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    La Chute
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    gabdias
    gabdias

    74 abonnés 1 748 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 janvier 2015
    Sublime long-métrage sur la fin du Führer au moment où tout est perdu, la folie et le manque d'humanité du personnage explosent ici à la face du monde. Bruno Ganz est impérial et ferait presque peur. Il est dommage que quelques lourdeurs narratives viennent perturber la narration de cette partie méconnue de la Seconde Guerre Mondiale.
    bobbyfun
    bobbyfun

    30 abonnés 1 216 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 février 2020
    Intimiste et réaliste au possible avec un Bruno Ganz habité par son personnage. A voir sans détour.
    NeoLain
    NeoLain

    4 231 abonnés 4 741 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 janvier 2008
    Première remarque, Bruno Ganz est saisissant par l’authenticité qui se dégage de son jeu, de son regard, celui d’un « déjà-mort », mais également du moindre de ses gestes. Parvenir à dégager une telle aura maléfique est tout sauf une piètre performance. Dans le même genre, l’acteur incarnant Goebbels (tout aussi effrayant que son chef) ressemble davantage à un rescapé d’Auschwitz qu’à un des plus hauts dignitaire nazi (quelle comparaison…), et pourtant, quand on le voit tenir ce discours idéologique, et que l’on comprend ce que cet homme est capable de faire pour son führer, son physique s’avère la chose la moins effrayante. Cela a déjà été dit mais il n’est pas inutile je pense de le répéter : le film n’est pas totalement focalisé sur Hitler mais sur les derniers jours du Reich tout entier. On peut ainsi découvrir un pays en ruine, abandonné par son leader charismatique (terré dans son bunker), terrorisé par l’arrivée imminente de la redoutable armée rouge. Ce film est positif à plusieurs niveaux.Un pays dont l’honneur est tout bonnement mort il y a soixante ans et qui peine encore aujourd’hui à relever la tête. Le film, et c’est ce qui a le plus choqué à sa sortie, dresse le portrait d’un führer affaibli par la maladie, abandonné par ses plus fidèles collaborateurs, et qui forcément se met à douter. Toutes ces « tuiles » en feraient presque un personnage attachant, un « être humain ». Pourtant, il est beaucoup plus facile de se voiler la face et de se convaincre que Hitler était tout sauf un homme. Les avis resteront partagés sur ce point. Le film quant à lui, davantage par le message qu’il véhicule et le point de vue qu’il adopte, plus que pour sa mise en scène hésitante et ses quelques longueurs, s’avère un très bon outil pour se souvenir. "Si la guerre est perdue, peu m'importe que le peuple périsse. Ne comptez pas sur moi pour verser une seule larme. Il ne mérite pas mieux." Adolphe Hitler.
    Incertitudes
    Incertitudes

    170 abonnés 2 319 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 août 2013
    Auteur de l'étouffant L'expérience, je m'attendais de la part d'Olivier Hirschbiegel à un film tout aussi éprouvant enfermé dans le bunker d'Hitler. Pas du tout. Le film est une leçon d'histoire interprétée avec brio par Bruno Ganz dans le rôle du dictateur. Performance même hallucinante tant il ressemble au führer sans le caricaturer. Leçon d'histoire sur les derniers moments de la vie d'Hitler. Le film est introduit et conclu par la secrétaire particulière d'Hitler décédée en 2002. Témoignage fort puisqu'elle ne se cherche aucune excuse. On est en 1945. Hitler est retranché dans son bunker avec sa garde rapprochée. Ses officiers ne sont pas dupes. Ils savent que la guerre est perdue et que les Russes sont en train d'encercler Berlin. Seuls Hitler et ses proches comme Eva Braun et Goebbels sont encore persuadés que la guerre peut être gagnée et élaborent des stratégies alors même que leurs forces se réduisent de jour en jour. Contrairement à certaines critiques, je ne trouve pas que les auteurs aient tenté d'humaniser Hitler. Disons qu'on a quand même la vision pathétique d'un vieillard dont on se demande s'il a encore toute sa tête. Mais à côté, c'est aussi quelqu'un qui n'accorde aucun compassion pour son peuple sous les bombes. Cette phrase résume bien l'inhumanité dont il a fait preuve jusqu'au bout : "si la guerre est perdue, peu m'importe que le peuple périsse. Ne comptez pas sur moi pour verser une seule larme. Il ne mérite pas mieux". Au final, La Chute est un excellent film historique sur un des pires hommes que l'histoire a pu connaître. D'autant plus excellent que les films réalistes sur Hitler sont relativement peu nombreux.
    ned123
    ned123

