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Un visiteur
5,0
Publiée le 12 avril 2012
Sunshine est tout simplement un chef d'oeuvre c'est un des rares films où (à mon avis) plus on le voit plus on l'aime, il y a peu films comme ça ( tous les films de Christopher Nolan sont comme ça mais bon lui c'est une exception). Sinon le film est magnifique de par ses images, son scénario, son atmosphère angoissante, oppressante, superbe descente aux enfers ( si je peux m'exprimer ainsi =) ) Bref, un film qui ne peut pas forcément plaire à tout le monde mais qui je pense ne laisse personne indifférent.
Un film éblouissant ! Le réalisateur Danny Boyle fait preuve d une incroyable virtuosité dans sa mise en scène captivante de bout en bout. La musique, les effets spéciaux et ces images particulières frôlent la perfection. Ces questionnements sur soi même et sa place dans l univers sont très bien intégré pour une fois dans un film Sf il faut le souligner. Et puis que dire de ces images subliminales qui mettent le spectateur sous tension pour nous captiver définitivement ! Vraiment un très bon film, pas étonnant non plus avec Danny Boyle !
Un film transcendant d'une rare puissance, une expérience cinématographique rare sublimée par une photographie magnifique et une bande originale poignante et intense signée John Murphy. Car si le film n'est pas exempt de défauts comme son scénario parfois bancale et frôlant le ridicule, on se retrouve pourtant muet d'admiration devant l'immense travail de Danny Boyle qui nous offre un film fort et d'une grande beauté.
C’est la marche vers le purgatoire et Danny Boyle semble vouloir poser les questions qui font débat entre la dimension religieuse et scientifique. Depuis « Trainspotting » et « 28 Jours Plus Tard », le Mancunien piétine surtout sur des petites comédies. Il est donc intéressant de le voir aussi impliqué et inspiré quand lorsqu’il parvient à faire passer le sensoriel avant tout le reste. C’est pourquoi, il offre une sorte d’hybride entre « Armageddon » et « Fusion », mais avec un thème moins musclé et plus porté sur la réflexion.
On le comprend assez rapidement, l’aventure de l’équipage d’ICARUS II est d’une surprenante beauté. Par ailleurs, la fiction enfonce des petites doses d’invraisemblances mineures, qui parviennent tout de même à dynamiser le récit et à éveiller notre curiosité. Et pour de nombreux aspects scientifiques abordés, la cohérence vient titiller notre esprit que l’on aurait de la réalité, au plus proche du soleil. On passe tout de même outre les enjeux que la Terre encourt. Ou du moins, on ne développe pas plus loin que l’introduction, afin laisser plus de visibilité sur l’équipage et sa mission pour sauver l’humanité. C’est ce que le scénariste Alex Garland explique. L’homme, confronté à la foi et ses croyances devra se battre pour revendiquer une sorte d’émancipation spirituelle.
Le casting constitué de plusieurs ethnie renforce le constat d’un peuple qui tend vers l’unification. On sent que chacun est à sa place et que l’entente est harmonisée, malgré la hiérarchie et les compétences individuelles qui les définies. Le combo parfait dira-t-on. Mais il faut bien un seul messager pour faire passer le mot, de porter le fardeau et l’étendard de l’humanité. Ce rôle revient à Capa (Cillian Murphy), à la fois acteur et spectateur de ce que l’homme peut accomplir de bien ou de mal dans des situations extrêmes. D’un simple regard, on devient ce qu’il endure et tout l’étendu d’une mission prenant davantage d’ampleur. Le soleil, comme la lumière qui se propage est, instinctivement, une source d’énergie se reflétant dans l’ombre de la divinité.
« Sunshine » n’hésite pas à camper sur le schéma que « 28 Jours Plus Tard » utilise pour traiter le stress. Boyle y ajoute une notion claustrophobique qui présente tout de même une singularité dans cette œuvre. En jouant sur le silence ou l’envoi du puissant orchestre de John Murphy, on nous guide vers la grande virtuosité que le film propose. C’est avec efficacité et élégance que ce voyage mérite notre bénédiction.
