Avis : La Vengeance dans la peau - Page 2

Un troisième volet qui tient toutes ses promesses: une action décapante, un suspense haletant et permanent, de très belles trouvailles scénaristiques, et une originalité constante par rapport aux films du genre.
Spectacle ahurissant mené à du 200km/h, et réalisé à la perfection par un Paul Greengrass virtuose:
La trilogie est close. Mais après trois films aussi forts, on a fini par s'attacher à notre Jason Bourne, et c'est avec un petit serrement qu'on quitte la salle. Reviens-nous, Matt...

Voici le meilleur épisode de la saga avec de super scènes d'action et comme d'habitude un très bon Matt Damon.

Troisième volet de la saga 'Jason Bourne', et assurément le meilleur ! Et ce, après, quand même, deux films absolument mémorables, fallait le faire ! Matt Damon est plus que jamais Jason Bourne en puissance dans ce film. On ne s'ennuie pas une seule microseconde. Bravo !

Le dernier volet qui clôture en beauté cette trilogie d'une rare maîtrise.

Après avoir revu la trilogie, si on excepte la découverte du 1er, c'est celui qui me semble le meilleur avec son rythme extrêmement tendu d'un bout à l'autre. Sans apporter un scénario incroyable ni trop innover (on retrouve des ingrédients reproduits quasi à l’identique des épisodes précédents), la réussite dans le genre est incontestable. Dommage que les prolongations qui ont suivi aient été aussi décevantes.

L'avantage avec cette saga c'est que les trois opus sont très bons tous les trois, et dans ce dernier épisode, la tension et les scènes de poursuites sont encore une fois très réussies.

Ce troisième opus est d'une qualité supérieure aux deux premiers en prenant le coté espionnage du premier et le coté action du deuxième (sans les mouvements saccadés de caméra).
La trame de "la vengeance dans la peau" ne commence pas où se termine "la mort dans la peau" mais un peu avant du coté de Moscou. Ceci peut décontenancer au début mais les dix dernières minutes permettent de relier la trilogie.
Les scènes de poursuite à Tanger intègrent le panthéon des scènes mythiques qui nous font aimer le cinéma d'action.
Coté acteur, Matt Damon est comme d'habitude parfait pour le rôle.
Un Must !

Jason rentre à la maison après de longues poursuites improbables. Et c'est là que le bât blesse, rien ne tient vraiment la route : les portes hyper sécurisée qui s'ouvre avec de vraies cartes magiques issues du néant, des carambolages apocalyptiques n'occasionnant que quelques égratignures. Avec Jason, c'est de la vraie démolition.....

Ce troisième opus qui n'en est pas vraiment un, puisqu'il "s'emboite" dans le numéro 2, est incontestablement le meilleur de la trilogie bourne, à la manière d'un Die Hard 3. Mélangeant suspens, action, et scénario relativement bien ficelé, la vengeance dans la peau est d'une nervosité extrême.
Côté acteurs, le jeu est excellent, on apprécie le retour sur le devant de la scène de Julia Stiles, et un Matt Damon toujours au top niveau.
Le seul regret de ce nouveau Bourne est l'utilisation intensive de la caméra à l'épaule, qui donne parfois la nausée.
La vengeance dans la peau boucle une trilogie d'une façon magistrale, qui monte en puissance tout au long du film.

Le meilleur épisode de la saga et de loin. Cette fois, on arrête de se torturer le cerveau avec des intrigues alambiquées autour de la CIA pour laisser place à un film d action fait de scènes spectaculaires et réussies ! Une poursuite en voiture comme on a jamais vu, une chasse à l homme dans une gare magistrale et prenante et une très longue poursuite à trois sur les toits du Maroc ou la tension est extraordinaire et se termine par un combat surhumain en coupant la musique, exceptionnel, vraiment ! Vous l aurez compris, le film fourmille de bonnes idées et est en plus bien aidé par un scénario inédit qui ne fait pas de cet opus un troisième épisode mais prend place au sein même du deuxième volet !

Paul Greengrass signe le troisième épisode de la trilogie, en maintenant le spectacle en haleine jusqu'à la fin. Matt Damon est à nouveau Jason Bourne et enfin , son passé lui ait révélé. Le film apporte les réponses attendus : la véritable identité de Jason ; son recrutement au sein du programme Treadstone ainsi que les vraies raisons de son amnésie. Les ingrédients sont toujours les mêmes : la réalisation efficace , l'interprétation est solide , le récit bien rythmé et les scènes d'actions brutales assurent. Un troisième volet dans la lignée des précédents.