    124 abonnés 1 661 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 décembre 2012
    J'ai vu un film... sur ce que Anna Harendt appelait la banalité du mal... Eh oui, Hitler et toute sa clique étaient presque des gens comme les autres, presque attachants, et pouvaient même faire de la peine... Mais finalement ce que ce film montre bien, c'est que c'étaient des psychopathes endoctrinés ayant perdu tout lien avec la réalité, la morale et leur humanité... Bruno Ganz est absolument remarquable en un "Tonton Adolf" pour certains, en un "Fürher adoré" pour d'autres, ou en "Fou à lier" (j"ai longuement hésité car j'aurai bien essayé "Fou allié", mais ça faisait pas trop sérieux...). Il réussit le tour de force de dominer son sujet, et de ne pas trop laisser transparaître un personnage affable, mais plutôt inquiétant, délirant et paranoïaque. Le parti-pris de ce film et son traitement "réaliste" montre bien que le sens moral de toutes ces personnes, et même leur principe d'attachement à des valeurs tenues en haute estime ne tenaient plus face à l'arrivée des armées soviétiques... On assiste à une "Apocalypse Now", façon agonie germanique, à une atmosphère de fin du monde (enfin de fin -heureusement- d'un monde). Sodome et Gomorrhe façon Berlin... Et maintenant, concernant spécifiquement la fin du dictateur, je trouve que le réalisateur aurait dû le livrer au regard du public, car après tout, bien que les témoins ont témoignés, et que le film a sans doute été écrit à partir de ces témoignages, il eut été sans doute fort de le voir face à la mort, et en l'occurrence à sa propre mort, et/ou celle d'Eva Braun (Juliane Köhler, actrice tout aussi remarquable....).

    Autre point qui m'a qq peu "indigné", c'est le système de narration qui reprend le témoignage de la secrétaire personnelle d'Adolf Hitler, bien âgée, 60 ans après la guerre qui mise toute ses "erreurs" sur sa jeunesse... Pourtant en Allemagne, des mouvements de résistance -"La rose Blanche"- composés de jeunes gens -dont beaucoup ont été arrêtés, déportés, fusillés- se sont opposés à ce régime barbare qui supprimait les juifs, les homosexuels, les handicapés, les tsiganes... De sa part, donc, aucune demande pardon... Et c'est peut-être ce qui manque dans ce film finalement.
    tuco-ramirez
    tuco-ramirez

    111 abonnés 1 577 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 septembre 2014
    Immersion dans le bunker où Hitler va se donner la mort durant le crépuscule du IIIème Reich.
    Ce film allemand nous permet d’être au plus près du monstre, de sa folie, de son déterminisme froid mais aussi de sa gentillesse envers certains. Basé sur des témoignages nombreux, le réalisme historique très peu romancé fait vraiment froid dans le dos. « Je m’interdis toute compassion », une phrase lâchée par le führer à plusieurs reprises et suivi d’actes en cohérence avec ces paroles envers son peuple et certains de ces proches. Le bunker est un personnage à lui seul, vivant aux palpitations cardiaques du tyran. Le bunker joyeux et vivant se vide peu à peu de son sang, les dignitaires partent peu à peu sans revenir. Cà sent la mort. Bruno Ganz offre de plus une interprétation laissant entrevoir toute la complexité du personnage et ses paradoxes. Le personnage est aussi bien écrit, il faut dire aussi que bon nombre des derniers spectateurs de cette chute sont décédés récemment et ont pu conter ces derniers jours de règne. Ce docu fiction fera date pour l’honnêteté qu’il véhicule ; excepté l’accent trop prononcé mis sur un peuple allemand victime de son dictateur, faut pas déconner quand même. Ensuite, le réalisateur ne fait pas preuve de virtuosité technique, mais surtout il met le gros budget du film au service de scènes extérieures de guerre inutiles au sujet traité. Faut bien dépenser l’argent. Le bunker et son huis clos oppressant et souffreteux se suffisaient à eux-mêmes.
    Belle leçon d’histoire portée par un Hitler convaincant mais dans une mise en scène de téléfilm gonflés à coup d’euros.
    Stéphane D
    Stéphane D

    92 abonnés 2 029 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 décembre 2015
    Un film très austère qui retrace longuement les derniers instants d'Hitler.
    C'est sans doute très bien reconstitué, mais malgré l'excellence du casting (Bruno Ganz en tête), il est difficile de réprimer quelques bâillements. Je préfère infiniment regarder Le Pianiste par exemple.
    Eowyn Cwper
    Eowyn Cwper

    88 abonnés 2 038 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 décembre 2019
    La Chute est peut-être le film allemand le plus fameux, ne serait-ce qu’à cause des parodies YouTube entourant le coup de gueule d’Adolf Hitler, alias Bruno Ganz. Il est vrai que la scène peut prêter à rire par sa démesure & l’accent autrichien pâteux adopté par l’acteur : la symbolicité crue de cette scène paraît avoir été offerte sur un plateau d’argent aux esprits moqueurs. Elle concentre ce qu’il y a de drôle, aujourd’hui, à atteindre un point Godwin.

