Anna Karenine

La Divine ne pouvait qu'être touchè une seconde fois par l'hèroïne tragique de Tolstoï! D'abord en 1927 par Edmund Goulding (classique du muet) puis, ici, en 1935 par Clarence Brown (classique du parlant). La première apparition de Greta Garbo est inoubliable! De cette fumèe du train à l'arrêt peut sortir l'image rayonnante de l'être aimè qui n'existe finalement qu'en rêve puisque Anna Karenine est mariè à un homme fort et ...
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Etant donné qu'Hollywood n'a jamais été connu pour son grand respect des chefs d'oeuvre littéraires qu'il porte à l'écran et bien que le roman de Tolstoï soit un de mes livres favoris, je ne ferais pas de commentaire sur la qualité de l'adaptation si ce n'est que les scénaristes auraient dû carrément supprimer le personnage de Lévine qui sert dans ce film strictement à rien. En le prenant comme cela, "Anna Karénine" est un film ...
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Le roman de Tolstoï dit beaucoup de choses et pèse 900 pages ! Le résumer en 90 minutes est impossible, l'illustrer ne sert à rien, alors puisqu'il ne s'agit ni d'un condensé, ni d'une illustration on va dire que c'est une évocation et que ce n'est pas si mal parce que la réalisation est brillante (les premiers plans sont fabuleux) et parce qu'il y a Garbo qui porte le film sur ses épaules et aussi parce que que on a quand même évité ...
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L'un des classiques immortels de la divine Greta Garbo. Clarence Brown nous offre ici un film élégant, d'une grande beauté au niveau des décors et des costumes, mais qui est surtout une fort belle histoire d'amour, d'une grande pudeur et au final fort émouvante. Car en effet, comment ne pas être sensible au magnifique personnage constitué par Garbo, aussi inoubliable qu'a l'accoutumée, et ou Fredric March lui rend bien la pareille. Un ...
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