Mon compte
    Angel-A
    Note moyenne
    2,3
    4340 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Angel-A ?

    427 critiques spectateurs

    5
    91 critiques
    4
    88 critiques
    3
    34 critiques
    2
    77 critiques
    1
    64 critiques
    0
    73 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile
    PowerKing - Les Chroniques du Cinéphile

    309 abonnés 1 372 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 octobre 2014
    Besson est un des rares réalisateurs français à oser l'originalité. Il suscite le mélodrame tout en restant drôle et poétique. D'une main de maitre, il contourne toutes les barrières du conformisme, prenant parfois d'énormes risques en imposant son style si singulier. Ces œuvres sont d'ailleurs souvent mitigées quant aux critiques. Génie pour les uns, imposteur pour les autres. Mais le talent ne se résume pas en quelque menus propos mal placés, et bien souvent, injustifiés. Ce film qu'est Angel.A est un gigantesque exercice de style sans précédents. Certains penseront sans doute à Sin City par son côté sombre et mystérieux, mais le noir et blanc sans les touches de couleurs vives en est le seul point commun. C'est avant tout l'odyssée d'un homme. Un homme bien seul avec comme unique baluchon, son mal de vivre. L'agréable surprise est un Jamel Debbouze enivrant, renversant et plus émouvant que jamais. Lorsqu'il ne joue pas les pitres désopilants, il est capable d'un jeu sincère et captivant, nous entrainant très loin avec lui dans sa vie, sa routine, ses problèmes. Il suffit parfois d'un rien pour espérer retrouver une forme de confiance en soit, quitte à se constituer un sur-moi qui pourrait se matérialiser sous la forme d'un ange. Celui de Debbouze est assez idyllique, et Rie Rasmussen, la grande blonde danoise était un excellent choix. A la fois mystérieuse, envoutante et dévergondée. Le tout Paris se dévoile de nuances nébuleuses, contemporaines et magistrales. Angel.A est une œuvre osée et aboutie à bien des égards. Scénaristiquement et artistiquement parlant, la perfection est toute proche. Mais la puissance des dialogues apporte une profondeur hors du commun. Un film unique en son genre qui mérite très largement le titre de chef d’œuvre; et s'est d'autant si rare qu'agréable. Une référence. 5/5
    Estonius
    Estonius

    2 374 abonnés 5 184 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 octobre 2022
    Malédiction le Besson Bashing a encore frappé ! Moi ce film m'a touché ! Qu'on se comprenne bien, le concept de beauté intérieure et de l'acceptation de soi a toujours été très flou et même parfois dévastateur, en cela je ne partage pas vraiment le point de vue de Besson, mais j'ai aimé la façon dont il défend son idée. Jamel Debbouze est émouvant et la grande danoise Rie Rasmussen ne se contente pas d'être photogénique (le seul gros bémol est son élocution). Son jeu plein de charme et de décontraction m'a ravi. La photo en noir et blanc dans un Paris presque désert est très réussie. Il y a quand même un truc que je n'ai pas compris, spoiler: Angel se prostitue pour renflouer Jamel (avec une belle décontraction).Plus tard dans le film elle donne une autre version : elle ne se prostituait pas mais assommait et dévalisait ses clients. Or cette seconde version est fausse, outre le fait que ça ne tient pas debout, la clé de la scène est donnée dans une scène de la boite où un client veut "remettre le couvert", il n'aurait eu cette envie s'il s'était fait tabasser et dévaliser ! Donc Angel ment à Jamel sur ce point ! Pourquoi ? On va dire que les anges ont leur part de mystère… La fin fait un peu conte de fée, normal puisque c'est un conte de fée !
    reymi586
    reymi586

    392 abonnés 2 444 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 juin 2010
    Un très beau film de Luc Besson, très bien réalisé, Paris est encore plus magique sous sa caméra! Et Jamel nous livre une interprétation très étonnante! On est agréablement surpris!
    Valentin R
    Valentin R

    26 abonnés 158 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 30 janvier 2009
    Quelle Bon film Jamel Debboze s'y trouv émouvant et touchant du tres bon cinéma
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 juin 2007
    Superbe Ovni Filmique

    Ses maladresses font sa qualité ! (cf la critique de Première).

