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    Marie-Antoinette
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    Cluny
    Cluny

    65 abonnés 593 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 octobre 2012
    "Marie-Antoinette" commence avec un long voyage en calèche, celui qui conduit la jeune princesse jusqu'à Versailles, avec un passage à la frontière où elle doit se dépouiller de tout ce qui rappelle son pays natal, et donc son enfance. Violemment projetée dans l'âge adulte, elle court tout au long du film (qui balaie 19 ans de sa vie) après cette adolescence volée.

    Il se termine par le début du voyage de 20 km en calèche, celui qui conduit le boulanger, la boulangère et le petit mitron jusqu'aux Tuileries, ramenés par le peuple de Paris (la populace, selon le scénario anglosaxon). Entre les deux, exceptée une virée nocturne dans un after masqué, toute l'histoire se déroule dans le huis-clos de Versailles, réplique de la maison familiale des Lisbon, ou de l'hôtel tokyoïte de Bob Harris et de Charlotte.

    Une partie de la critique reproche à Sofia Coppola de s'être tapé l'incruste dans l'histoire de France et d'avoir posé un regard américain branché sur la fin du siècle des Lumières. Il y a bien quelques anachronismes (la cocarde tricolore du dauphin, presque vingt ans avant la prise de la Bastille, la fête masquée à l'Opéra-Garnier, presque un siècle avant sa construction), une place appuyée accordée à la guerre d'indépendance (les rares moments où Marie-Antoinette n'est pas à l'écran sont les conseils où le roi décide d'intervenir en Amérique). Le scénario a été écrit en se basant sur l'ouvrage de l'historienne anglaise Antonia Frazer, et certains clichés sont contestés par les historiens. Mais la réécriture de l'histoire pour parler de préoccupations contemporaines est le propre de la création artistique, et personne ne reproche à Shakespeare d'avoir trituré l'histoire romaine pour écrire "Titus Andronicus". Alors certes, on a parfois l'impression de suivre une biographie de Diana, la popularité en moins.

    Mais le propos de Sofia Coppola est visiblement autre, et ce qui l'a intéressée dans cette histoire, c'est comment peut réagir une adolescente confrontée à un monde aussi éloigné du cocon de son enfance perdue, intérêt dont on peut trouver l'origine dans la propre histoire de la fille du réalisateur d'"Apocalypse Now". Ca, la jeune réalisatrice sait le filmer avec son style déjà si reconnaissable : suppression des repères narratifs, cadre aérien alternant steadycam, travelings et plans fixes, montage syncopé, pulsation donnée par la musique (le classique pour l'étiquette, le pop-rock pour les escapades de l'Autrichienne).

    Elle sait saisir l'étrange, caméra subjective même quand Kisten Dunst est dans le champ : les courtisans poudrés, échos des morts-vivants du cinéma fantastique (clin d'oeil à la présence d'Asia Argento en Du Barry ?), les fous-rires enfantins contenus de la princesse, la répétition comique des scènes du rituel de la cour, jusqu'à la présence subliminale de Converse dans la collection de chaussures digne d'Imelda Marcos.

    Mais Sofia Coppola n'a pas su échapper à la contradiction des cinéastes amenés à filmer l'ennui sans plonger leurs spectateurs dans ce même ennui. Que ce soit dans les pompes empesées ou dans la frénésie des fêtes versaillaises, ce qui nous est donné à voir avec une distance accrue par la musique et le rythme du montage est ce qui est donné à vivre à Marie-Antoinette, à savoir une répétition sans perspective et sans échappatoire, si ce n'est celle que connaît le spectateur.

    Par moment enivrant, le film ne sort de sa langueur monotone (moi aussi, je peux pondre des anachronismes !) que par la fulgurance de certaines scènes où le talent de la princesse de la dynastie Coppola se rappelle au bon souvenir du cinéphile.