Après son retour en force avec "28 jours plus tard", le réalisateur Danny Boyle signe sans doute son chef d'oeuvre avec cet éblouissant "Sunshine". Avec ce pitch aussi inédit que génial (l'extinction progressive du Soleil, soit un sujet étonnement jamais exploité au cinéma), un réalisateur lambda aurait eu vite fait de succomber aux sirènes du spectaculaire à tout prix en livrant un gros blockbuster sans âme. Pas Danny Boyle qui, avec un budget plutôt raisonnable, a su transcender son sujet à coups d'enjeux dramatiques captivants (le manque de confiance de Capa, l'animosité de Mace à son égard, l'obsession de Searle pour le Soleil, les morts déchirantes de certains personnages...) et de séquences terriblement impressionnantes (les "attaques" du Soleil, la découverte de l'équipage d'Icarus I...), tout en rendant passionnant le quotidien de l'équipage (la vie à l'intérieur d'Icarus II, les sorties dans l'Espace...). Le réalisateur a ainsi su trouver l'équilibre entre le film de science-fiction riche en suspens (le Soleil comme menace permanente, le mystérieux passager...) et le véritable film d'auteur (avec une véritable réflexion philosophique sur la place de la religion face à la Science). A ce titre, le final ne manquera pas de dérouter à la première vision mais s'avère finalement indispensable pour symboliser les "perturbations" ressenties par les personnages à une distance aussi proche du Soleil. Le casting, aussi surprenant qu'hétéroclite, est à la hauteur de l'évènement avec l'exceptionnel Cillian Murphy en héros malgré lui, Chris Evans dans un rôle inhabituel de gros dur, Michelle Yeoh qui met enfin de côté ses acrobaties habituelles, la fragile Rosy Byrne, l'étonnant Cliff Curtis en psy maboul ou encore Mark Strong en scientifique possédé. Mais le petit plus qui fait entrer définitivement "Sunshine" au Panthéon des très grands films de ces dernières années, c'est son extraordinaire BO signée par John Murphy et plus particulièrement le morceau "The surface of the Sun" qui compte parmi les musiques les plus sublimes du 7 art. Difficile, dans ses conditions, de contester à "Sunshine" sa place parmi les meilleurs films SF de tous les temps.
Pour moi c'est tous simplement le meilleur films de Danny Boyle a ce jour. D'une beauté rare pour ce style de film, ce petit bijoux de la science-fiction est tous simplement magnifique. On passe de l'émerveillement à l'horreur, de la joie à la peur, vivons au rythmes de nos héros. Murphys montre encore une fois qu'il est un acteur exceptionnel, Chris Evans qu'il faudras compter sur lui dans l'avenir proche, et les autres acteurs on chacun bien réussi leur rôle. Boyle maîtrise son film de bout en bout, jusqu'au final qui prend à la gorge sans jamais lacher. Vraiment ce film est à la hauteur d'un 2001, L'Odyssée de L'Espace. BRAVO !!!
Que p$tain de film ! tout simplement sublime sur un sujet déjà traité (enfin l'essentiel, c'est à dire la sauvegarde de la Terre) mais cette fois d'une manière intelligente et crédible, le jeu d'acteurs et la musique en est aussi pour quelque chose. Un film à voir.
Une Bombe. Je l'avais détesté il ya 2 ans, mais là je dois dire que je suis restée bluffée. Magnifique. Je sais pas comment j'ai pu passer à coté!! Visuellement époustouflant, Sunshine est une oeuvre emprunte d'une Poésie certaine, au scénario pas bien gros mais suffisant à nous éblouir 1h40 durant. Cilian Murphy tient ici un rôle délicat (mi ange mi connard) et rien que pour ça, ça vaut le coup. Le tout est soupoudré d'une chouette Bo alors, pourquoi s'en priver??
