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reymi586
399 abonnés
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5,0
Publiée le 12 juin 2010
Un très grand classique de Marcel Pagnol après La gloire de mon père. Ce film de mon enfance a gravé dans ma mémoire ces collines, les accents du midi et les cigales. Les acteurs sont tous excellents et l'histoire magique!
Film splendide: dans la même lignée que la gloire de mon père. Très bon scenario, acteurs parfaits, très bonne adaptation, réalisation parfaite et une FIN qui vous marquera à jamais! (rien que d'y penser me met larme à l'oeil) Tout comme le précédent volet, un chef-d'oeuvre du cinéma français!
Dans la lignée du premier, ce film est une belle adaptation de la douce nostalgie des écrits de Pagnol. On se délecte de ces souvenirs de soleil avec plaisir.
Une suite très très réussie de La Gloire de mon Père, très belle et poétique, avec toujours de fabuleux décors et acteurs surtout !!! Et une photographie emplie d'une grâce infiniment intense !!
Ce film a les mêmes qualités que la Gloire de mon père, parvenant à retrouver l'atmosphère de la Provence du début du XXe siècle et insistant sur l'importance de cette courte période d'innocence qu'est l'enfance. Yves Robert finit d'ailleurs son film sur une note plus mélancolique, reprenant à l'identique la fin écrite par Pagnol. Un mot sur le casting, très bon jusque dans ses seconds rôles, des acteurs comme Jean Rochefort et Jean Carmet faisant içi des apparitions savoureuses.
Ce film fait partie des films que j'adorais regarder dans mon enfance, et j'appréhendais de le revoir dix, quinze ans après l'avoir vu pour la dernière fois. Je craignais que la magie n'opère plus, mais finalement le film est toujours très plaisant à regarder. C'est un film simple et plein de bons sentiments, mais qui fonctionne. On est finalement très attachés aux personnages et aux décors, les paysages de la Provence, qui font tout le charme du film. On regrettera juste certaines lenteurs quand le réalisateur s'attarde sur l'histoire d'amour de Marcel, pas si intéressante que ça. On retiendra la très belle prestation de Nathalie Roussel, très juste et attachante dans le rôle d'Augustine, la mère de Marcel.
Un film vieux comme le monde qui a mal vieilli. Pareil que la Gloire de mon père, ennuyeux au pas possible, ces histoires de PACA sont vraiment dépassées. Pagnol n'avait pas besoin de film sur sa vie, les livres suffisaient.
Second volet adapté des mémoires de Marcel Pagnol (son enfance en Provence), après La Gloire de mon père (1990), on retrouve avec beaucoup de plaisir Philippe Caubère, Nathalie Roussel & Julien Ciamaca dans Le Château de ma mère (1990), suite directe du précédent opus. Après avoir quitté ses chères collines pour reprendre le chemin de l’école, il est enfin de retour en Provence, la vraie, celle où les grillons chantent toute la journée et surtout, celle où son amie de toujours : Lili, l’attend patiemment. Mais Marcel Pagnol y fera aussi une rencontre et pas n’importe laquelle, celle d’Isabelle, adorable petite fille qui n’a pas sa langue dans sa poche et qui va faire de Marcel, son plus fervent esclave (en se faisant passer pour ce qu’elle n’est pas). Mignon de les voir ensemble, tout comme de voir cette famille réunie une fois de plus dans les fameuses collines où pour y parvenir plus vite, ils prennent des chemins interdits, bravant tous les dangers mais qui d’une certaine façon, leur aura permis de faire de très belles rencontres (notamment avec le personnage interprété par Georges Wilson). Un second volet, toujours aussi beau, splendide et magnifique (les paysages sont extraordinaires !!), Yves Robert rend un très bel hommage à Marcel Pagnol, avec ses deux classiques du cinéma Français !
Avec la gloire de mon père, le château de ma mère relate l'enfance de Marcel Pagnol avec une grande fidélité au roman auto biographique. Voilà un magnifique hommage rendu par Yves Robert et Marcel Pagnol le mérite amplement pour l'ensemble de son oeuvre inoubliable, ses chefs d'oeuvre incontestables tels que la Trilogie, Regain, Manon des sources..., le faisant figurer parmi les plus grands noms du cinéma. Avec le château de ma mère, nous découvrons la personnalité de sa mère au travers de l'excellente Nathalie Roussel, une femme et une mère telle qu'on peut en rêver, à la fois discrète, sensible, séduisante, aimante, à la fois bonne cuisinière et spirituelle, femme de foi, presque irréelle, presque un ange. On ressent également une incroyable sensibilité et une fragilité que la fin du film met en valeur avec force de manière inattendue. C'est à la fois touchant, tout empreint de nostalgie, avec des images magnifiques, toute la fraicheur et la saveur de cette région de la Provence. Mais le plus émouvant dans ce volet se situe dans les dernières minutes de ce film. On ressent comme rarement dans un film l'amour immense d'un fils pour sa mère, l'immense chagrin ressenti lors de sa disparition prématurée, la valeur inestimable d'une maman et le sillage de lumière indélébile qu'une telle maman peut laisser dans l'âme de ses enfants.