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gamorreen
15 abonnés
432 critiques
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4,0
Publiée le 29 août 2013
Excellent film d'horreur et de suspens. Film sadique s'il en est, qui ne se contente pas d'une surprise finale comme Le sixième sens mais tient la route même sans ça. Mais je comprendrais qu'on déteste aussi...
Premier épisode d'une saga qui ne cessera de s'enfoncer dans les méandres de la médiocrité, Saw est considéré comme un simple film gore, ce qu'il n'est pas totalement le cas. Certes, Saw berce dans l'horreur mais plus dans le 8 clos, la violence psychologique. J'avoue avoir été surpris de cela la 1ère fois que je l'ai vu. De très bons acteurs, une bonne réalisation bien pensée, toute comme le scénario. Un twist final qui nous laisse sur le c$l. Dommage que les producteurs et de nombreux spectateurs n'aient retenu que le côté "gore", cela nous aurait évité les lamentables suites.
Tourné en à peine 3 semaines, saw est un davantage un thriller qu'un film d'horreur . Cette jolie réussite a été malheureusement ternie par des suites mauvaises au possible.
Un Chef d'oeuvre, le premier volet d'une série de 7...
La première fois que j'ai vu Saw I je l'avais reçu par hasard en spoiler: téléchargement avant ça sortie au cinéma. Je suis restée bouche bée devant la qualité de production. 18 jours de tournage on suffit au réalisateur à faire "LA SERIE DE FILM" qui sort du lot. Du jamais vu. On est surpris du début à la fin. Pour ceux qui ont peur de voir une boucherie organisée, détrompez vous, tout le film n'est pas comme ça. C'est un triller psychologique, l'aspect gore permet de se mettre à la place des victimes de Jig Saw. Enthousiasmée par ce film... 5/5 mérité !
Après ce qu'on m'avait dit sur la saga de Saw, je n'aurais jamais cru avoir la curiosité de regarder ne serait-ce que le premier opus. Et pourtant, j'ai été agréablement surpris. Le film n'est pas gore, contrairement aux autres opus, mais possède une ambiance terriblement malsaine qui nous mets très mal à l'aise et nous oppresse durant tout le long du film. Le casting est plutôt bien réussi, les deux acteurs principaux jouent très bien, et ce tueur en série qui impose à ces victimes un jeu de torture est tout bonnement flippant. Saw a toutes les caractéristique d'un film glauque, malsain, avec quelques scènes gores mais sans plus, et nous entraîne dans cette angoisse permanente qui domine le film du début à la fin. James Wan signe donc ici un bon film angoissant, comme il sait si bien faire, sans tomber dans le gore le plus ridicule, et parvient à nous captiver. Malheureusement, ce film va suivre de monstrueux navets qui vont du coup baisser la réputation du film et beaucoup le considèrent comme un film sanglant et dégoûtant, mais sans l'avoir vu, ce qui est dommage car ce n'est pas du tout le cas. Ambiance très malsaine, Saw est un bon film d'épouvante qui se laisse voir.
Pas trop mal, bien mieux que ses suites et surtout un scénario un peu plus rechercher. Malgré quelques petites défaillances notamment au niveau de la durée de certaines scènes, Saw 1 reste un bon film qui se regarde assez bien au final.
Un film qui s'éloigne du Slasher habituel, plus posé, dans un huis clos. Au premier visionnage, ce film est d'un suspense insoutenable avec une fin surprenante qui nous laisse encore sous le choc des heures plus tard. Au second cependant, lorsque que l'on sait ce qui va se passer, on réfléchis davantage à la cohérence du scénario et on se rend compte que bien que bien ficelé, il est ridiculeusement complexe. Le film a l'air d'avoir lui même du mal à suivre sa propre histoire, car il tombe quelques fois dans la facilité scénaristique ( spoiler: Pourquoi avoir deux cigarettes au lieu d'une dans la boîte si ce n'est pour donner une occasion au docteur tenter de tromper le tueur ? ), les flashbacks s'enchainent de façon plus ou moins fluide pour apporter de plus en plus de clarification à l'histoire, rendant le film un peu longuet par moment, il y a beaucoup d'éléments qui montrent clairement l'intention de ce film d'être une introduction pour plusieurs suites en laissant le champ libre pour pouvoir mettre en scène beaucoup de futur meurtres imaginatifs, mais un peu gratuits. Tout ça, alors que le médecin aurait juste pu faire sauter son cadenas avec le pistolet.
Très bon film policier. Un film surprenant avec des personnages très bien constuit. Le casting est parfait ainsi que son final qui restera l'un des plus marquants du cinéma.
L'un des premiers d'une longue série, ce film se distingue par son originalité Les victimes ont le choix entre (mortellement) souffrir ou mourir L'idée est réjouissante, pas vrai ! Les SAW suivants sont plus dans la violence et l'hémoglobine que la psychologie Celui-ci est grandiose
Un jeu de torture qui en dit long sur ce qui peut se cacher dans la tête de James Wan et de Leigh Wahnnel. Comment peut on montrer ce type de film est vouloir en faire un jeu. Adam et Lawrence sont deux hommes qui ne se connaissent pas mais qui vont passer ensemble les pires heures de leurs vies. Capturer par un fou qui se fait appeler JigSaw, ils sont torturés et vont découvrir que la vie n’est qu’un long calvaire que l’on doit endurer mais que l’on doit savourer. « Deux clowns dans un huit clos ». Un titre qui peut très bien résumé ce film qui peut entrer dans l’anthologie des plus mauvais films d’Hollywood. Un film qui ridiculise deux très bon acteurs, Cary Elwes et Danny Glover, et qui montre le rang auquel est obligé de se rabaisser Hollywood lorsqu’il n’a plus d’idées. Mais qu’est ce qui peut bien tourner dans la tête de Leigh Wahnnel, comment peut on imaginer un univers aussi pervers et aussi dégoûtant. Il n’y a que deux possibilité soit Leigh est fêler soit il est aussi fou que son personnage. Malgré tout ces mauvais points, le dénouement reste tout de même assez réfléchit est réussit à déstabiliser le spectateur qui à faillit vomir avant la fin du film. Tout de même la mise en scène de James Wan nécessite un intérêt particulier, mais reste tout de même l’utilisation des sentiments du spectateurs qui à l’impression à la fin du film de s’être fait dépuceler tellement il a été choqué. En deux mots : Un des plus désastreux moment du cinéma américain qui montre que la grève des scénaristes avait déjà commencé à ce moment là.