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    La Vie est belle
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    277 critiques spectateurs

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    maxshreck
    maxshreck

    50 abonnés 296 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 octobre 2009
    Plus qu'une simple merveille. Ce film est une bénédiction, une joie de vivre inouie. Fini les films triste et larmoyant. Hollywood seule est capable d'apporter ce genre de chef d'oeuvre. Dame! Que c'était mieux avant le cinéma.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 11 novembre 2011
    La vie est belle est LE film qu'il faut voir quand on le moral à zéro.Avec un James Stewart drôle,touchant et né pour ce genre de rôle, une Donna Reed parfaite et un Lionel Barrymorre tyrannique et méchant avec la société.Bien que le film se révèle assez ennuyeux par moments(il est trop long),les 20 dernières minutes deviennent plus intéressantes avec une fin poignante à en pleurer...A noter la BD de Donald "Bonne année Monsieur Duck" inspirée de "La Vie est belle"!
    Chaîne 42
    Chaîne 42

    93 abonnés 2 924 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 décembre 2020
    Ce film est à mon avis malhonnête sorti juste après la guerre ce long film ménage et concilie tout les publics humanistes, religieux et non religieux. Un seul ennemi une sorte d'usurier misanthropique, on pourrait presque penser si ce n'était pas malvenu que le film ménage même un public raciste. Long le film déploie une vie altruiste toute indiquée pour la bouille innocente de James Stewart, en même temps tout lui réussit et en même temps il a une certaine humilité et limite une forme de sincérité crétine qu'il finit par se reprocher lui même A cette image l'ange qui apparait tardivement est traité de façon humoristique qui est à moitié sainte à moitié aussi crétine. Les bons sentiments ne sont gênants pour personne car très fabriqués et un peu superficiels. Le film est construit de telle façon qu'il ne donne pas à réfléchir tout y est évident. Il va même jusqu'à ménager les sacro saints capitalistes puisque rien n'est remis vraiment en question sur la méchanceté manifeste selon l'ordre du monde. Aucun risque, que de la guimauve arrangée intelligemment de façon ludique et ambigüe pour donner le change, le film usurpe largement son statut et sa note élevée si ce n'est pour un conformisme extrême. Malgré une façon qui est d'arriver à un extrême avant un final invraisemblablement euphorique Dieu n'est que très peu présent dans le film dont le rythme est assez décousu volontairement car c'est ce qui lui donne une certaine épaisseur dans un sujet en même temps assez original dans certaines formes et hyper convenu dans d'autres tel que le film familial style joyeux noël, tout le monde chante. Ma note est au dessous du bien, il est à mon sens trompeur sans être mauvais en soi.
    Jrk N
    Jrk N

    33 abonnés 238 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 décembre 2018
    Voici une "comédie morale" classique avec les immortels James Stewart (jamais meilleur que dans les plaidoyers) et Donna Reed (une actrice délicieuse dans une quarantaine de films de 1940 à 1955, très célèbre aux Usa), comédie parfaite à tout points de vue, surtout son "faux-flash-back" de la fin" : je ne vous en dis pas plus. Il ne faut pas en dire plus.
    Si vous ne l'avez jamais vu, ne lisez surtout pas le résumé sur wiki. Si vous l'avez vu, ne racontez rien des 30 dernières minutes du film.
    Scènes fameuses : l'installation des jeunes mariées dans une maison en ruine, l'évocation du krach de 29 , la joie des premiers lotissements à prix modéré des années 40, les critiques acerbes de la société des petites villes de province, la dénonciation des rapaces qui ne doivent qu'au hasard de ne pas dominer le monde ("les monopoles sont toujours là mais la vieille démocratie, gardée par les citoyens intègre, veille...").
    A retenir aussi: la construction psychologiquement fine du personnage de Georges -James Steward, toujours plein d'énergie mais à la limite de la dépression, dynamisé pour son amour pour Mary -Donna Reed. La légèreté habituelle de Capra se teinte toujours de noir au revers de la cape de Noël, et il faut évidemment voir le film plusieurs fois pour comprendre bien les subtilités des deux récits.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    109 abonnés 1 573 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 janvier 2012
    Un jeune homme aux projets de vie ambitieux et gourmand de vie va se retrouver par les circonstances de l’existence cloué dans la bourgade qu’il espérait tellement quitté. De grands projets et de grands espaces rêvés, son quotidien va lui sembler tout petit et son existence sans grand intérêt. Alors que ! Pensant mettre fin à ces jours, le surnaturel va l’aider par une soirée de Noël.
    Quel plaisir de revoir plus de 20 ans après, ce compte de Noël américain que l’avais adoré enfant. Plein de bons sentiments sans être guimauve, voilà un film qui démontre au combien tous pouvont avoir une action positive sur notre environnement aussi restreint soit il. Ce film réhabilité les petites gens et l’ambition de faire à sa mesure de son mieux pour son entourage proche. C’est un hymne à la vie loin et des causes modestes. Loin des héros à la Potter, un film simple avec des gens simples. Parfois un peu enfantin, c’est un parti pris. La première scène avec les anges donne le ton d’entrée de jeu.
    Pour ceux qui n’ont jamais vu ce très grand classique de Franck Capra ; c’est à voir absolument… adulte ou en famille vers Noël.
    Y Leca
    Y Leca

