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boscopax
72 abonnés
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4,0
Publiée le 19 décembre 2007
Harlin essaie de coller au succès du premier volet sans y parvenir. Il s'agit là d'un très bon film d'action, mais qui sent le TROP. Il s'agit d'une immense surenchère, mais qu'est ce que c'est jouissif !!!! John Mc Clane is back, toujours aussi seul contre tous, et toujours aussi hilarant quand il tue un méchant.
Suite au film culte de John McTiernan, j’ai nommé Piège de Cristal, Renny Harlin reprend les commandes de la saga en devenir, avec un deuxième opus intitulé 58 minutes pour vivre (Die Hard 2). Bruce Willis effectue donc un retour plus qu’alléchant dans le rôle d’un flic aussi ordinaire qu’emblématique, le (relativement) malchanceux John McClane ; et au programme, Harlin nous a concocté un long-métrage dans la lignée de son ainé, avec un mélange réussit d’action/humour. Néanmoins, l’ensemble apparait au final en-deçà de Die Hard 1, sans pour autant décevoir ; en effet, les fusillades et autres péripéties que McClane affronte face à un groupe de mercenaires belliqueux, occupe une part plus importante du film. Et, bien que ce léger surplus d’action ne soit en rien redondant, force est de constater que le nombres de rafales, explosions et consœurs va croissant, tandis que la crédibilité du tout décroit quelque peu ; rien d’insensé tout de même, mais la différence avec Piège de Cristal se fait sentir, lui qui plaisait de par son action bien dosée. Autrement, sans faire dans l’excès de complexité, l’intrigue proposé ici est néanmoins plus travaillée, tout en baladant d’un endroit à l’autre un McClane pour le moins sollicité ; le tout est donc prenant, on ne s’ennuie aucunement, nouveau bon point pour un divertissement de cet acabit. Reste à rappeler rapidement l’humour bien distillé, une galerie de personnages secondaires typiques du genre mais sympathiques, et le jeu d’acteur attachant d’un Bruce Willis s’appropriant une nouvelle fois avec aisance l’un de ses rôles fétiches. Bref, 58 minutes pour vivre est un film d’action de bonne facture, moins culte que son prédécesseur mais plaisant.
Une bonne suite. Bruce Willis incarne de nouveau John McClane . Un bon film d'action. Marrant, délirant et subversif. Un bon thriller rempli de suspense.
Ouais bof, ça se laisse regarder mais c'est vraiment sans plus. Ce deuxième épisode reprend les mêmes codes que le premier mais il n'atteint pas le même niveau pour autant. Il y a tellement de trous dans le scénario et des moments illogiques que ça en devient pompant, fatiguant. Ca n'a rien de cohérent, le film se noie presque dans sa propre absurdité (le siège éjectable, les balles à blanc, le général Esperanza qui se libère en 2 secondes (il y a qu'un soldat pour l'escorter?)...). Bref, il y a quand même assez d'actions et de cascades pour y arriver jusqu'au bout mais rien de bien mémorable. Le personnage de William Sadler est ici tellement mal écrit et sous-développé; ce qui fait qu'il n'atteint jamais le charisme ni la noirceur d'Alan Rickman (ennemi du premier épisode). Au suivant.
Film culte. Deuxième épisode réussi de la saga réalisé cette fois-ci par Renny Harlin. Dans cette histoire McClane attend l'avion de son épouse dans un aéroport ou il va devoir faire face à un groupe de terroristes qui prennent le contrôle de l'aéroport en coupant les communications entre la tour de contrôle et les appareils en vol. On reprend les mêmes ingrédients que le précédent film avec du suspense, de l'action, avec une dose d'humour. Bruce Willis assure de nouveau dans le rôle de John McClane. Bonnie Bedelia, William Atherton et Reginald VelJohnson reprennent également leurs rôles de Holly McClane, Richard Thornburg et du Sergent Al Powell. Franco Nero et William Sadler jouent bien leurs rôles de méchants. Le reste du casting est pas mal : John Amos, Dennis Franz, Fred Dalton Thompson, Tom Bower, Robert Patrick et John Leguizamo.
Ce deuxième opus de la saga des Die Hard est incontestablement meilleur que Piège de cristal.