Avec son scénario alambiqué, et une volonté de faire un troisième film plus spectaculaire ce troisième volet de la saga Bourne est encore une réussite. Multipliant son champ d action: on va suivre sa poursuite à Madrid, Paris, Tanger, New York, c est aussi le plus fourni et le plus efficace au niveau de l action. A ce titre la course poursuite en voiture dans New York est clairement le must du genre de la série et se trouve être vraiment marquante. Et malgré cette débauche d action le film renoue avec l aspect plus psychologique du premier épisode. Le meilleur de la série ? C est bien possible.

Dernier opus de la trilogie, La Vengeance dans la peau conclut admirablement les aventures de Jason Bourne. Tout y est clairement expliqué et le scénario du film est toujours aussi bien écrit. Matt Damon est toujours aussi parfait dans le rôle de Jason Bourne et Paul Greengrass toujours aussi à l'aise derrière la caméra. De plus, La Vengeance dans la peau nous offre de très belles scènes d'action et de courses-poursuites à l'image de celles de Tanger et New York. Bref, une trilogie haut de gamme qu'il faut absolument avoir vu. Un must dans le domaine de l'action/thriller/espionnage.

La saga Jason Bourne est cloturée en beautée avec un troisième volet assez réussit. James Bond peut prendre sa retraite avec ses gadgets ringards, le 21eme est en terme d'héros d'actions en espionnage viril, brutal et methodique avec, pour la télévision, Jack Bauer dans "24 heures chrono" et au cinema Jason Bourne, amnésique, qui cherche a retrouvé et cherché son identité dans "La mémoire dans la peau" de Doug Liman, qui voit sa compagne de cavale se faire descendre par un Sniper dans une poursuite sous ses yeux dans "La mort dans la peau" et le dernier volet qui vient de sortir, "La vengeance dans la peau" qui, comme le titre l'indique, découvre plusieurs vérités sur qui il est et les hommes qui veulent sa peau. Pour ma part, les trois volets sont à égalités les uns les autres, je n'ai aucune préférences, ils sont tous les trois excellents. Il ya du rythme, du suspense et des scènes d'actions brillament réalisés, avec notamment la scène de la gare de Waterloo et la course pousuite spectaculaire dans les rues d'une ville au Maroc. Les cascades sont en partie réels et non des effets spéciaux abrutissants comme on en voit dernierement dans les films Américains et ça fait plaisir. Peter Greengrass réussit avec brio a cloturé une saga alléchante, malgré une fin ou l'on s'attend un peu comment ça va finir. Matt Damon est impeccable dans le meilleur role de sa carrière, le trés athlétique Jason Bourne. David Strathairn, Joan Allen et surtout Julia Stiles, habitués a faire des "teen-movies" banales, sont excellents à ces cotés. Amateurs de films d'actions, ce film est pour vous.

Le dernier épisode de la célèbre trilogie tirée de l’œuvre de Robert Ludlum tient toutes ses promesses. Il est même supérieur à ses prédécesseurs pourtant déjà d'un excellent niveau. Habituellement, je ne suis pas un amateur de films d’espionnage. Mais la série des Jason Bourne est une exception. Au départ, le choix de Matt Damon pour incarner le personnage principal laissait craindre le pire (trop tendre, tête de premier de la classe). En fait, il a trouvé là le rôle de sa vie. Implacable et d’une efficacité redoutable, la cible se transforme en chasseur. On retrouve dans « La vengeance dans la peau » un Jason Bourne en perpétuel mouvement pour échapper à ses ennemis. Et c’est lui qui a la maîtrise de la situation avec toujours un train d’avance sur ses poursuivants. Il se permet même de les narguer ! Le réalisme de la réalisation est tellement poussé que ce film révolutionne le genre jusqu’alors plombé par les invraisemblances et les baisses de rythme. Caméra à l’épaule, le réalisateur suit notre ancien tueur amnésique au plus près de l’action. L’absence de temps morts, le suspense omniprésent (la recherche du passé) font de ce film un modèle du genre qui commence à inspirer les jeunes réalisateurs et même les nouveaux James Bond.