    Merci Mr Besson
    elbandito
    elbandito

    309 abonnés 945 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 28 juin 2011
    Un ratage total que cette histoire se voulant moderne, insolite et parisienne sur un homme au bord du gouffre qui va apprendre à se connaître et à s’aimer au contact d’une belle inconnue. Rie Rasmussen n’est pas une actrice, on ne comprend pas un mot de ce que dit Jamel Debouzze et le scénario de Besson est désespérément creux.
    mataza
    mataza

    2 abonnés 88 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 juin 2014
    Aaaaah Luc Besson, c'est dingue comme le parcours de ce mec me fait penser à Shyamalan. Enfin bref, qu'en est-il de Angel-A, l'un de ses films les plus décriés...Je vous avoue qu'à cause de tout ce que j'ai pu entendre sur ce film, je l'ai acheté (en occaz à 4 euros) en serrant un peu les dents. Et comme d'habitude, lorsqu'un film se fait autant allumé de tous les côtés, il y a toujours cet effet de surenchère, d'extrapolation, d'exagération dans les critiques, une critique en amène une autre plus virulente, etc etc (Dark Shadow ou Alice de Burton ou encore Robin des bois ou Prometheus de Scott) et puis il y a l'accalmie, parfois la note du film augmente légèrement sur les sites de critiques (Taken est l'un des exemples les plus dingues) et c'est à ce moment qu'il faut regarder le film pour ne pas se faire bourrer le crâne de toutes ces inepties ou pire de se faire influencer. Donc revenons à nos moutons, Angel-A...CE FILM EST BON !! Ce n'est pas un chef d'oeuvre, ce n'est pas le meilleur Besson mais ce film tient la route et arrive à nous transmettre des émotions. Le duo Debbouze (dont je ne suis pas super fan il faut l'admettre) et Rasmussen fonctionne malgré leur élocution parfois maladroites, et je parles des deux acteurs pas que de la blonde hongroise. D'ailleurs l'élocution est peut être le seul défaut que je retiendrais des mauvaises langues qui ont injustement craché sur ce film, ça et le jeu douteux de certains acteurs (attention film français).
    Pour tout dire, j'aime beaucoup le message de ce film, je ne le trouve pas niais, pas prétentieux, bien au contraire je le trouve profond et humble. Aimes toi, accepte toi d'abord si tu veux que les autres t'aiment et aillent vers toi, si tu veux pouvoir exprimer ton amour. Dit comme cela, ça peut paraître lourd et pompeux, mais je peux vous assurer que c'est l'un des seuls films que j'ai pu voir qui met l'accent sur le "je" avant de parler du "il", car selon moi l'inverse n'est pas possible. Ce n'est en rien un message égoïste et ceux qui ont compris cela...et bien regardez vous dans une glace comme le fait le héro du film et faites le point. La scène du miroir m'a presque tiré les larmes et celles de Jamel m'ont parues sincères. Après il y a l'esthétisme du film, le choix du noir et blanc qui est judicieux pour plusieurs raisons, tout d'abord, l'hommage évident à "Les ailes du désir", ensuite l'incroyable pouvoir qu'à ce noir et blanc pour souligner les visages et les volumes...et puis bien sûr, ce parallèle évident entre cette absence de couleurs et les personnages de Jamel et Rie qui sont pour l'un pauvre, terne, pathétique en extérieur et pour l'autre vide, mélancolique à l'intérieur (d'où la complémentarité des personnages). Comme le noir et blanc en somme (et je ne parle pas de la couleur de peau). J'ai beaucoup aimé la fixation sur les ponts de Paris que fait Besson tout le long, encore une fois, symbolisme (les personnages sont tout deux à une étape clé de leurs existences et rien n'est encore joué). On a l'impression que les personnages vivent sur un pont alors que pourtant le film nous balade sans cesse (Tour Eiffel, Sacré Coeur etc). La BO m'a plu sans me marquer, je retiendrais seulement l'utilisation d'une musique qui commence par les paroles "CrossRoad" qui je trouve résume bien l'histoire. En résumé un film beau, touchant, simple, un peu naïf certes mais qui le sait et qui se joue de cela pour nous transmettre un bien heureux message qui me redonne foi en l'humanité. Je terminerais par dire, bien que je n'aime pas citer ce genre de critique, que ce film n'est pas bobo même s'il se passe à Paris (dans des endroits pas dégueux) et qu'il est en noir et blanc car j'ai l'impression que beaucoup de critiques se basent là dessus.
    fandecaoch
    fandecaoch

