Mon compte
    L'Homme du Kentucky
    Note moyenne
    2,8
    77 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur L'Homme du Kentucky ?

    11 critiques spectateurs

    5
    0 critique
    4
    2 critiques
    3
    5 critiques
    2
    2 critiques
    1
    2 critiques
    0
    0 critique
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Western étonnament tres naif (un gentil chasseur acompagné de son adorable fiston et de son bon toutou décide d'aller au texas mais d'abord il passe chez son frere , un brave type!) de la part d'un burt lancaster pourtant habitué a des films beaucoup plus violents (les tueurs,vera cruz,etc).

    Mais le résultat est la: on a affaire a un bon western pleins de bon sentiments ou l'on sent bien que lancaster se donne lui meme la vedette mais qu'importe! ce film est une petite réussite pour peu que l'on ne soit pas trop regardant.
    TTNOUGAT
    TTNOUGAT

    516 abonnés 2 526 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 mars 2014
    Un western des plus réussis parmi ceux qui sont destinés à être vu par des enfants où avec un regard d’enfant. Il contient deux des plus beaux plans successifs sur deux visages de femmes qui convoitent le même homme, ce plan et quelques autres prouvent que Lancaster aurait pu faire une carrière de réalisateur mais il a fait le même choix que l’homme du Kentucky ce qui l’a conduit à entrer dans le lot restreint des meilleurs comédiens de l’histoire du cinéma. Ici, il est encore jeune (41 ans), sa maturité sera plus tardive, d’ailleurs il est difficile de ne pas sourire en pensant au ‘’Guépard’’ lorsqu'il fait 3 pas de danses avec Una Merkel, il en fait parfois un peu trop, se diriger soi même n’est pas sans risques. En dehors de son caractère enfantin, ce film à des relents d’écologie ce qui accentue encore plus une naïveté qu’il est nécessaire d’admettre. A ce titre, les deux frères Fromes sont de vraies caricatures comme à un degré moindre les autres personnages sauf Hannah et Susie bien précieuses pour l'équilibre du contexte général. Le coté un peu faible provient de l’enfant comme d’habitude mais c’est sans importances puisque le public du même age ne peut s’en apercevoir. Il reste à signaler la musique de Bernard Herrmann fort rare dans les westerns (juste en plus ''le jardin du diable'') et la magnifique course finale de ‘’Big Eli’’ filmée de face.
    mistermyster
    mistermyster

    34 abonnés 1 165 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 août 2013
    Ce n’est pas un western, mais un hymne à la liberté, un film d’aventures, qui joue sur les paysages, sur une époque et un certain style de vie. Est-ce que l’on considère Davy Crockett comme un western, je ne pense pas, il en est de même avec ce film. Simpliste parfois dans son propos, l’homme de valeurs, mais sans éducation, vaut-il moins qu’un homme bien éduqué mais sans honneur? On peut reconnaitre certaines faiblesses, mais l’enthousiasme de Burt Lancaster remporte notre cause. Certes, ce n’est pas un film d’action, mais il ne manque pas de rythme. Il n’y a pas de raison à passer son chemin devant cette seule réalisation de Lancaster, ne serait-ce pour voir cette fameuse bagarre avec Walter Matthau, dans son premier rôle à l’écran. Enfin les seconds rôles sont tous convaincants et apportent cette justesse qui fait parfois la différence.
    tomPSGcinema
    tomPSGcinema

    664 abonnés 3 323 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 janvier 2011
    Un homme part avec son fils vers l'Ouest pour y commencer une nouvelle vie... Après l'avoir visionner une première fois, il y a quelques années, je n'avais garder qu'un souvenir bien mitigé de ce western. Arrive donc cette seconde vision et je dois reconnaitre que Burt Lancaster m'a bien plus convaincu au niveau de la mise en scène et que l'histoire est finalement assez agréable à suivre, même si le tout ne peut prétendre à faire partie des westerns les plus réussi de cette période. Certaines séquences sont bien intéressante à suivre - notamment celle à la fin du film ou Walter Matthau menace Burt Lancaster avec un fouet - et le tout est emmener par deux actrices bien jolies que sont Dianna Foster ( dans le rôle d'une serveuse ) et Diana Lynn ( dans celle de l'institutrice ) et qui tomberont évidemment toutes les deux amoureuse du personnage principal. A noter enfin une partition bien sympathique de Bernard Herrmann, une des premières que le compositeur fera pour ce genre de film.
    Norbert Sautelles
    Norbert Sautelles

