Avis sur Hellraiser 3

Avec "Hellraiser" et sa suite "Hellbound", le cinèaste Clive Barker avait imaginè une nouvelle race de dèmons qui mêlaient le plaisir et la souffrance! Dans ce troisième volet mariant dèlires gores, humour très noir et touches surrèalistes, Anthony Hickox dèvoile l'origine du plus cèlèbre d'entre eux: Tête d'èpingle, toujours incarnè par Doug Bradley! Bob Keen, le crèateur des effets spèciaux de la saga, a conçu aussi de nouveaux monstres, dont un DJ au crâne farci de CD meurtriers et un redoutable homme-camèra! Un èpisode aux effets spèciaux rèussis et c'est sûrement le point le plus positif du film avec la belle Terry Farrell, vierge inaltèrable au passè traumatique, dont l’èraflure à la cheville et au sein nous font frissonner de plaisir...

Moi qui d'habitude n'aime pas cette saga, j'ai été bien surpris par ce troisième opus. Pour l'instant, je n'ai vu que Hellraiser 1, mais aucun des autres, moi qui m'attendait à un film aussi compliqué que le 1, j'ai eu le droit a un film d'horreur classique. Les effets visuels sont bons, l'histoire bonne et les acteurs corrects. A quand le remake ?

Hellraiser III parvient à faire illusion pendant la première heure. On se dit alors qu’on a affaire à un petit film d’horreur sans prétention avec une pointe de sexe pour relancer l’attention. C’est sans compter sur la dernière demi-heure qui part totalement en vrille en introduisant 5 nouveaux cénobites encore plus ridicules que les précédents (si si, c’est possible!) et en enchainant les effets pyrotechniques non maitrisés. Une mauvaise suite qui s’éloigne encore un peu plus de l’esprit de la nouvelle de Clive Barker.

Reprenant l'univers de Barker sans en avoir compris le sens, ce troisième opus se pose en monument d'opportunisme racoleur esperant surfer sur l'aura entouant les mythiques cénobites. Hellraiser 3 est complétement aseptisé de toute la subversion des 2 premiers, on assiste à une sorte de slasher bien gore jouant sur tous les effets les plus éculés du cinema d'horreur avant de tomber dans le gros n'importe quoi plutôt fun mais vraiment idiot sur la fin. Pinhead est ici vidé de tout charisme pour devenir un vulgaire méchant debitant une blague carambar toute les 5 minutes. Ce qui est un comble pour ce personnag mysterieux qui est ici banalisé par des producteurs opportunistes qui pensaient gagner de l'argent avec cette licence.

Un mauvais téléfilm...Voila ce qu'est ce 3éme volet de la saga "Hellraiser"...La ou les deux premiers volets démontraient un certain charme malgré de nombreux défauts, ce 3éme volet ne collectionne malheureusement que les défauts. Seuls les effets spéciaux restent dans la lignée des deux premiers volets (des effets spéciaux qui restent par moment assez douteux). Au paroxysme de la médiocrité, se trouve l'incohérence et la débilité des dialogues ( petit exemple car c'est tellement savoureux : "ce n'était pas un cauchemar mais un mauvais rêve" ou encore " et si t'allait regardé un dessin animé ?" ). On passe par des scènes totalement grotesques (autant dans les premiers volets ça pouvait passer autant la ça ne passe pas du tout mais alors pas du tout...) comme la scène ou la fille essaye de déplacer le corps (l'utilité de faire une scène aussi misérable ? Aucune !). Les facilités scènaristiques sont reines : on se retrouve avec l'arrivée de l’irréel (le monde des cénobites) dans le réel menant à 30 dernières minutes qui ne méritent même pas d’être abordées... Même pas envie de m’éterniser car ce film ne le mérite pas...

Un 3ème Hellraiser qui débute très lentement ; à part quelques effets sanglants les 45 premières minutes sont ennuyeuses. Le film se rattrape par la suite avec notamment une scène de massacre dans la discothèque se partageant entre le comique et l'horrifique, la fin est efficace aussi. Mais dans l'ensemble Hellraiser 3 est un film d'horreur assez faible qui n'a pas l'ambiance sombre et mystérieuse des 2 précédents Hellraiser.

Pour moi, la différence entre un 0 et un 1 étoile est la suivante: j'ai quand même regarder en entier le 1 étoile. Voilà pourquoi celui-ci n'en a pas 0, mais bon, il n'est d'aucun intérêt: une suite nanar des années 90, reprenant l'idée de base de l'opus original, avec des acteurs de seconde zone et un scénario bâclé. Sans aucun intérêt

un film terriblement mauvais comme la plupart de ceux de la saga sauf les deux premiers, peut etre pas le pire mais enfin quand meme quoi... les acteurs sont tres moyens, le scenario tiré par les cheuveux et franchement incohérent, les décors tres mediocres enfin bref un film qui n'as rien pour plaire... ah si ! la chanson du générique ! le légendaire HELLRAISER de Lemmy Kilminster et Ozzy Osbourne et interprété par MOTORHEAD ! c'est vraiment réconfortant, ca m'as permis de regarder le film jusquau dernier instant du générique, ce qui ne me paraissait pas possible quand je l'ai commencé !