    939 abonnés 2 232 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 décembre 2015
    Angel-A : Quel Dommage car ce film avait un énorme potentiel pour être une grande romance ou un grand film tout court. Car il avait tout : un scénario original, un univers graphique osé et bien pensé : Paris en noir et blanc, et un couple d’acteur/personnage étonnant mais magistrale à la fin. Mais moi, ce qui m’embête, ce n’est pas la fin car du milieu jusqu'à la fin, le film prend tout sont sens, sa matière et sa beauté, quand le film a fini de nous mentir comme le personnage principale. Car au début, c’est un film a la Besson, un film de gangsters, avec une femme qui se prostitue pour les beaux yeux de héros, on ne comprend pas ce qui se passe, ce film fait l’honneur de la prostitution, d’ailleurs, le début est assez lent pour ne pas dire chiant, malgré le duo extraordinaire, ça colle pas, c’est du style mafieux… Et je vous dis, le début est sans saveur, on se demande ce que on regarde. Et la, quand Jamel se regarde dans le miroir et fini de mentir, tout devint que beauté. D’ailleurs, cette scène du miroir est juste exceptionnelle, une des plus belles scènes de Besson, émouvante, très bien filmé, l’acteur a jamais fait meilleur performance, il est sincère et ce regarde lui-même et joue lui-même, cette scène est pleine d’émotion et de beauté et c’est la que le film démarre. Donc voila, cette deuxième partie sauve le film et heureusement. Mais c’est dommage car scénario plus qu’original : une femme « ange » qui descend du ciel pour aider un homme qui n’est pas grand-chose pour lui-même et elle va lui faire aimée la vie et surtout lui ouvrir les yeux sur lui-même. Ce duo est assez atypique et incroyable, c’est très complice et ça marche bien tout compte fait. Faut dire que le duo d’acteur : Jamel Debbouze/Rie Rasmussen est extra. Et pour finir, la réalisation de Besson, l’idée Noir et Blanc est super, on reconnait sa pate, bon des fois, ça manque de créativité mais il y a de très beau plan qui embellie notre jolie Paris. Donc voila, encore dommage car c’est un film mineur de Besson alors qu’il aurait pu être son meilleur.
    vadorbane93
    vadorbane93

    13 abonnés 557 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 avril 2009
    Soporifique et ennuyeux au possible . Debouzze que j'éxècre, est lamentable et le reste , hormis la photographie , parfaitement en adéquation avec sa " performance", c'est à dire immonde. .

    PS : si vous avez aimé cette "merveille" , je vous recommande vivement jeanne d'arc du même besson tout aussi remarquable ...
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 117 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 septembre 2006
    Je suis colère mes enfants, JE SUIS COLERE!!! S'il est vrai que notre Luc Besson national avait coutume de pécher en terme de finesse, il se rattrapait toujours par une franche honnêteté! Avec cet "Angel-A", un cap est franchi : Besson a cherché à nous entuber!! Voila un film qui ne ressemble à rien, qui n'est qu'un vil agrégat d'idées sans substance. L'histoire n'est qu'un hersatz de Dogma déjà peu reluisant; la réalisation se prend les pieds dans chaque tentative de style; mais le comble reste encore cette distribution lamentable, entre un Jamel à total contre-emploi et une pin'up blondasse incapable d'aligner deux mots de français. Je comprend mieux maintenant pourquoi la presse n'a pas eu la joie de découvrir ce film avant la sortie! Besson, sachant l'arnaque, a préféré joué sur une notoriété qu'il méritait pourtant jusqu'alors. Je trouve cette attitude scandaleuse. Monsieur Besson, vous n'êtes qu'un salaud!
    scorsesejunior54
    scorsesejunior54