    Quand on voit le film, on se rend compte qu’on rit du nazisme non parce qu’il était démesuré, mais parce qu’il est si absurde de se dire qu’il a, un jour, eu cours jusqu’à motiver la dernière guerre globale & entraîner des millions, malgré eux, dans leur propre inhumanité. La vraie Traudl Junge, secrétaire d’Hitler, en témoigne dans une petite partie documentaire avant & après le film.

    Sous une reconstitution militaire qui mêle cascadeurs & explosifs avec une proximité qui révèle le défaut d’une mise en scène beaucoup plus télévisuelle qu’immersive, Hirschbiegel se base sur deux livres (dont un de Junge) & met en scène 37 personnages réels (37 militaires & bureaucrates, ces Allemands consciencieux qui vont jusqu’à limiter à 1 le nombre de jouets par enfant), le tout dans le local exigu qui verra la fin du Führer entre autres suicides.

    On parle souvent de ce double suicide au pistolet & au cyanure (les capsules étaient fabriquées dans les camps, donc souvent sabotées & peu fiables) mais c’est autre chose que de mettre une caméra, même rétrospectivement, dans une ville qui fut la capitale de la plus grande déchéance du siècle dernier : la défaite allemande. Là, c’est une pandémie de suicides qui accompagne la nouvelle, & c’est l’une des deux manières qu’a le réalisateur de nous mettre en face de sentiments contradictoires. En effet, on ne peut s’empêcher de jubiler devant la mort d’un système inhumain. On sait aujourd’hui que, malgré ce qu’en ont dit les dystopistes ultérieurs, avril & mai 1945 signèrent pour bonne part la fin de la domination fasciste sur l’Europe, & cela fait bizarre d’être au cœur de cet idéal aryen en train de s’écrouler en même temps qu’un homme malade, affligé & colérique dont l’interprétation hantée est aussi terrifiante que l’absence de son personnage dans la dernière partie du film.

    Alors on se réjouit cinématographiquement d’une horreur historique, ce qui est culpabilisant – on a tort de croire la mesurer & honte de se réjouir. Or, quel meilleur moyen que la honte du spectateur pour lui faire ressentir l’atrocité qui accompagna les derniers jours du Berlin nazi ?

    J’ai même envie d’exagérer beaucoup & de dire que le spectateur s’en rendra mieux compte que les Berlinois eux-mêmes à l’époque : si le lecteur veut bien m’accorder l’indulgence que cet outrecuidant parallèle impose, j’ajoute pour cela au témoignage de Junge en remarquant qu’Hirschbiegel représente l’habitude. Celle du combat, des pertes civiles, des bombardements & des injustices, l’habitude qui teinte de nonchalance ce que Berlin, au sortir de la guerre, a connu de plus ignominieux.

    En faisant du spectateur un omniscient parmi des victimes, rebelotte : le spectateur est culpabilisé pour ses pensées. C’est le deuxième moment où le réalisateur met son client en face de ses sentiments & là que réside toute la beauté de son film.

    Huis-clos bunkerophile où il faut entretenir les faux-semblants coûte que coûte (au point que le coup de feu fatal au Führer fera sourire un enfant tenu dans l’ignorance, qui n’a pas conscience que le destin du monde se trame derrière ce son), La Chute est une œuvre de géant qui mérite bien ses parodies YouTube. En effet, elles témoignent que l’œuvre, sortie de son propre contexte, est simplement trop puissante pour ne pas être tournée en ridicule.

    → https://septiemeartetdemi.com/
    GéDéon
    GéDéon

    54 abonnés 444 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 février 2024
    Le troisième long-métrage du réalisateur allemand Oliver Hirschbiegel, sorti en 2004, s’empare d’un sujet complexe. En effet, le film retrace les derniers jours vécus par Adolph Hitler dans son bunker à Berlin. Le fait de concentrer le récit sur une période restreinte, sans aucune contextualisation historique, implique de la part du spectateur une bonne connaissance des personnages évoqués. En effet, l’aéropage de militaires côtoyant le Führer aurait peut-être mérité un traitement plus saillant. Quoiqu’il en soit, la folie du dictateur (incroyablement interprété par Bruno Ganz) face à laquelle son entourage réagit par la trahison ou le dévouement aveugle constitue une analyse incroyable de l’aura qu’inspirait cet individu. L’auteur évite de le rendre attachant, car même s’il est montré avec une forme de simplicité, son comportement amical envers ses plus proches le rend encore plus monstrueux. Bref, une œuvre extrêmement puissante et perturbante.
    cris11
    cris11

