Mais dans une version plus dense. Le spectacle est plus impressionnant avec plus de monstres ( effets spéciaux réussis ), et plus de personnages que dans le précédent opus.

Visuellement , le film est réussi mais scénaristiquement l'intrigue se veut par moment un peu trop complexe ; comme s'il fallait absolument montrer que ce monde du passé n'est pas que brutalité et violence.
Mais ce dernier point n'arrive pas a gâcher l'ensemble du film et notre plaisir à voir notre Johnny Depp faire son clown. Il possède son personnage et en fait un numéro comique hilarant.

Toujours aussi bon au niveau de l'action et de l'aventure. On a du mal à détourner l’œil. Les dialogues et costumes sont bons, il y a toujours quelques méchantes répliques et de l'humour ivre et arrogant de Jack Sparrow. Un peu plus de spectaculaire, ce film ne peut se voir que sur grand écran pour être apprécié, notamment du fait des décors, des lieux et des combats marins.

Une suite sympathique au rythme enlevé et qui prolonge bien le 1er opus. Les personnages gardent la même tenue mais la fin est frustrante. Disney a cédé à la mode de couper en deux l'histoire pour faire 2 films... En tout cas l'inventivité est toujours là et le film ne souffre pas de longueurs. L'humour est toujours bien présent.

Le premier mot qui vient à l'esprit à la fin du film est: décevant.
C'était avec une certaine impatience que la suite des aventures de notre pirate dandy, fabuleusement interprété par Johnny Depp, était attendue. Et malheureusement, la déception est au rendez-vous. Alors bon, ce n'est pas si mauvais. C'est juste qu'un peu plus d'action, un peu plus de rythme, un peu plus de travail d'écriture, n'auraient pas été de trop.
Johnny Depp s'en donne à cœur joie. Il se fait plaisir et ça se sent. Il est toujours aussi bon. Il parvient à tirer un peu le film vers le haut, mais ça ne suffit pas. Le spectacle n'est pas désagréable. On reste quand même sur notre faim.
Sinon, cette suite voit l'apparition d'un sacré méchant, Davy Jones, qui lui aussi tire le film vers le haut.
La fin est excellente. Pour ma part j'aime beaucoup cette fin, qui nous promet tant de choses pour la suite. Grâce à cette fin, cette pointe d'amertume qui ne nous quitte pas tout le long du film s'atténue un peu, car ça donne très envie de voir la suite.

Après l'exceptionnel 1er opus, le risque était grand de décevoir.
Pourtant, même si l'effet de surprise est un peu passé (encore que !), "Pirates des Caraïbes 2" tient toutes ses promesses et laisse entrevoir un 3e épisode impressionnant. Côté casting, Johnny Depp confirme son statut d'attraction principale du film (son entrée et sa sortie sont toujours aussi soignées) et campe un Jack Sparrow plus menteur et manipulateur que jamais mais laisse les autres personnages exister (Orlando Bloom en Will Turner plus complexe qu'il n'y parait, Keira Knightley en Elizabeth se découvrant une âme de pirate, Jack Davenport en militaire déchu, le retour de l'équipage avec Mr Gibbs en tête...). On appréciera l'arrivée de Tom Hollander en détestable Lord Beckett, de Naomie Harris en mystérieuse sorcière et de l'incroyable Davey Jones, grand méchant du film et âme torturée par excellence mais surtout merveille technologique (mention spéciale, une fois de plus, aux effets spéciaux). Autres bon points : une BO somptueuse (Hans Zimmer bien sûr, qui nous abreuvent de morceaux à l'orgue magnifiques) et un scénario qui refuse la simplicité tant au niveau de la strucutre du récit (beaucoup d'intrigues sont amorcées) que des personnages (tous plus ambigus que les uns que les autres). C'est d'ailleurs la grande force du film : ne pas tomber dans la redite en noircissant le propos et les motivations des personnages (le personnage d'Elizabeth étant symptômatique de ce parti-pris). Quant à la mise en scène de Gore Verbinski, elle brille par son rythme et son inventivité (voir la scène de la roue ou les attaques du Kraken). En bref, une suite au niveau du 1er épisode ponctuée par un final génialissime (le dernier plan révélant l'identité du futur complice de l'équipage restera dans les annales).