    http://www.critiquesclunysiennes.com/
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 avril 2008
    C'est le genre de film, qui met du baume au coeur. Grâce, a son scenario "libertin", sa réalisation "rock and roll", ses acteurs "modernes". On passe un bon moment, avec cette reine.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 13 juin 2010
    1 sur 20 pour Sophie Copolla. je viens de voir ce film sur France 3 ! c'est un désastre !!
    étant historien, j'attendais une réalisation perlée, soignée, digne de Stefan Frears (Liaisons dangereuses), au lieu de ca, j'ai eu droit à une lamentable reconstitution bâclée , une grosse patisserie indigeste, ou l'histoire de France revue par une américaine. Marie Antoinette était bien autre chose qu'une gourgandine et jeune fille frivole qui ne pensait qu'à s'amuser, à s'étourdir et à bouffer des gateaux !
    Rien ne transparait chez l'actrice de la personnalité altière, rebelle et anti conformiste du vrai personnage historique. Copolla nous présente un petit Louis XVI brun (le vrai était blond et faisait 1,92m, 90 kg), falot, qui ne pense qu'à la chasse et à la serrurerie. ben oui, mais même si Louis XVI n'était pas un génie de la politique, il travaillait quand même beaucoup et était très érudit : très calé en géographie, en philo, en histoire maritime, en maths et se tenait au courant des découvertes scientifiques de son époque , il était aussi soucieux d'entreprendre des réformes (qui n'ont pas abouties pour des tas de raisons).
    Bref, Copolla campe une famille royale qui s'ébaudit dans un joli décor bling-bling , prise dans le carcan de l'étiquette et à milles lieues de la vie politique réelle et des intrigues de Cour... Car la vie à versailles était une vraie ruche où des milliers de gens travaillaient au chateau (ministres, corps diplomatique, techniciens, jardiniers, ...) et pas seulement un aéropage de courtisanes et femmes de chambres autour de la Reine....
    que dire de la musique ? (évidemment décalée , pourquoi pas du rap ?), le casting est assez mauvais, le scénario n'est pas intéressant(mais y en -a-t-il un ? ), la reconstitution bâclée (Copolla ignore-t-elle que le sacre des Rois avait lieu à Reims...et pas dans la chapelle de Versailles ? ), oubliée l'affaire du Collier ? expédiées les journées d'octobre 1789 avec l'humiliation de la reine et le retour à paris avec le peuple...
    mention spéciale pour les costumes et la photo (avec 2 ou 3 jolies prises de vues), mais quel ennui, quel film superficiel et insipide ! à fuir !!
    Christoblog
    Christoblog

    741 abonnés 1 613 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 décembre 2010
    Sofia Coppola ne s'embarrasse pas de psychologie, ni de politique et encore moins de sociologie.

    Ce qui l'intéresse, c'est un regard "à plat", dans lequel peut s'exprimer la sensualité brute (des êtres, de la nature, de la lumière, voire du temps qui passe) et aussi ses propres goûts (en matière de musique par exemple).

    Dans Virgin Suicide ou Lost in Translation, ses parti-pris collaient finalement assez bien au(x) sujet(s). Incommunicabilité, autisme, suicide inexplicable, barrière de la langue et de la culture : tous ces éléments s'harmonisaient très bien avec la mise en scène distancée et esthétisante de Sofia Coppola.

    Dans Marie Antoinette, le récit n'arrive pas à décoller, et quand on connait la biographie écrite par Antonia Fraser dont le film est tiré, c'est bien dommage. La vie de la reine a été en effet d'une complexité incroyable, d'une tristesse infinie, et l'évolution de la petite autrichienne tout au long de sa vie est un sujet dramatique de première importance.

    Que le film ne traite que la période versaillaise et occulte toute la descente aux enfers (les Tuileries, la fuite à Varennes, la Conciergerie, l'horrible façon dont les enfants seront traités, la mort de Louis XVI, le procès, sa propre mort), c'est bien sûr un choix de Sofia Coppola, mais quel dommage de se priver de cette dimension qui fait tout le sel du personnage historique. Du coup, le projet, dont on comprend vite qu'il vise surtout à restituer la futilité de l'époque en multipliant les nuances de roses et les recettes de gâteau à la fraise, devient un peu vain.

    La performance de Kirsten Durst est tout de même éblouissante, elle est assez proche de la Marie Antoinette qu'on a en tête après les 600 pages du livre de Fraser. Jason Schwartzman, impayable dans le récent A bord du Darjeeling limited, est assez convaincant dans le rôle d'un Louis à la fois digne et dépassé par les évènements.

    Tous les autres personnages ne sont malheureusement qu'esquissés, Fersen en particulier est assez raté.
    Le film n'échappe pas à une certaine miévrerie (la rêverie à propos de Fersen sur le champ de bataille...). Il peut également procurer certains moments de grâce. D'autres critiques sur Christoblog : http://chris666.blogs.allocine.fr/
    Simon P.
    Simon P.

