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Nanoune
22 abonnés
409 critiques
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5,0
Publiée le 6 novembre 2020
Excellente suite du fameux film le silence des agneaux l'acteur principal gaspard ulliel ici est génialissime dans son rôle vraiment j'ai adoré cette suite un très bon film a regarder
Il n'y à rien à reprocher à Gaspard Ulliel qui est glacial et inquietant à souhait, mais on s'ennuie car on ne s'identifie à aucun personnage. La Question c'est pourquoi Lector Est il ce qui l'est? Ce film n'explique rien.
Bien que le charisme d'Anthony Hopkins ne soit pas présent, j'ai bien aimé ce film. Gaspard Ulliel joue merveilleusement bien et rentre tout à fait dans le rôle d'hannibal. L'histoire de la vengeance ne colle pas forcément tout à fait avec le reste de la saga, mais cela pourrait être plausible. Les images sont belles, la bande son sympa, et on reste tout de même scotché au siège.
Ce quatrième volet des aventures de la star cannibale atteste la tendance actuelle et ô combien fâcheuse de constamment remonter à la source de tout mythe pour tenter d’en élucider les parts obscures, tendance qui renie la dimension religieuse de l’art cinématographique capable de donner corps et âme au Mal sans, jusqu’alors, l’expliquer. Et la grande force d’Hannibal se tenait là tout entière, dans cette propension à écarter tout discours à tendance psychanalytique pour privilégier la fatalité, pour générer l’incompréhension. Avec Les Origines du Mal, rien de tel. Censé construire son destin, le jeune traumatisé de la Seconde Guerre mondiale – car quoi de mieux que de mêler le nazisme, une fois de plus, à l’origine de ce trouble nommé cannibalisme ? – se contente de l’appliquer sans rencontrer la moindre difficulté : connaissant son point d’arrivée (Le Silence des Agneaux, en somme), il traverse l’Histoire sans en éprouver les aspérités, à l’exception du cauchemar qu’il n’a de cesse de ressasser, pour notre plus grand dégoût. Par sa volonté apparente de transformer l’homme raffiné en pantin gore d’un blockbuster à la dégueulasserie à peine masquée – les pires Saw n’étant guère loin –, Peter Webber se saisit de chaque mystère inhérent aux œuvres précédentes pour les revisiter de façon gratuite : pensons ici à l’« Aria de Capo » (« Goldberg Variations ») composé par Bach et qui surgit dans la chambre où Hannibal médite son plan de vengeance. Car le cannibalisme est ici expliqué, justifié, lourdement pseudo-psychanalytique : non une haine de l’humain ou, au contraire, un appétit de l’humain, seulement une vendetta déjà vue et revue. Et le pauvre Gaspard Ulliel force le trait dans l’espoir de retrouver la grâce maléfique d’Anthony Hopkins, ce qu’il ne réussit à aucun moment. Dans ce gloubi-boulga de cultures où tout le monde parle anglais, la menace apparaît si contenue et si délimitée qu’au lieu de donner naissance au Mal, ce récit des origines réduit ce dernier à n’être qu’une pochade aussi grotesque que bêtement gore. Un contre-sens absolu.
Avec un scénario manichéen cherchant à tout pris à justifier les actes d'Hannibal Lecter, cette préquelle, à peine sauvée par une belle photographie et par la prestation de Gaspard Ulliel, ne s'imposait pas.
Très bon, il sort du lot certes, mais il s'agit de la pièce manquante du Puzzle sur Hannibal Lecter. Et Ça se passe en France en plus, soyons chauvins. Moi je l'ai trouvé excellent, rien à redire, le scénario est très bon !
J'appréhendais avant de voir ce film. Je m'attendais à un truc assez dégueulasse avec pleins de Gore, et puis Hannibal Lecter, les cannibales...et les films d'horreurs en général c'est pas trop mon truc. Mais voilà ma soeur qui était pareil que moi à ce niveau était allée le voir au cinéma deux soirs de suite tant elle avait aimé, alors je me suis dit pourquoi pas... Et je n'ai pas été déçue. Je suis totalement passée outre la violence de certaines scènes tellement j'étais prise par l'histoire captivante ! Le jeu de Gaspard Ulliel vaut le détour, il a l'air véritablement dérangé ! Des paysages magnifiques et un certain humour noir empêchent le film de devenir un énieme navet d'horreur. Les souvenirs d'Hannibal sur son traumatisme d'enfance sont de loin les images les plus marquantes du film, car justement rien n'est presque montré et notre imaginaire fait le reste ( Très bon méchant incarné par Rhys Ifans). En conclusion, je ne savait pas que je pouvais autant aimer un film qui inclue spoiler: du dévorage de joue et du meurtre sordide de petite fille.
Faire un tel navet pour un film sur un cannibale, faut avoir le sens de l'humour. Moi qui ne connaissait pas la vie de ce personnage, je pense que je n'ai pas commencé par la meilleure partie. Si l'un des films de la sage n'avait pas été culte, je n'aurais pas continué. Mais bon, en route pour Manhunter.
Prequel que l'on peut par ailleurs voir indépendamment de l'original, sans parler des suites, et c'est peut être mieux ainsi car il est difficile d'imaginer Gaspard Alliel devenir Anthony Hopkins. Il tient plutôt bien son rôle par ailleurs, en psychopathe crescendo mais ce film a une unité en soi et une fin ouverte. Un bon film thriller fantastique, superbement mis en images et rythmé au niveau de la narration. Le plus est indéniablement la présence magique de l'icône Gong Li, qui capte l'écran et l'attention à chaque apparition, irradie de sensualité sans pourtant en montrer, apporte son charisme, sa force émotionnelle dans un rôle ambigu, de portée incestueuse. Un personnage en charme, force mais aussi blessures profondes. Elle réussit par sa seule présence, ses regards, son corps, à rendre toutes ces palettes d'émotion. Un monument à elle seule du cinéma chinois et mondial. Je suis de plus en plus fan au fur et à mesure de la découverte de sa filmographie.
Je suis bien content que cet épisode ne figure pas dans le coffret hannibal lecter que je me suis procuré il y a peu. Gaspard Ulliel est, comme à son habitude, très mauvais. Comment peut-on caster ce type pour jouer le jeune Hannibal Lecter ?! Côté scénario, on est bien loin de la trilogie originale, aucune surprise, aucun retournement de situation, une banale histoire de vengeance, remplie de personnages caricaturaux (on est des méchants, on mange des enfants, je suis une japonnaise, je suis maître dans l'art du samouraï, ...), servie par des acteurs de seconde zone, et aussi rythmée qu'une chanson de Lana Del Rey... Je ne me suis pas endormi, je me demande bien par quel miracle. Poubelle !