    17 abonnés 891 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 décembre 2020
    Mélo classique mais trop long et peu crédible au pays du chacun pour soi. Grand James Stewart, mais ce que je retiens de toute cette guimauve c'est la scène ou le flic tire dans le dos du héros qui s'enfuit. Comme quoi, l'habitude était déjà prise à l'époque, même dans une bluette.
    pelu
    pelu

    14 abonnés 1 060 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 30 juin 2015
    Je crois qu il est nécessaire de voire ce film... Évidemment il est vieux voir très vieux mais les messages qu' il transmets sont universelles et intemporelles!! Il s agit d une superbe fable ou l optimisme est de rigueur faisant référence àu bonheur d une vie simple bonheur que nous avons sous les yeux et dont la vie de tous les jours nous aveugle.utilisant la morale , le genre humain, la famille , la comédie , le fantastique le film... Tous ces genres et un thème pour un hymne à la vie. Mener de main de maître par un James Stewart passionnant dont le sourire et le bonheur nous remplit le cœur de joie touchant et a vif il survole ce film

    Ce dernier nous fait réfléchir sur notre condition et notre quotidien, nos actes et les conséquences, sur les responsabilités vitales d un homme a assumé, la fatalité, surmonter les épreuves ... Simple et riche en enseignement ce conte humaniste est entraîné par une belle musique et des décors d époques une mise en scène de cap passe plus juste qui nous prends dans son élan.

    Jolie conte de noël aussi qui donnera joie àu chaumière a cette époque la !! Ce film est le bon catalyseur de l esprit du moment vraiment beau
    Xyrons
    Xyrons

    590 abonnés 3 360 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 avril 2009
    Ce vieux film culte américain des années 1946 n’a pas pris une ride. C’est certainement l’un des films les plus connus mais aussi l’une des meilleur comédie dramatique. Excellent casting, James Stewart, Donna Reed, Henry Travers... avec des acteurs magnifiques dans leurs rôles, parfaite mise en scène de la part de Frank Capra. Scénario original et belle histoire. Vraiment rien à redire sur ce film qui est tout simplement génial. 16 / 20.
    AHEPBURN
    AHEPBURN

    86 abonnés 512 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 mars 2016
    Mon film préféré beau, poétique, mythique. La fraternité contre la cupidité. Des scènes d'anthologie. Une mise en scène et des acteurs remarquables. Magnifique, merveilleux. Merci James et Franck, Donna, Lionel, ...grâce à vous la vie est belle.
    SebD31
    SebD31

    77 abonnés 553 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 avril 2009
    La vie est souvent plus belle qu'on ne le croit. Une merveille !
    François Z
    François Z

    31 abonnés 338 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 juillet 2008
    Frank Capra a réalisé un tour de force avec LA VIE EST BELLE !
    En effet, le film est une ode à la générosité mais parvient par le talent devant & derrière la caméra à éviter les pièges miévreux des mélo.
    Le film a réussi parfaitement son but : Redonner le sourire aux gens.
    La sensation éprouvé après le visionnage de LA VIE EST BELLE est d'ailleurs saisissante car on a envie de dire merci à tous le monde !

    Pour celà et bien plus encore, merci Monsieur Capra.
    fabrice d.
    fabrice d.