    46 abonnés 121 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 août 2014
    J'adore ce film. C'est magnifiquement écrit, le film est rempli d'images superbes , Kirsten Dust signe une très belle perfomance, la bande son moderne crée un décalage avec l'époque et ça fonctionne très bien! Un biopic original et efficace ! Très très bon film.
    VodkaMartini
    VodkaMartini

    40 abonnés 410 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    2 heures à suçoter un bonbon hypersucré pour s'apercevoir que son coeur est amère, c'est long. Voilà pour le premier défaut. Sofia Coppola fait un film de pauvre petite fille riche, et ne s'en cache pas. Cela doit-il faire forcément du mauvais cinéma? Non. Mais la jeune femme "possédent" les manques typiques des gens qui ont trop. A savoir une méconnaissance absolue de ce qui se passe "dehors". Mais au moins elle ne prétend pas le savoir. Et elle délivre une assez bonne métaphore, au travers le portrait de nobles sans classe (engendrant une réflexion pas inutile sur la différence entre noblesse et aristocratie), du népotisme actuel, où les "fils de" tiennent le haut du pavé et où la stérilité et la vacuité règnent. Sofia ne s'épargne pas. En tout cas pas là. Mais la complaisance à sa place aussi dans ce film. Et la maladresse des pauvres petites filles riches est parfois embarassante quand en voulant rendre hommage à un pays qu'elle semble adorer, elle tombe complétement à coté de la plaque. Un minimum d'élégance aurait voulu qu'elle s'attache à une figure américaine et non qu'elle engendre cet énorme malentendu en se projetant sur une figure historique européenne. L'égo a ses limites que Sofia semble ignorer. Si Jésus avait été riche, Sofia se serait bien vu en lui. Certes les images sont superbes , et l'utilisation de la nourriture plutôt intelligente. Mais en faisant l'impasse sur le monde extérieur et l'histoire (notament la décapitation), le film reste autarcique et jamais ne revéle l'infinie proximité du vide et du tragique. Avec l'indécence qui caractérise généralement les enfants, Coppola II boude et se plaint de la cruauté du monde. Elle en a le droit. Et ceux qui tous les jours affrontent le monde au corps à corps ont aussi le droit de s'en foutre.
    Djam A
    Djam A

    14 abonnés 66 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 11 avril 2020
    ce film est un véritable affront a la France
    ce film est une véritable honte .
    continuez vos fantasmes dans des hôtels pour milliardaires et ne touchez plus par pitié a l'histoire de France .
    PJ_10@hotmail.fr
    PJ_10@hotmail.fr

    5 abonnés 179 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 janvier 2010
    De très jolies décors et costumes. Une très jolie actrice. Mais le film ne pousse pas assez l'analyse de l'histoire.
    Gonnard
    Gonnard

    214 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 octobre 2008
    Un film historique qui sort de l'ordinaire : Aphex Twin pour la musique, quelques passages dignes de "Pretty woman", l'histoire reléguée à un simple décors, une vision résolument positive de Marie-Antoinette, ... On comprend aisément que le film ait suscité des réactions contrastées. Pour ma part, prof d'histoire-géo, j'ai plutôt aimé. Je me suis toutefois un peu ennuyé. Je regrette aussi que la phase de la Révolution ait été sacrifiée sur l'autel de la légèreté. Le fait d'avoir pris Evelyne Lever comme conseillère historique se ressent, la réalité décrite est fidèle à l'histoire. Mais je pense que Lever, hagiographe de Louis XVI, a dû se mordre les lèvres en voyant son Capet chéri avoir un rôle de second plan dans le film.
    manoj94
    manoj94

    39 abonnés 642 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 10 décembre 2009
    Un tapage médiatique important pour au final un film assez décevant et sans âme... L'histoire est on ne peut plus basique, un brin ennuyeuse et n'enflamme pas tellement le spectateur. Les scènes se succèdent sans intensité et le rythme est clairement décousu, ce qui rend l'intrigue mollassonne. Par contre, il faut avouer que l'atmosphère, les costumes et les décors valent le détour. Mention spéciale à Kirsten Dunst qui est à la hauteur de sa réputation d'actrice talentueuse. En résumé, c'est un film quelconque qui nous laisse sur notre faim.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 15 février 2008
    De l'histoire show bizz à base de shamallows, de souliers à rubans, de fêtes pour midinettes, de pâmoisons factices. Quoi de plus vide que ce que Mademoiselle Sophia C. nous montre là, sinon un spot publicitaire, peut-être ? Bien entendu, le film s'arrête au balcon de Versailles, lorsque commence l'histoire, la vraie, celle de Marie-Antoinette face à la foule en colère et à son destin qui se lève. Il s'arrête quand son personnage prend corps, enfin. Corps et poids. C'est normal : ce film ne parle de rien, ce qui pèse l'effraye. Une absolue, une radicale nullité.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 17 novembre 2010
    Je ne comprendrais jamais l'engouement qu'on porte à Miss Coppola.
    Elle a réussi à développer un style complètement arty, avec des musiques branchouillardes dans chacun de ses films . OUi là daccord jusque là je pige pourquoi ce genre de film est adoré par nombres de pseudo intellectuels qui se disent cinéphiles. Cependant elle ne réussit pas là ou Spike jonze (malgré leur courte relation ) Charlie Kaufman (niveau scénar) Michel Gondry , Jim jarmusch ( Qu'elle essaye d'imiter dans lost in translation) ont réussi. Eux, vraiment, ont quelque chose de spécial ( même si ils font aussi partie des réalisateurs préférés des milieux branchés cinéphiles ) qui fait que leur films deviennent humains, des prouesses artistiques géniales, poétiques, anti conformiste mais surtout, surtout des scénars bon de A à Z.

