Avis : Orgueil et préjugés - Page 4

Superbe film, interprétation, bande son, et la réalisation avec ses longues séquences. Très bonne surprise.

Chef d'oeuvre à l'état brut, ce film est le premier Joe Wright qu'il m'ait été donné de voir. Et quel film !
Quel sommet de romantisme ! Il y a quelque chose de magique dans les décors, la magique, le jeu des acteurs, aussi bien Keira Knightley que Matthew MacFadyen, qui nous touche sans le côté guimauve du romantisme. C'est surement ce qui fait la force d'Orgueil et Préjugés ... Loin des comédies romantiques actuelles, ici on retombe dans l'amour avec tout son implication de majesté et d'élégance... Magnifique réalisation !

REVIENS MOI. Keira Knightley la muse de Joe Wright et de Jane Austen. Une nouvelle fois brillante avec un casting 4 étoiles.

Un très beau film. Cette romance est porté par un joli casting et surtout par la magnifique présence de Keira Knightley. Je recommande chaudement ce film.

Ma critique ne peut etre objective car je suis à 90% des cas très antipathyque à ce genre de film, moeurs et coutumes de fausse et vrai bourgeoisie de la vieille europe me débecte ! Mais faut reconnaitre que les acteurs y sont vraiment bon ds leur role dont la description ne serait que pure mechanceté et que l'actrice principale dont je ne serais jamais écrire le nom ni le prononcé possède un charme tel que seul sa présence nouas autorise et surtout oblige à voir un film qui possède tout pour qu'on le deteste et où on s'efforce à être gentil (mais pas trop)
j'aurais essayé d'être honnête

Ohlala quel film magnifique ! Et les acteurs, géniaux !! Je me suis une nouvelle fois régalée par du Jane Austen !

Une bonne adaptation du roman de Jane Austen , je ne me suis pas ennuyé une seule fois . Mais Keira Knightley n'est helas pas ma Lizzie préférée...

Un film d'amour bien peu passionnant, long et ennuyeux, qui nous montre les moeurs, l'arrogance et l'hypocrisie des nobles anglais du XIXè siècle.

On ne peut pas s'empêcher de voir en Darcy une inspiration d'Eugene Oneguine de Pouchkine. Cette froideur et cet orgueil qui fait fuir en même temps qu'il fascine et fait perdre la raison. L'homme idéaliste qui ne voit pas l'amour qu'il dégage.
J'ai préféré cependant largement la seconde partie plus élégiaque sur les doutes et les tourments. Ou comment deux amants jurent par des mots cruels qu'ils ne sont pas faits l'un pour l'autre alors qu'ils souffrent de désir fou. Cependant le film porte formidablement par les images, son langage raffiné et son style un romantisme fou et d'une grande élégance.

Une adaptation propre et plutôt jolie du classique de Jane Austen. Un peu trop peut-être. Joe Wright signe un film lisse sans rupture de ton ni de rythme. Il enchaîne les plans esthétiques mais n’insuffle aucune vie au récit.

Un esthétisme et une classe anglaise que ce film mérite de porter. C'est beau, les personnages sont creusés, il faut tout de même un peu s'accrocher pour y être passionné.

Très belle musique, beaux décors, belle reconstitution et de bons acteurs également. Seulement voilà, je me suis méchamment ennuyé ! Peut-être aurais-je dû lire le bouquin avant histoire de m'en imprégner mais là j'ai trouvé ça extrêmement niais et inintéressant. Je ne me suis j'allais attaché aux personnages et toutes ces minauderies m'ont vite parues insupportables. Restent des dialogues désuets et plein de charme mais niveau émotions, ça été zéro pour moi, et sans ça difficile d'apprécier un film romantique.

Une bonne adaptation du roman de Jane Austen, qui doit beaucoup à son interprétation, illuminée par la présence de la radieuse Keira Knightley.

Des nobles ruraux de faible condition sociale, les Benett, n’ont bien que leur titre afin de pouvoir vivre à peu près dignement et espérer pour leurs 5 filles un mariage heureux voire lucratif. Elles sont aussi bien agréables à regarder mais elles sont en concurrence sur le marché du prétendant, 5 jeunes filles à marier en même temps ; et l’arrivée dans le comté de la haute noblesse britannique va aiguiser les convoitises.
Tiré du roman de Jane Austen, ce film dépeint, comme bien d’autres films français, les relations sociales de l’époque, les tromperies, les alliances et jeux de pouvoir. Le premier plan séquence afin de nous faire découvrir la famille Benett et son quotidien est assez virtuose même si le film plonge ensuite dans une sorte de torpeur. Mais après une mise en place assez classique voire longuette et manquant d’incarnation, dans sa seconde partie, le film parvient à nous réveiller. Les personnages prennent plus de place, deviennent complexes et touchants. Les dialogues sont savoureux à l’image de l’échange entre Keira Knightley et Matthew Macfayden dans le kiosque qui fait réellement démarré le film. Et puis, il traite de la place de la femme de manière moderne au travers d’un père de famille joué par l’excellent Donald Sutherland pas résolu à marchander ses filles au détriment de leur bonheur.
Un joli film que l’on a plaisir à voir et revoir car loin de la bluette bucolico-romantique.
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Adaptation du roman de Jane Austen plutôt fidèle au style de son auteur, une mise en scène lèchée et séduisante, des acteurs qui montent en puissance pour éblouir l’écran, un flegme so british qui bien que convenu régale. Après ce n’est pas le genre de films qui m’émeut mais techniquement c’est irréprochable.