Kraken, Hollandais Volant, trésors, mythes et mystères sont au programme de ce second opus des « Pirates des Caraïbes ». Techniquement, « le Secret du Coffre Maudit » est étourdissant et on y retrouve avec le même amusement la grande majorité du casting de « la Malédiction du Black Pearl ». Souhaitant le paiement de sa dette passée, le tentaculaire Davy Jones vient réclamer son dû à un Jack Sparrow qui ne l’entend pas de cette oreille. Collant parfaitement à son étiquette de pur divertissement, cette nouvelle aventure, tout en restant aussi drôle, se veut plus sombre et affiche plus de complexité en dépit d’un rythme qui se craquelle en sous-intrigues. Direction le numéro 3 pour en connaître les épilogues.

Trois ans après le premier épisode, Pirates des Caraïbes revient pour enrichir ses aventures tournant toujours autour de Jack Sparrow, dont le passé ressurgit suite à une de ses anciennes dettes. En effet, alors qu’Elizabeth et Will (ayant depuis intégré l’armée) se font condamner pour avoir aidé leur vieil ami à s’évader, le seul moyen de les retrouver est de mettre la main sur le cœur d’un vieux pirate nommé Davey Jones, reposant dans un coffre bien caché et protégé par une clé, ayant surtout le pouvoir d’exaucer n’importe quoi, même une amnistie. Une nouvelle malédiction fait alors surface sur le Hollandais volant : Davey Jones a un physique tentaculaire monstrueux et son équipage est composé de pirates au physique ravagé par la faune et la flore de l’océan. L’esthétique conserve alors son cachet si particulier, avec par exemple un homme de corail qui se confond avec le mur (allant jusqu’à laisser son cerveau quand il dégage sa tête), de la mousse et de l’eau qui continue de couler sur les visages, ou encore une étoile de mer collée sur un côté du front concernant le père de Will, que l’on découvre également, prisonnier.

On donc retrouve le trio de héros d’origine, avec une Elizabeth un peu plus effacée sur la première moitié, ainsi que l’ex-commodore Norrington bien décidé à reprendre sa place par tous les moyens. A noter la présence de Naomie Harris (28 jours plus tard, Skyfall, Spectre) dans le rôle d’une étrange enchanteresse. Du haut de ses deux longues heures passées, ce deuxième film traîne pendant un moment mais apporte finalement un background d’une certaine richesse, entre la fuite de l’emprise d’une tribu d’Incas, les ruses utilisées pour dégoter la clé à Davey Jones sur son propre navire et les affrontements impressionnants contre le kraken. Clairement pensé pour une suite, le film se termine d’une manière qui casse d’autant plus le manichéisme spoiler: avec Elizabeth qui piège Jack en l’embrassant pour parvenir à l’attacher afin qu’il sombre avec le Black Pearl et Barbossa qui fait une apparition finale
afin de mieux annoncer les prochaines aventures.

