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Un visiteur
4,5
Publiée le 6 juin 2014
un excellent film très mystique sur les borts, et qui ne démérite donc absolument pas avec un scénario certes très classique et des acteurs de grands talents.
Film bancal par excellence bien que fort bien interprété. Ca se traine, nombre de scènes sont inutiles et la psychologie des personnages reste une enigme. On ne peut toutefois pas ignorer qu'il y a là une véritable ambitieux artistique mais le résultat est médiocre.
Un film médiocre, qui enchaîne les fondus de noirs sans-arrêt et de façon importune, même les acteurs ne sont pas convaincus par leur rôle!! quant à la fin, elle laisse plus qu'à désirer! Mauvais!
Ce film est un instrument de torture... Lent au possible. Acteurs moux. Ca frole le documentaire sur la pêche au début. Documentaire sur les paysages Australiens également. Normal qu'il soit si long... Suspense créé artificiellement (des pêcheurs trouvent un corps, point, pas de quoi en faire une grosse énigme). Ouf, ce film m'a fatigué tellement je ne l'ai pas supporté.
Un film qui oscille entre le bon et le moins bon. Laura Linney est sublime comme à son habitude, l'histoire l'est moins par contre quant à la mise en scène, elle est mauvaise. Le film tarde trop à démarrer et les baisses de rythme, trop fréquentes, n'aident pas à rester captivé. Dommage car ça méritait mieux!!
On se demande tout le long ou va nous mener cette histoire . Pas très loin au final , après moult longueurs inutiles . Restent les paysages et quelques moments très inquiétants .
Que de longueurs dans ce film où foisonnent les images inutiles et les plans longs et où manque le principal. Quelle drôle d'idée de faire pleurer le héros devant le corps de cette jeune femme qu'il ne connait pas pour ensuite le faire pêcher tranquillement pendant 3 jours. Plein de non-sens et de non dits sans pour autant susciter l'émotion. Beaucoup d'ennui...
JINDABYNE débute comme un thriller mais c'est un leurre complet : le film est un drame des plus tragique. Présenté comme une sombre histoire de meurtre, JINDABYNE montre le déchirement de personnes aaprès la découverte du corps d'une appache dans la rivière. Lent voire même totalement inutile, le film ne sert à rien, soyons franc. Mais il montre la redemption d'une femme qui veut se faire pardonner pour un acte qu'elle n'a pas commis, et seul pour elle, on a envie de savoir si elle va arriver au but. Et une fois la fin vue, on peut vite fait oublier ce film comme il se mérite.
Ray Lawrence metteur en scène australien a un ton bien à lui qui entoure ses films d’une atmosphère étrange. « Lantana » était un film surprenant par son style de narration, « Jinbadyne » joue sur une intrigue inédite au cinéma. Celle-ci permet au cinéaste de manier tout à la fois le suspense et la dénonciation du racisme de la société australienne qui réserve un sort peu enviable à ses aborigènes. Le tout est mené avec la plus grande finesse nous amenant tout le long du métrage à nous poser la question de savoir si l’attitude des 4 pêcheurs est si condamnable et surtout le motif qui les a amené à continuer leur partie de pêche plutôt que de prévenir la police qu’ils avaient trouvé le corps d’une jeune femme victime d’un serial killer. Parallèlement à ce drame on voit celui qui se joue au sein du couple joué magnifiquement par Laura Linney et Gabriel Byrne. La jeune femme en quête d’idéal ne peut se résoudre à l’idée que son mari ait pu laisser le corps de la jeune fille trois jours dans le torrent avant de prévenir les autorités. De son côté son mari plus âgé comprends mal que sa femme l’ait laissé près de 18 mois, seul à élever leur enfant. C’est la Laura Linney qui aura la bonne attitude obligeant son époux à se poser la question de son geste fou et finissant par venir demander le pardon aux parents de la jeune fille le jour de son enterrement. Film amenant à la réflexion sans être ennuyeux. Bravo !
on se croyait un peu dans une secte.Sinon l'intrigue principale tourne court et on parle plus des problemes psychologiques de cette femme qui avait abandonnée sa famille!
Un groupe d'amis part en excursion et découvre le cadavre d'une jeune femme dans une rivière. Ils décident de continuer leur séjour et de ne signaler la découverte du corps qu'une fois revenus. A leur retour, ils se heurtent à l'incompréhension du village et de leurs proches, et leurs vies personnelles vont être bouleversées.
Quelque part entre le "Short Cuts" d'Altmann (pour la construction), "Grand Canyon" de Kasdan et même le récent "Old Joy" , ce long et lent film australien possède sa propre identité grâce à un rythme très particulier, un coté très mystique, et une interprétation magnifique (Gabriel Byrne et Laura Linney, qui justement fait étrangement penser à Julianne Moore dans "Short Cuts" ). La fin, en apparence un peu moraliste et puritaine, est en fait beaucoup plus perfide qu'il n'y parait après réflexion.
Un film assez planant, troublant, pas entièrement maitrisé (une bonne demie-heure de moins dans la première partie n'aurait pas fait de mal), mais qui procure des sensations très particulières.
Quelle déception quand on a apprécié "Lantana". Cette nouvelle de Raymond Carver déjà portée à l'écran par Robert Altman dans "Short cuts" meritait elle d'être filmée avec si peu de rythme ? Le jeu des acteurs et les paysages sauvent de l'ennui.
Jindabyne est un super film,je tire mon chapeau aux acteurs principalement à Gabriel Byrne mon idole il est parfait et toujours aussi séduisant meme à 57 ans et impressionnant dans son jeu d'acteur, l'histoire est parfaite.Alors j'ai un seul conseil a donner allez voir ce magnifique film.Jessica.
Un quatuor part en pleine montagne pour aller pêcher le temps d’un week-end, pendant que leurs femmes et enfants restent sagement à la maison. Ce qui devait être une partie de pêche relaxante entre amis va vite tourner au cauchemar lorsque l’un d’entre eux découvre dans la rivière le corps mutilé d’une aborigène. A leur retour en ville, l’annonce du meurtre de cette jeune femme fait grand bruit dans cette petite bourgade et tous les regards hostiles se tournent vers eux. Pourquoi ? Qu’ont-ils bien pu faire en pleine forêt avant de rentrer chez eux et de prévenir la police ? C’est sur cette trame que se déroule le film, ainsi que sur la réaction de la famille des victimes et des leurs. Ray Lawrence, qui en est à son troisième long-métrage, va traiter comme sujet principal, la difficulté et l’incompréhension qu’il peut y avoir entre les hommes et femmes présent dans le film, ainsi que les différences culturelles et ethnies présentent au sain de Jindabyne, situé en Australie (comme nous le suggère le titre du film). En plein cœurs des paysages australien à perte de vue, il tisse sa toile à l’aide d’une mise en scène lente et déstructurée, assemblé au final à un casting valorisant où l’on retrouve entre autre : Laura Linney et Gabriel Byrne.