Derniers Avis : Entre les murs - Page 20

On n'apprend pas grand chose, de ce film. Qu'en dire...Oui il existe des élèves qui ne comprennent pas l’intérêt d'apprendre. Certains, manquent de capacités intellectuelles, voila, et que l'on ne donne pas à boire à un âne qui n'a pas soif.

Un mauvais film pas crédible sur un mauvais prof pas crédible. Ennuyeux au possible. Superbe supercherie

C'est un documentaire qu'un film pour moi il n'empeche que les classes sont biens représentées .

Certaines personnes considèrent ce film comme une caricature, laissez-moi leur dire que non, c'est une réalité. Vous pouvez vous mettre des oeillères, mais ne racontez pas de mensonges dans vos critiques.

Un film nécessaire, qui attire l'attention d'une réalité qui dérange. Entre les murs est bien filmé, tel un documentaire, il pose les bonnes questions et ne donne aucun jugement, aucune leçon de morale.

Venant d'une ZEP, je dois reconnaître que l'ambiance d'une salle de classe de ce genre d'établissement est parfaitement retranscrit en particulier grâce aux jeunes acteurs tout à fait convaincant. De plus, le film porte son message avec intelligence en aplliquant une démonstration brillante sans basculer dans la démagogie et en évitant de prendre totalement parti.

Versant carcéral bien exploité. 69%

C'est l'histoire d'un très mauvais professeur, interprété par François Bégaudeau, qui ne comprend rien à l'école, aux élèves.
A la fin du film, il demande aux élèves de lui dire ce qu'ils ont appris cette année. On a envie de lui retourner la question.
Celà dit le film est plaisant et bien mené.

Entre les murs, c'est la vie d'une classe pendant un an dans un collège difficile. Dans ce film l'immersion est totale, on ne sortira jamais de l'enceinte du collège, les acteurs sont épatants de vérité, que ce soit du coté des élèves ou du corps enseignant, on a je pense tous vécu certaines situations du film, comme les "meilleures copines" qui se font la gueule du jour au lendemain, ou un prof dépassé par les évènements. Bref de coté, le film est une véritable réussite. Le scénario en revanche est lui sans surprise, c'est positif dans le sens ou l'on sent que rien n'est enjolivé ou romancé mais le film dure quand même 2h18, et une certaine redondance dans les situations s'installe. Un bon film donc, très "documentaire" dans son approche ultra réaliste.

Ce n'est pas forcément un mauvais film, mais c'est clairement le type de film que je n'apprécie pas: un drame docu/fiction. Je ne vois pas ce qu'il y a d'intéressant dans ce film: pas de scénario, pas d'images visuellement impressionnantes, pas d'originalité dans la réalisation, peu divertissant, etc. Ça se contente de créer des personnages, de les laisser en hui clos, et de filmer comme si c'était la réalité... De mon point de vue ce style de film est au mieux inutile, au pire une tentative de manipulation de conscience du style: "vous devez penser ça".

Réaliste, immersif, énervant, drole. J'ai vibré tout du long.

Magnifique, une Palme d'or méritée amplement !!!

Beaucoup aimé pour ma part sujet interessant, acteurs convaincants, malgré qq longueurs, c'est un très bon film qui montre avec justesse la réalité

Serieusement arretons de plébiciter ce film qui n'est tout bonement qu'une copie "à la française" de freedom wrighters alors certe le film est pas mal bien qu'un peu niant niant et ne traitant pas objectivement et de façon réaliste la situations de ces collèges et lycées mais cela de toute façon le politiquement correct nous interdit de traiter ce genre de sujet avec réalisme, mais ce n'est pour ma part qu'un plagiat et ce malgrès le côté adaptation d'un bouquin qui lui est antérieur à freedom wrighters qui lui même est tiré d'un bouquin antérieur etc... enfin je trouve cela juste completement hypocrite de récompenser la copie voila tout

« Lorsque les pères s’habituent à laisser faire les enfants,
lorsque les fils ne tiennent plus compte de leurs paroles,
lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter,
lorsque finalement les jeunes méprisent les lois parce qu’ils ne reconnaissent plus, au-dessus d’eux l’autorité de personne,
alors c’est là en toute jeunesse et en toute beauté, le début de la tyrannie. »

Platon (IVe siècle av. J.C.)

Tout est dit.