    21 abonnés 1 368 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 janvier 2021
    Un classique de Frank Capra et du cinéma américain que j'ai pu découvrir finalement.
    C'est un conte, de Noël ou presque, qui est rediffusé tous les ans au moment de Noël aux États-Unis.
    C'est un mélange de fantastique, des sortes d'anges parlent entre eux au début du film, de poésie, de solidarité et d'épreuves et d'amour. On suit J. Stewart, le grand, au cours de sa vie, marquée par des épreuves et des changements de situations. C'est un conte et malgré les tensions et situations difficiles, on a le droit à une Happy End tout de même.
    Critik D
    Critik D

    141 abonnés 1 103 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 janvier 2015
    Heureuse découverte au réveil, en allumant Paramount channel ce matin, l’œuvre de Capra, le merveilleux "La vie est belle". Du moins des retours que j'en avais. C'est donc avec intérêt et envie que je découvre ce film en sautant du lit. Et c'est une belle découverte en noir et blanc, un film certes très simple, une histoire assez commune et cent fois reprise mais un régale pour les yeux. La réalisation est superbe, des plans magnifiques, notamment les gros plans sur les acteurs. On se laisse assez vite happer par ce film, qui nous envoûte étrangement. James Stewart est merveilleux, un rôle qui va parfaitement au charisme qu'il dégage. Il donne beaucoup à son personnage et cela se ressent. Ce film est une ode à la vie, et nous rappel combien elle est importante "est belle". Ce fut pour moi, une très belle découverte, depuis le temps que je l'attendais, et je ne saurais décrire mon émotion. En tout cas, je vous conseil de le voir en particulier si vous êtes un passionné chevronné de cinéma. Et pour les autres également puisque tout y est parfaitement millimétré du scénario à la réalisation en passant par la direction des acteurs.
    Paul T
    Paul T

    43 abonnés 209 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 décembre 2014
    Réalisateur talentueux mais habitué aux films de commande, Frank Capra allait subir un échec commercial, en 1946, avec La vie est belle, le premier de ces films à être produit par sa propre maison de production, Liberty Films. Les films suivants ne fonctionneraient pas davantage et marquerait la fin de carrière du cinéaste. Ironie du sort, La vie est belle est aujourd’hui considéré comme un véritable classique, le mètre-étalon de la comédie américaine. Le Mardi 16 Décembre, La vie est belle était rediffusé en version restaurée dans les cinémas Pathé. Retour sur un chef d’œuvre mêlant drame, comédie et fantastique avec la virtuosité des grands maîtres.

    George Bailey (James Stewart) est un homme bon et honnête qui ne souhaite qu’une seule chose, devenir ingénieur, créer de grandes et belles choses aux services des hommes et parcourir le monde. Malheureusement pour lui, dans sa ville natale de Bedfords Falls, tout concourt à l’en empêcher.Son père, Peter Bailey (Samuel S. Hinds) est un petit entrepreneur de construction qui octroi des prêts très avantageux aux habitants de sa ville et qui est très libéral avec les impayés. À sa mort, le magnat de la finance, M. Potter (Lionel Barrymore) tente de racheter la société. Pour ne pas laisser la ville aux mains de ce requin, George abandonne ses ambitions et reprend l’affaire familiale. C’est grâce au soutien sans faille de sa femme, Mary Hatch (Donna Reed), de son ange-gardien Clarence Oddbody (Henry Travers) et de toute la communauté que George surmontera toutes les difficultés.

    D’emblée, le film s’ouvre comme une fable fantastique. Dieu et Joseph, symbolisés par des étoiles distinctes sur la voûte stellaire discutent du sort de ce brave George Bailey. Ils convoquent Clarence Oddbody, un ange de deuxième classe et lui confie la mission d’aller aider le pauvre hère. Celui-ci pourra gagner ses ailes s’il réussit son objectif, prouver à George à quel point sa vie simple est spectaculaire. Par une série de flash-back successifs, Clarence est mis au courant, ainsi que le spectateur, des événements marquants de l’enfance de l’héritier Bailey. En toutes circonstances, George aide son prochain sans jamais y rechercher un avantage, juste comme ça, parce que c’est un chic type. C’est après la mort de son père que le récit fait une éclipse pou revenir dans le dernier quart du film avec l’arrivée de l’ange-gardien. Nous suivons désormais George dans son histoire d’amour avec Mary Hatch et dans sa lutte contre M. Potter, le financier cynique.