Avec "Pirates des Caraïbes : la malédiction du Black Pearl", la surprise avait été de taille en faisant renouer le genre avec la popularité. Entre l’original capitaine Jack Sparrow, des personnages à la fière allure pour les uns et loufoques pour les autres et à la sacrée gueule encore pour d'autres, un brin de fantastique pour donner corps aux légendes rythmant le monde des pirates, des aventures dignes de véritables loups de mer, et un savoureux mélange de fantaisie et d’humour, il fut impossible de résister à l’abordage sonné par ces maudits pirates. Disney peut désormais compter sur son attraction dans ses parcs, et aurait même peut-être pu en rester là, à se frotter les mains de cette formidable promotion. Seulement voilà, il y a un hic : qu’allaient faire les studios de la scène post-générique qui clôturait le générique de fin, fût-elle très courte ? D’autant plus que l’effet de surprise est passé et qu’on ne peut plus y compter dessus. Mais de l’autre côté, il y a eu un tel engouement auprès du film et une telle sympathie à l’égard des différents personnages, que la firme aux petites oreilles rondes décida aussitôt de modifier son film unique en trilogie. Après tout, si on y réfléchit bien, les pirates voguent d’aventure en aventure, peuplées de combats à la recherche de larcins clinquants entre deux bouteilles de rhum. Et quel plaisir de retrouver toutes ces bouilles trois ans après leurs premières aventures. Trois ans… trois années qui ont paru une éternité. Dans les faits, nous retrouvons l’équipage du Black Pearl deux ans après. Le vaisseau est débarrassé de sa malédiction et a retrouvé des voiles dignes de ce nom. C’est presque dommage, les voiles en lambeaux lui donnaient un air beaucoup plus inquiétant, voire terrifiant. Mais le spectateur retrouvera toutes les recettes qui ont fait le succès du premier opus : un casting au top, des effets visuels de folie, une B.O. mondialement connue dont on a tous fredonné un jour le thème principal mais enrichie de quelques titres intéressants (scène de l'orgue), avec en prime une quête hors du commun pour laquelle auront lieu des combats épiques et parfois drôles. Drôles parce que ça tourne quand même un peu à du n’importe quoi mais c’est tellement jouissif. Bon soyons honnêtes, ce deuxième opus est tout de même un peu en-dessous du premier. La faute à une première heure un peu moribonde (quoique le terme est un peu fort, tout comme "laborieuse" l’aurait été), pourtant bien menée dans le sens que je ne vois pas comment elle aurait pu être réalisée différemment. Mais on sent que ça met du temps à démarrer, malgré une entrée en matière plus que convaincante servie par Lord Cutler Beckett, interprété par un Tom Hollander visiblement très inspiré à la fois par une sombre ambition et par la froideur calculatrice totalement dénuée de sentiments qui caractérise son personnage. Pour faire court, les 20 premières minutes sont très immersives ; ensuite on subit un léger flottement durant une quarantaine de minutes, rendant la première heure dans son ensemble un peu longuette, du moins jusqu’à l’apparition du tentaculaire Davy Jones. A partir de là, le chrono s’accélère subitement pour atteindre son rythme de croisière en vue de la prochaine escale qui sera… le générique de fin, sans qu’on voit le temps défiler. Les déguisements sont toujours aussi parfaits, qu’ils soient crasseux ou pas, déchirés ou non, jusqu’aux quenottes pourries ou en or. Keira Knightley a peaufiné son personnage et l’exploite au maximum, amenant du même coup quelques situations cocasses (son jeu sur la plage est à se tordre de rire, y compris dans les petits gestes anodins spoiler: comme lorsqu’elle regarde ses compagnons de route s’entretuer, puis tourne la tête vers les deux affreux jojos qui emportent le coffre puis recommence à regarder le trio en découdre avant de réaliser soudainement que le coffre se fait la malle
). Orlando Bloom a toujours aussi fière allure, et l’arrivée de Stellan Skarsgård en Bill Turner est également bien sympa. Evidemment, tout le monde s’accordera à dire que la palme de l’interprétation revient à Johnny Depp pour avoir donné un comportement aussi singulier à son personnage, jusqu’aux multiples petits cabotinages qui font de Jack Sparrow un pirate unique en son genre. La vraie performance est d’avoir su rééditer toutes ces petites manies que nous avions découvertes pour notre plus grand bonheur lors du premier tome. Le constat est sans appel : on aime ce pirate ! Il faut cependant aussi compter sur Bill Nighy car il a réussi sous les traits du capitaine Davy Jones à rebooster l’intérêt du spectateur pour un affrontement qui devrait en guérir plus d’un des produits de la mer. En plus on lui a confectionné un visage que nul n'est près d'oublier, et là encore les effets visuels sont bluffants de réalisme. Je ne sais pas vous, mais je trouve ça... c'est... c'est... répugnant ! La mise en scène de Gore Verbinski est toujours aussi soignée, et ça se voit dès les premières images lorsque le premier plan s’attarde sur la pluie qui s’abat sur un lieu de réception désert. Il a vraiment un sens de l’esthétique que lui aussi a su rééditer et tenir sur la distance malgré un univers un peu plus sombre. Aussi, tout comme "La malédiction du Black Pearl", je ne saurai rien faire d’autre que de vous conseiller de voir et revoir ce second volet en Blu-ray afin de profiter au mieux de la très grande qualité visuelle. Dans la mesure de vos possibilités bien sûr. A noter que le troisième volet est annoncé cette fois avant le générique de fin. On sait que Jack Sparrow et son équipage devront voyager sur les mers du bout du monde. Cela ne veut pas dire pour autant qu’il n’existe pas une scène post-générique. Il y en a une ! Mais… à quoi sert-elle donc alors ? Ca, mystère et boule de gomme…