Si l'on retrouve encore l'implication de la femme de McClane dans l'intrigue, l'histoire est toute fois plus poussé et le scénario ménage de vrais rebondissements en complément de scénes d'actions encore plus dantesques caractérisées par des explosions plus tranchantes qui en envoient plein la gueule.
Bruce Willis est toujours à l'aise dans un registre qu'il maîtrise parfaitement et la réalisation ne s'essoufle jamais.
Ces 2 heures de spectacle divertissent excellement et donnent plus de poids à la saga. Ce deuxième épisode est plus que nécessaire, il est indispensable.
Le moins réussi de la trilogie, mais il vaut tout de même le détour pour le très bon film d'action qu'il est et pour la toujours excellente prestation de Bruce Willis en super flic toujours là au mauvais moment.
En générale les second opus sont moins bien réussi que les premiers, la je trouve que c'est le cas car certes l'actions est au rendez vous mais l'histoire elle est un cran en dessous. Il n'en reste tout de même un très bon film distrayant, efficace avec de bon acteurs, une bonne réalisation permettant a la franchise de perduré.
On prend plaisir à retrouver Bruce Willis dans son rôle de John McClane dans cette suite qui reprend tous les ingrédients du premier : aussi simple et aussi efficace dans ses scènes d'action que son prédécesseur.
58 minutes pour vivre est une très bonne suite de Die Hard 1. Bruce Willis joue tout aussi bien. Le suspens est légèrement plus majoritaire, les scènes d'actions très bien réalisées. Très bon film!!
Deux étoiles peu généreuses, mais ce film m'a légèrement décu. C'est de loin le moins bon épisode de la trilogie Die Hard. Renny Harlin semble moins inspiré que lors de piège de cristal et les "salauds" de l'histoire n'ont pas la classe à laquelle on pourrait s'attendre. Reste un divertissement de bon facture, avec de bonnes cascades et des péripéties pour le moins spectaculaires. Bien mais sans plus.
Deuxième volet des aventures de John McClane cette fois-ci réalisé par Renny Harlin, 58 minutes pour vivre nous plonge ce Noël dans un aéroport pris d'assaut par un groupe de terroristes. Plus d'espace donc pour un John McClane à peine remis de ses émotions depuis sa mésaventure au building Takagi l'année précédente... Alors quoi de neuf pour cette séquelle ? En premier lieu, le long-métrage est bien écrit, la trame de base s'inspirant d'un roman de Walter Wager tout en intégrant les éléments de la saga, suivant donc directement le premier film, Piège de cristal, bien que les deux romans originaux n'ont absolument rien à voir ensemble. Et si cet épisode ne surpasse aucunement son indétrônable prédécesseur, il n'en reste pas moins un honnête film d'action tout à fait convenable, aux séquences musclées nombreuses et aux dialogues savoureux, McClane ressortant toujours aussi bien des répliques cinglantes du style « Quand est-ce que j'aurais droit à un Noël normal moi ? Avec sapin, guirlandes et dinde aux marrons. Meuh non, on est tellement bien dans une conduite d'aération ! »). Et si l'effet de surprise est passé, on se régalera de séquences d'anthologie comme la fameuse scène où les grenades explosent sous John qui vient de se propulser avec son siège éjectable, la poursuite en chasses-neige ou encore le face à face final se déroulement carrément sur l'aile d'un avion prêt à décoller. Les nouveaux personnages sont quant à eux plutôt crédibles tout en restant moins charismatiques que dans les films de McTiernan, comme par exemple Marvin le gardien débile ou les sbires du Colonel Stuart, tous plus oubliables les uns que les autres. Ainsi, 58 minutes pour vivre est largement moins bon que son prédécesseur mais reste tout de même une excellente séquelle qui se regarde avec toujours autant de plaisir, sauvant par la même occasion la filmographie de Renny Harlin, abonné aux navets.
Le moins bon de la série pour beaucoup, mais certainement le mieux ficelé des trois premiers ! Avec en prime beaucoup d'humour, d'action et de rebondissements. La scène de l'éjection est inoubliable tout comme celle de la neutralisation du journaliste dans les toilettes de l'avion. Un très bon moment de cinéma.