Danny Boyle se frotte à un genre qu'il n'a pas exploré et auquel beaucoup se sont cassés les dents : le voyage spatial, à tendance métaphysique. Celui-ci se démarque des autres long-métrages ayant pour thématique une fin du monde de par son contexte différent. En effet, cette fois l'histoire se base sur la mission de 8 astronautes consistant à faire exploser une bombe au sein du soleil afin d'éviter son extinction. Mais ce qui m'a particulièrement plu dans Sunshine, c'est certainement l'ambiance qui y règne, à la fois pesante et envoûtante, nous donnant l'impression de vraiment faire partie du voyage, ainsi qu'une bande-son exceptionnelle. La photographie du film est également l'un de ses points forts. Visuellement, c'est une immense claque, les plans sur le soleil et l'espace sont juste à couper le souffle. Le gigantisme des certaines scènes viennent s'opposer au huit clos de l'intérieur du vaisseau, ce qui donne un mélange jouissif. Il faut également saluer les superbes prestations de l'ensemble des acteurs (Chris Evans, Rosie Byrne, Michelle Yeoh, Cliff Curtis...), mais j'adresse une mention particulière à la performance époustouflante de Cillian Murphy. En bref, un magnifique film, bien que beaucoup trop court, alliant tension et beauté visuelle, nous offrant un final poignant. Pour moi, il s'agit du meilleur film de Danny Boyle, je ne comprends pas les critiques négatives autour de celui-ci. Tout adepte de science fiction saura apprécier cette perle à sa juste valeur.
Prenant à reverse les inquiétudes environnementales, qui irriguent une bonne partie des grosses productions, Sunshine conte la mission désespérée pour "réanimer" un soleil qui s'éteint. Danny Boyle et Alex Garland refont équipe après avoir réinjecté du sang-neuf au film de zombies avec 28 jours plus tard. Cette fois-ci, la science-fiction sont leur terreau. Boyle apporte du muscle (100 minutes bien serrées) et du cœur (une distribution en titane), Garland apporte le cerveau. Résultat : un film étonnamment bicéphale. La première partie constitue le segment classique présentation-enjeux-rebondissements avec un rythme réglé à la perfection. La deuxième partie rabat les cartes, le film vrille sur lui-même pour devenir autre chose. Difficile de rentrer dans les détails sans gâcher la surprise. Donc, je me contenterai de dire que ces 50 dernières minutes traduiront littéralement - entre l'horreur et le suspense - l'éternel combat des illuminés contre celle des éclairés. Il est clair que ce dernier morceau va diviser. Pour ma part, je le trouve réussi. Bref, Sunshine est vraiment réjouissant ce film et montre que Danny Boyle est décidément à l'aise dans tous les genres.
Dommage... ce film n'a pas tenu les promesses de la bande annonce, le rytme est lent et les scénes prévisibles, on se perd dans cette histoire mal consue, les personnages sont peu crédibles... bref à part les scenes dans l'espace, je n'ai pas été "emballée" dommage les 2 étoiles seront donc pour l"espace
Je m'attendais à un bon film de SF soutenu par des effets spéciaux spectaculaires et un suspense halletant. Pour les effets spéciaux c'est bon, mais pour le reste on repassera. Le scenario s'embrouille complètement en reprenant des modèles déjà vus, et la mise en scène, absolument brouillonne, emmène le malheureux spectateur dans un flou artistique qui voit son apogée dans les 10 dernières minutes. A éviter.
une merde sans nom!! filmé par un manchot, grotesque, prétentieux, sans queue ni tête, des aberrations partout exemple à la fin sa main brûle et il a le sourire, bin oui c'est super de se faire bruler la main, autre exemple à la fin encore il se fait souffler par l'explosion, une demi seconde plus tard il est debout avec le sourire et c'est TOUT LE TEMPS COMME CA CE FILM UNE M/ERDE quand j'ai vu à la fin le nom de danny boyle je me suis dit mince il a fait mieux le bonhomme!