Avis : A la poursuite d'Octobre rouge - Page 3

Un film d'aventure où le héros n’arrête pas , un très bon scénario de bon acteur. j'adore.

Un bon film mais plutôt lent et trop technique pour retenir constamment l'attention. De plus, on devine très vite la conclusion même si on ne sait pas comment on y arrivera. Certains acteurs, notamment Alec Baldwin, ne sont pas crédibles dans leur rôle.

Un excellent film naval, palpitant, stratégique et prenant.

Un film au supsense terriblement efficace, très bien filmé et interprété. Le meilleur film dont l'histoire se déroule principalement dans des sous-marins.

Excellent film d'action. Gros suspens et très bon jeu d'acteur, mais déçu par le rythme qui assez lent.

Sur fond de guerre froide
un commandant du dernier fleuron des sous marins russes
spoiler: futur deserteur cache bien son jeu, avant de faire défection

La présence et le charisme de Sean Connery sauve ce film.

Un film excellent, j'adore l'idée pour montrer que les personnages parlent en russe. On ressent une tension tout au long du film, ce qui le rend passionnant, ajouté à cela des acteurs excellents, ça donne un vrai régal.

Ce film est un très bon thriller. Sean Connery loin de son rôle de James Bond, joue très bien. Ce film nous laisse dans le doute jusqu'à la fin.

Le réalisateur de Predator et Piège de Cristal organise ce formidable brad de fer entre les USA et l'URSS avec son brio habituel. Adapté d'un best-seller de Tom Clancy, spécialiste du roman d'espionnage new look, vendu à 6 millions d'exemplaires, c'est un huis-clos maritime psychologique fort stressant, ponctué de rebondissements. D'ordinaire je n'aime guère les films de sous-marins, mais celui-ci est spécial, j'ignore à quoi ça tient, peut-être une ambiance étrange, et aussi un beau casting avec en tête l'ami Sean qui s'est fait une tête de Russe, il était à cette époque dans une période prolifique de bons films (Les Incorruptibles, Presidio, Indiana Jones et la Dernière croisade, Soleil Levant...). Bref, on ne s'ennuie pas un instant.

La très intéressante histoire d'une dizaine de pirates russes qui par intérêt personnel trompent leur équipage et l'URSS en se vendant (et le sous marin avec) aux USA... L'histoire en soi est fort peu crédible tout comme l'ont été les russes en général dans ce film ou encore les dispensables scènes d'action.
Je suis d'accord que cela constitue la majorité du film mais il y a quelque chose que j'ai beaucoup aimé, c'est le déroulement de l'intrigue, les manoeuvres effectuées par le capitaine (sean connery) pour leurrer à la fois son équipage, Moscou et surtout faire comprendre ses intentions à la CIA (alec baldwin) qui bien sûr n'a pas hésité à jouer le rôle de complice dans le vol du sous-marin qui a coûté la vie à un autre sous-marin russe et tout son équipage... ces sournoises et misérables manigances à la Ocean's 11 étaient toutefois vraiment fort bien ficelées :D

Cette chasse au sous-marin nucléaire en eaux profondes donne lieu à des scènes suffocantes de réalisme au cours desquelles nos nerfs sont soumis à rude épreuve car nul ne connaît les réelles intentions du commandant Ramius, seul aux commandes d’une arme absolue, en pleine guerre froide. Avec ce rôle taillé sur mesure, l’impressionnant Sean Connery vole la vedette au héros Jack Ryan, campé par un Alec Baldwin peu convaincant. Adapté du roman de l’écrivain contemporain Tom Clancy, « The hunt for Red October » est donc un huis clos éprouvant qui embarque le spectateur pour un suspense savamment entretenu, sur fond de chœurs russes de toute beauté.

« À la poursuite d'Octobre rouge » de John McTiernan (1990) est l’adaptation d’un roman de Tom Clancy, paru en 1984. Nous sommes en pleine guerre froide et Marko Ramius (Sean Connery), vétéran de la marine soviétique aux états de service irréprochables, est aux commandes d’un nouveau sous-marin de la classe Typhoon armé de ses ogives nucléaires et équipé d’une « chenille », nouveau mode de propulsion silencieux qui le rend indétectable. Pas moins de 58 sous-marins russes sont en mer mais le bâtiment de Ramius semble s’écarter de sa route… et Jack Ryan (Alec Baldwin), un analyste de la CIA qui connait bien Ramius, émet 3 hypothèses : pur exercice d’entrainement ou prémices d’une attaque des USA ou désir de passer à l’Ouest ?
Sean Connery sûr de lui va manœuvrer son sous-marin de façon poignante parmi les colonnes de Thor, le massif de Neptune… pisté par un sous-marin américain USS Dallas et attaqué par le sous-marin russe Konovalov.
Un jeu d’échecs haletant dans l’atmosphère confinée d’un sous-marin.

Un vrai grand film de sous marin comme on n'en fait plus. Suspens, scenario, casting, BO... tout est réuni dans ce grand film. Une référence du genre. Tout simplement.

Les aventures de Jack Ryan sont nombreuses au cinéma et A la poursuite d'Octobre rouge (1990) en fait parti. A la réalisation, on retrouve un cinéaste chevronné, en la personne de John McTiernan (Piège de cristal - 1988 & Une journée en enfer - 1995). Doté d’un scénario très intelligent et passionnant, la mise en scène qui peine à démarrer nous réserve de belles surprises par la suite. Une intrigue prenante et qui ne nous relâchera plus par la suite. Les moyens sont conséquents et cela se ressent aisément, les plans en extérieurs pour plus de réalismes sont parfaits, la distribution quant à elle, est au diapason, grâce à l’apport de Alec Baldwin, Sean Connery & Sam Neill entre autres.
Tout juste vingt ans d’âge et pas une seule ride, plutôt surprenant car les SFX n’accusent pas le poids des années. Preuve que l’on a ici une réalisation parfaite en tout point.

Excellent film de huis-clos et de suspense politique et nucléaire avec un Sir Sean Connery sûr de lui et de ses intentions et donnant une idée de ce qu'a pu être la guerre froide dans ses moments les plus... chauds. Tient en haleine jusqu'au bout. Un classique.