Le troisième opus remonte bien le niveau de la saga après le deuxième opus. L'ambiance est assez diffèrente, les personnages principaux changent, mais Pinhead toujours incarné par l'inévitable Doug Bradley a un rôle beaucoup plus central qui lui convient beaucoup mieux. Je trouve personnellement que la saga prend avec cet épisode une tournure qui lui va bien.

hellraiser 3 est la suite qu' on peut comme souvent Ignorée. Néanmoins , c'est dans cette épisode qu'il y a ma scène préférée de la sage hellraiser ( la scène de l' église).

3 ème épisode de la saga, à défaut d'être intéressant, celui là a au moins le mérite d'avoir un scénario bien monter. Mais on sent quand même un manque d'idée de la part du réalisateur.

Bah... Quel ennui profond... C'est tristement fade et grossier... Un film simplement opportuniste et mercantile. Une production 100% américaine, qui n'a rien compris( ou qui s'en moque )à l'ambiance, et à la mystique de cet univers de littérature britannique, qui ont fait le sel des deux premiers épisodes. Les filles sont peut-être jolies et souvent sexy. Mais tout de même, moi aussi, " Je recommande l'amputation "... Pour mieux se débarrasser définitivement, de ce navet de commande sans caractère...

Techniquement correct et plutôt supérieur aux deux premiers films, certes. Mais contrairement à eux, le résultat est absolument sans aucun gout, ni magnificence. Ou même un tant soit peu d'imagination. C'est vide et souvent génant. spoiler: à l'image de ces cénobites cameraman, cocktail-man, et compact-disc-robot-man...
Aussi débile que anti-photogénique au possible... spoiler: Et je n'ose même pas parler, de ce que les scénaristes ont fait de Terry, une fois transformé en démone infernal...
Un vrai gag à la Mel Brooks, qui n'a pas sa place ici... Une flagrante démonstration, d'une sensibilité artistique pathétique...

Sensibilité que l'on retrouve malheureusement, dans les nouvelles orientations musicales, que l'on essaye maladroitement de nous imposer, sous le fallacieux prétexte d'un night club "jeune et branché", en guise de lieu d'intrigue. Un choix qui tranche inopportunément, avec la superbe musique baroque et symphonique du précédent opus. Et qui s'explique probablement, par une volonté artistiquement malhonnête, de vendre absolument un maximum de CD/K7 de l'OST, en misant sur une compilation de "musique alternative, à la mode", pour cibler exclusivement les ado' et jeunes adultes. Bref, aucun respect pour le film et l’œuvre de Clive Barker. Quitte a nous mettre du Metal, par ce que "ça fait sataniste ou gothique", autant en trouver du bon, du vrai, et qui respecte la thématique des films. Du Black Metal ou du Trash bien sauvage, j'aurais compris. Et peut-être même apprécié. Mais là, même s'il y a du beau linge sur la bande son... Pfff... J'vois vraiment pas le rapport avec l'ambiance...

Pourtant, même si la mise en scène est plutôt très inégale, le rendu série B industrielle de gros studio hollywoodien, n'est pas vraiment déplaisant à l’œil. Mais coté envie et passion, c'est un gros zéro pointé pour l’ensemble du récit. Du dernier dialoguiste au premier rôle, tout le monde est peut-être plus ou moins compétant. Mais visiblement à l'usine. Et en pilote automatique, en plus. Du coup, au final, en résulte un film complétement inintéressant. Et n'ayant pas encore vu les 7 autres "chefs-d’œuvre" de la saga Hellraiser, actuellement, je considère qu'elle s'arrête à la fin du générique de l'épisode 2...

Si seulement les équipes créatives des deux premiers films, avaient eut autant de moyens techniques et humains, qu'il y a eut sur ce troisième opus foireux... Quel gâchis... Quand je pense, qu'il y a même des plans à la double focale... Il n'y a vraiment pas de justice... C'est tellement triste... George Abitbol avait bien raison...

Comme dans chaque épisode d'Hellraiser la frontière entre le monde réel, la rêverie et la société des enfers est mince, alors le scénario est parfois dur à suivre même pour les plus attentifs d'entre nous. Mais c'est aussi ce qui fait le charme de l'univers démoniaque de Barker, chacun en déchiffre les codes à sa façon.

Dans ce troisième opus Pinhead prend du galon et devient le personnage central. Moins sombre et mélancolique (malgré une scène majestueuse) que les précédents, ce qui peut lui donner un aspect plus clinquant/sérieb aux yeux des fans du début de la saga, Hellraiser III est aussi plus drôle, avec notamment l'arrivée de nouveaux cénobites hauts en couleur et des scènes gores carnavalesques ( je pense notamment aux meurtres à lancés de Compact Disc ahahaha). Cependant les acteurs sont moyens et quelques effets spéciaux numériques mal maîtrisés viennent un peu gâcher la fête.

Hellraiser troisième du nom n'est donc pas une totale réussite mais un divertissement que je recommande. S'il avait pu clôturer la saga en trilogie, nous aurions évité bien des mésaventures.

Je ne suis pas fan de cette saga (j'ai seulement vu les deux premiers, et le neuvième), mais pour pour l'instant ce 'Hellraiser 3' est mon préféré avec le premier. Dans l'ensemble, c’est une assez bonne suite qui exploite plus ou moins bien le "mythe" qu'il y a dans ses films... Dans celui-là, on ne s'ennuie jamais, il y a quelques morts efficaces et quelques scènes assez flippantes. Pas un chef-d’œuvre, mais c'est sympa à regarder.

Un troisième volet aussi palpitant et névrosé que les deux précédents.