    La vie est belle, c’est d’abord une magnifique romance. Capra parsème son scénario de moments terriblement touchants, insistant sur une certaine prédestination amoureuse des deux tourtereaux. Lorsqu’il est enfant, sauvant son petit frère Harry (Todd Karns) des eaux glacées d’un lac gelé, George perd l’audition d’une oreille. N’importe qui fondra sous l’émotion lorsque la jeune Mary lui susurre à l’oreille qui n’entend pas « je t’aimerais pour toujours, George Bailey » ou lorsque George, juste avant le départ de Mary pour l’université, lui promet d’attraper la lune au lasso pour lui offrir. Dans l’amour même qui unit George et Mary se niche la plus pure des noblesses. C’est un amour désintéressé qu’aucun tracas de la vie ne pourra rompre. Dans les moments les plus durs ou les plus tristes, le couple trouve toujours le moyen de rebondir, de trouver de la beauté dans les plus petits choses. C’est une véritable célébration de la vie.

    La vie est belle, c’est aussi l’histoire des vingt années qui séparent la grande crise de 1929 des premières années post-seconde guerre mondiale. C’est sûrement ce qui a valu à Capra un désamour certain à la sortie du film. Quelques-uns le taxèrent de communisme tant il dénonçait avec vigueur l’amoralité et la corruption des élites capitalistes. Toutefois, l’opposition qui habite La vie est belle n’est pas celle du communisme contre le capital, mais celle de petits entrepreneurs honnêtes contre celle de trusts accumulant des richesses confisquées aux plus pauvres et inutiles à la société. C’est sur le plan de la morale que se situe le combat, c’est celui du pot de terre contre le pot de fer. Capra énonce que seul le travail doit-être rémunéré et non pas le capital. Par une pirouette assez marrante, il fait dire à son héros qu’il ne comprit jamais comment un homme bon comme son père avait pu monter une affaire fonctionnant sur l’usure.

    Capra, par contre, raconte une histoire que l’Amérique d’après-guerre capitaliste voudrait oublier et que les puissants voudraient réécrire. Cette Histoire écrite par les vainqueurs qui a longtemps minimisée le rôle de la finance déjà folle à l’époque, car mécaniquement inique, dans les malheurs du monde dans les années trente et la seconde guerre mondiale. Sans les malversations d’une poignée de traders, de financiers et de banquiers crapuleux, les nationalismes européens auraient-ils étaient aussi exacerbées ? N’est-ce pas à la faveur d’une nouvelle crise, de nos jours, toujours instrumentalisée par la même caste, que nous voyons l’extrème-droite phagocyté nos démocraties ? Comme pour la crise des surprimes et l’éclatement de la bulle immobilière, M. Potter n’essaie-t-il pas de racheter à prix d’or les dettes des citoyens de Bedfords Falls ?

    Sortie à une époque où les États-Unis voulaient oublier les heures sombres de son histoire et où les politiciens désignait déjà de nouveaux boucs émissaires préparant une guerre pas si froide, La vie est belle tentait de rappeler à ces contemporains que le salut n’était pas dans les illusoires solutions de M. Potter mais dans la droiture, la solidarité et la fraternité. Il redonnait par là, son sens premier à un message chrétien galvaudé par la bourgeoisie paternaliste. Aujourd’hui, plus que jamais, La vie est belle résonne comme un hymne à la vie et à la dignité mettant en avant la valeur inestimable de chaque vie là où d’autre voudraient n’y voir que des monnaies d’échanges.

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    David R
    David R

    39 abonnés 271 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 février 2011
    A mes yeux une des meilleures comédies dramatiques de l'histoire du cinéma, ce conte signé Franck Capra captive d'un bout à l'autre, grâce à un James Stewart excellent et un scénario qui ne l'est pas moins. Je n'ai jamais ressenti une telle joie et de tels frissons que dans la dernière partie du film, la fameuse dernière partie, lorsque l'ange montre à George Bailey ce que son suicide provoquerait autour de lui. Une magnifique leçon de vie !!!!
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