    Ils font jouer de bon acteurs qui contrairement à mademoiselle Coppola (qui les utilisent parce qu'ils sont à la mode et à des fins marketing ) sont pris car ils collent parfaitement au personnages de l'histoire, et apportent une profondeur qui n'existent pas dans le jeu d'acteurs des films de cette fille à papa.
    A ce niveau, la direction d'acteurs est vraiment à chier.
    Parce qu'honnêtement, Kristen Dunst, Bill Murray ou Scarlett Johansson (pour citer les plus connus) valent mieux que ca !!

    Comme des moutons, les gens sont aveuglés par les critiques qui hurlent O génie à chaque fois qu'elle réalise une chiasse, et que le nom Coppola apparait sur l'écran.

    C'est triste pour le cinéma.
    saxoman
    saxoman

    11 abonnés 168 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    Quel désastre ! Quel gâchis ! Un désastre cette musique pop-rock-punk pour faire danser la noblesse au bal masqué ou pour accompagner Louis XVI à la chasse ! Quel gâchis d'avoir loué à grands frais ce superbe palais de Versailles et ne retenir que des gros plans de gâteaux, de champagne, de perruques sans aucun travelling ni de plans d'ensemble sur les magnifiques salons. En plus, Sofia Coppola a fait l'économie d'un couple princier adolescent car Marie-Antoinette et Louis XVI ont la même tête à 14 ans qu'à leur départ forcé (seul moment pathétique du film) de leur cocon de Versailles qui les a isolés de la réalité extérieure : c'est pas crédible ! L'absence de dialogues n'est pas gênante car beaucoup de choses sont dans le non-dit et dans l'interprétation délicate et ciselée de Kirsten Dunst. Par contre, si la réalisatrice a choisi d'axer son film sur l'incapacité de Louis XVI à consommer son mariage, elle évite (par pudibonderie ?) de mentionner le petit handicap physique du roi (phimosis) qui rendait ses rapports sexuels difficiles et qui explique en grande partie cela ! Bref, ce n'est pas le parti pris de Sofia Coppola de n'avoir retenu qu'une facette de cette reine qui finit mal que je condamne, mais ce regard hollywoodien à souhaits, vide de culture, incapable de se projeter dans le passé et qui présente une Du Barry comme une pouffe d'aujourd'hui, un grand-père Louis XV comme un cow-boy et une jeune reine qui critique l'étiquette de la Cour alors qu'elle a grandi dedans ! N'en déplaise aux snobinards qui encensent ce film, je préfère mille fois ce modeste téléfilm de 2001 qui se passe à Versailles, L'allée du Roi de Nina Companeez avec la talentueuse Dominique Blanc, à cette guimauve qui ne montre rien, n'explique rien, sinon des soirées de Jet Set en perruques poudrées et souliers de satin.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 17 septembre 2010
    Une vision assez fantaisiste de la reine. Rien de bien exceptionnel.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 25 avril 2007
    Lamentable... 2 heures de vide complet, il ne se passe rien, le scénario est creux, les dialogues sont quasi-inexistants ou au mieux d'une banalité affligeante, aucune émotion n'émane à quelque niveau que ce soit. On a l'impression d'assister au déroulé d'un vidéo clip, se voulant stylisé et moderne, mais retombant à plat au bout de quelques secondes... C'est une grande déception... Je ne parle même pas de la manière dont sont représentés les personnages du film, Louis XVI est un impuissant sans le moindre caractère et un incapable de surcroît! Marie-Antoinette ne pense qu'à se goinfrer et à faire la fête, elle semble cyclothimique (et nous rendrait cyclothimique par la même occasion...). En Bref, c'est un très mauvais film, terriblement long et manquant cruellement de respect pour la période et les évènements qu'il décrit ou qu'il devait décrire...
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