    3 abonnés 497 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 juin 2022
    Premier film réalisé par l'acteur Burt Lancaster. Et il ne persista pas beaucoup dans cette activité, tant mieux. Le film ressemble à une production Disney. Beaucoup de niaiseries. Les plans sont trop longs. Le montage est balourd: les transitions sont lourdes, et nous souhaitons souvent des coupures plus tôt. La direction d'acteur est pachydermique: le petit garçon est insupportable avec sa tête de rat: très mal dirigé, et très mal coiffé; Walter Matthau, dont c'est le premier film, s'en sort plutôt bien; John McIntire et John Carradine sont en roue libre.
    Le film de plus s'extasie, normal, car c'est un de ses sujets, sur des plans de forêts, de nature, de cascades, de rivières, d'arbres, sur de bruits des oiseaux (film écologique avant l'heure). Ce qui ne rend pas le film dynamique. Mais c'est un des axes de la dramaturgie: le fils de Burt Lancaster (l'enfant rat) souhaite vivre à la nature, mais son papa, Burt Lancaster, est tenté par la vie citadine, et par deux femmes qui le font hésiter.
    Autre élément qui pénalise le film, le personnage du père justement, interprété par Burt Lancaster lui-même: il est naïf, pas très malin, fait des choix peu heureux. Il est victime des évènements et toujours suiveur. Il ne sait pas prendre de décision, il est tiraillé entre deux femmes (Dianne Foster est plus notable dans Le Souffle De La Violence, 1955, de Rudolph Maté, qu'ici).
    Par contre l'acteur Burt Lancaster possède toujours ses yeux bleus et ses dents blanches: la photo de chaque plan le rappelant en permanence avec insistance. Mais ici pas d'ironie liée à la nature de son personnage comme le Joe Erin de Vera Cruz (1954) de Robert Aldrich (Ernest Laszlo a photographié les deux films).
    En somme le film peut être vu comme une curiosité historique avec son message écologique. Pour le reste, il est plutôt pénible. Sauf si l'on est un fanatique extrême de Burt Lancaster.
    La musique de Bernard Hermann est excessivement sirupeuse et alignée sur les manques de subtilité évoqués.
    CH1218
    CH1218

    152 abonnés 2 754 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 6 avril 2023
    Epris de grands espaces et de liberté, un homme des bois et son fils rêvent de Texas. La naïveté et la mièvrerie qui se dégagent de ce western au ton singulier mais des plus simplistes a cassé l’ambition de Burt Lancaster de se mettre lui-même en scène dans un grand film. Peu convaincu par l’expérience dont il n’a manifestement pas l’étoffe, l’acteur ne retentera le coup que 20 ans plus tard. A noter qu’après des années sur les planches, Walter Matthau décrocha dans « L’Homme du Kentucky » son tout premier rôle au cinéma.
    Thibault F.
    Thibault F.

    44 abonnés 822 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 7 juillet 2016
    Un western qui n'est pas forcément le plus abouti ou le plus râté. Un western banal avec des angles arrondis notamment autour d'un homme et de son fils qui tentent de fuir la violence du Kentucky pour le Texas. Un objectif précis mais qui n'a pas nécessairement de conséquence sur le reste de l'histoire ; et forcément, quand on entend parler du Texas et de tous ses bienfaits, on souhaite en connaitre davantage les subtilités. Or, le film ne nous montre jamais rien avec un scénario extrêmement lent et paresseux en terme d'écriture. Si sur le plan artistique, peu de choses vont, il faut alors se tourner vers la technique cinématographique. La réalisation se relève efficace sans être exceptionnelle avec des décors sympathiques sans éclat. Bref, un énième western sans âme ni charme qui pallieront vos envies du genre, sans pour autant le combler.
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    913 abonnés 4 837 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 avril 2023
    Avec son titre un peu vaste, le film tire davantage d'un film familial que d'un western.
    C'est un peu la petite maison dans la prairie version père et fils.
    L'homme cherche forcément une femme et l'enfant une mère.
    C'est plutôt gentillet.
    soulman
    soulman

    67 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 avril 2023
    Un western plutôt original, où le réalisateur Burt Lancaster donne une place importante aux éléments naturels. Hésitant entre deux destins (et deux femmes), le héros penche finalement du côté de son fils, avide d'aventures et de liberté. D'autre part, Walter Matthau est un méchant très convaincant.
    White Fingers
    White Fingers

    6 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 juillet 2023
    Dès les premières scènes, j’ai eu l’impression d’être plongé dans une aventure « Disney » à la fois bucolique et pleines de bons sentiments. « L’homme du Kentucky » raconte l’histoire assez simple d’un père célibataire (veuf) et de son fils qui rêvent d’aller au Texas, mais le chemin sera semé d’embuches. Burt Lancaster, qui a réalisé le film, joue un bon père qui manque de culture plus que d’éducation. Il a des allures d’un grand naïf un peu nœud-nœud. Non seulement il se bat contre l’orthographe, mais alors qu’il n’a rien demandé, deux femmes s’amourachent de lui, une serveuse (Dianne Foster) et une institutrice (Diana Lynn). « L’homme du Kentucky » est un pré-western qui ressemble plus à un film d’aventure teinté de comédie romantique. Quelques scènes mémorables comme spoiler: le duel qui oppose le héros et Walter Matthau et la scène d’arnaque dans le casino flottant.
    En filigrane à l’histoire, l’idée assez insupportable que « quand on veut on peut » très American way of life. Burt Lancaster réussit néanmoins un très bon film.

    Retrouvez mon amour du Far West dans le roman WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU - Eds VERONE - TOME 1.
    Ermeline
    Ermeline

    32 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 mai 2023
    Vieillot, sur-jeu des acteurs à l'ancienne, même si B. Lancaster reste crédible : à voir comme une '" antiquité " avec un regard tourné vers les films de cette époque.
    Les meilleurs films de tous les temps
    Back to Top