    48 abonnés 970 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 août 2012
    Tout d'abord félicitation au réalisateur pour avoir pris de nombreux risques à réaliser aussi brillamment un film comme celui-ci. En effet, je pense qu'il était difficile de dresser un portrait "objectif" d'Hitler en le faisant en sorte de ne pas accentuer ou atténuer l'aspect diabolique du personnage plus que la réalité. Pour cela, il est grandement aidé par la prestation exceptionnelle de Bruno Ganz en Hitler. D'ailleurs c'est l'ensemble du casting qui à féliciter. Les décors sont également réussis. Concernant, l'ambiance du film, c'est évidemment très noir mais il y a un réel sentiment d'oppression, accentué par l'image très sombre, ces décors apocalyptique et le fait la grande majorité du film se passe à huis-clos (dans un bunker). C'est un film duquel je suis sorti assez éprouvé et vidé mais ça reste un film vraiment à voir.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 29 décembre 2017
    Encore une découverte, ce film que je croyais être un documentaire, en réalité un film très réussi qui décrit dans une ambiance apocalyptique la fin du troisième Reich, et les derniers jours d'Hitler, comme si on y était. (vu en V.O. bien sûr, entendre Hitler vociférer en français "ça ne le fait pas" ) !.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 23 janvier 2018
    J’aime ce style de narration, une mise en scène joués par des natifs allemands, une autre manière de voir l’histoire de la seconde guerre mondiale, l’élément déclencheur représenter par cette figure obscure, Adolf Hitler, ses dernières heures dans le bunker, l’acteur Bruno Gantz nous livre une prestation puissante, sa mégalomanie belliqueuse causa sa perte, une idéologie et un régime autoritaire monoparti, basé sur la bigoterie extrême, vehiculant la mort, le nazisme fut un héritage qui laissa couler beaucoup d’encre, exerça un attrait pour le peuple germain pris au piège du lavage de cerveau, ses proches collaborateurs furent fanatisés, les propos chocs de Martha Goebbels, avec la complicité de son époux, le sort fatal réservé à ses enfants impuissants, avec le cœur serré, est infâme, n’ayant aucune compassion, l’hypothèse de la survie pour échapper à la peine capitale, aurait été infime, à l’après-guerre en particulier, la capitulation de l’Allemagne Nazi, l’occupation par les forces alliées et soviétiques, annonciateurs du commencement des événements de la guerre froide, avec un dénouement magnifique, 5/5.
    Philippe C
    Philippe C

    78 abonnés 1 004 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 décembre 2012
    A l'intérieur du bunker la vision est plutôt celle des nazis dont certains sont en proie au doute et d'autres toujours unconditionnels fanatiques de leur Führer. Celui-ci magnifiquement interprété par Ganz est dépeint dans sa folie grandissante, sa haine des juifs, mais aussi une forme de bravoure et un côté humain qui nous dérangent. L'horreur est surtout à l'extérieur du bunker où les images de Berlin en proie au cahos sous l'avance de l'armée rouge révèlent le vrai côté de guerre : des enfants endoctrinés, des parents perdus, la faim, les bombes, les exactions (celles des russes pourtant historiquement avérées ne sont pas même évoquées). Le plus glaçant dans tout ça, c'est la famille Goebbels, lui froid, dur, sans état d'âme (ou presque), elle adulant Hitler au point de tuer elle même ses enfants plutôt que de les imaginer vivre dans un monde sans le national socialime. Au total un film assez sombre comme il sied pour décrire l'agonie d'une période noire.
    rolly-tyler
    rolly-tyler

    26 abonnés 610 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 7 août 2007
    Film plutot dérangeant ou "l'ambiance" dans le ciné etait pesante.L'acteur principale est plutot bon dans ce role de personnage tristement célèbre.
    Ce film est assez interessant car il retrace la vie d'hitler ce qui nous permet de découvrire une partie de l'histoire de la seconde guerre mondiale.
    Tendax_montpel
    Tendax_montpel

    23 abonnés 631 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 janvier 2011
    Ce huis-clos qui décrit les derniers jours d'Hitler dans son bunker est saisissant à divers points de vue. On est frappé par la dévotion des différents personnages envers le fürher, et par l'acharnement guerrier de celui-ci, en dépit du bon sens. Les acteurs s'illustrent tous : Bruno Ganz dans le rôle d'Hitler évidemment, mais pas seulement. Finalement toutes les petites histoires s'additionnent, et nous font comprendre la densité historique de ces quelques jours.
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