    136 abonnés 694 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Quoi? C'est ça le dernier Besson qui a la prétention d'être tourné en Scope noir et blanc? Et bien, c'est décevant pour plusieurs raisons. Tout d'abord, parlons-en de ce noir et blanc: j'admire beaucoup cette technique mais elle a été mal exploitée ici. La photo est vraiment moyenne, ce qui enlève à l'effet graphique. On a plus l'impression que la couleur a été retiré, ça ne fonctionne vraiment pas. Le scénario, c'est pas ça du tout. Point de départ: un homme et une femme, ok. Que fait-elle pour lui plaire? Elle se prostitue: pas d'accord, c'est faussement provocateur et dangeureusement ambigü dans le jugement. Le milieu du film est intéressant: il comporte beaucoup d'humour, fait avancer l'intrigue de manière cohérente et contribue à faire passer en partie la pilule du début. Mais la fin est pompeuse et donc pompante. Besson copie "la vie est belle" de Capra d'un point de vue scénaristique tandis que "les ailes du désir" de Wenders sont purement transposées à Paris, mais c'est tout; l'ésthétique est la même. On ne peut s'empêcher de repenser à ces films honteusement copiés. Alors, pour les aspects positifs, on retiendra le milieu du film et ses deux principaux interprètes: Rie Rasmussen et surtout Jamel Debbouze, très bon que je ne voyais vraiment pas pour un rôle comme ça. Une déception, mais Jamel est à retenir.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 036 abonnés 7 200 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 juin 2008
    Tourné uniquement en noir et blanc, ce qui ajoute encore plus de magie, ce film nous fait découvrir un Jamel Debbouze sur un registre sensible que nous ne lui connaissions pas, sans oublier la ravissante Rie Rasmussen.
    Luc Besson montre Paris comme rarement nous l'avions vus : Place de la Concorde et Rue de Rivoli complètement vides, sans les embouteillages habituels (Angel-A a été tourné dans le plus grand secret pendant les grandes vacances estivales, ce qui explique pourquoi la capitale était aussi vide et calme).
    Avec son 10ème film, censé être le dernier (mis à part son prochain film d'animation : Arthur et les Minimoys), Luc Besson réalise un très beau film qui réunit à la fois la comédie et le romantique dans la plus belle capitale du monde.
    chrischambers86
    chrischambers86

    11 724 abonnés 12 111 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 octobre 2013
    il aura fallu attendre six longues annèes pour revoir Luc Besson à la mise en scène et le moins que l'on puisse dire c'est que "Angel-A" est un film trop recherchè pour sèduire! Ce sont surtout les images d'un Paris presque dèsert qui s'impriment durablement dans les mèmoires! Jamel Debbouze ne convainc pas même s'il est un peu moins lourd qu'à l'habitude! Avec le dèfaut de vouloir faire le grand ècart avec humour qui porte sur les nerfs et tragèdie humaniste et, du coup, perdre en intensitè dramatique! Même s'il lui arrive d'être pathètique et touchant de spontanèitè, c'est Rie Rasmussen qui lui vole la vedette! Belle et fragile, l'actrice danoise (et mannequin) y est magnifique jusqu'à la scène finale où elle semble inconsciente d'avoir jouè et perdue "sa vie" (ou ses ailes), obligè de mobiliser toute son ènergie, toute sa puissance pour vaincre la pesanteur! Une sèquence purement visuelle et tellement gonflèe qu'elle devient pure poèsie et sauve presque le mètrage! La photo en noir et blanc de Thierry Arbogast est superbe mais cette histoire d'ange n'en reste pas moins mineure dans l'oeuvre de Besson avec des dialogues qui ne font qu'amplifier la naïvetè du propos! Reste l'enchantement parisien, la Seine, le Sacrè Coeur, Notre Dame et la Tour Eiffel que l'on voit quasiment à chaque scène...
    gnurff
    gnurff

    21 abonnés 283 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 février 2008
    Un plus que grand, non une plus que géantissime Debouze, une actrice surprise mais parfaitement choisi pour le role ! une histoire certe pas originale mais tellement belle là où il serait plus simple de faire une histoire noire ! Ds les critiques il faut savoir faire la difference des noms.. Si le nom de Besson porte à vouloir raler n dut à ses productions il fautavouer que ses films à quelques exeptions pres sont toujours grandiose ! En ce "Angel-A" on retrouve un peu de "Nikita" et ca fait grandement plaisir
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 19 juin 2009
    Chiant, chiant, chiant ... Rarement autant ennuyé devant un film, heureusement que c'est du Besson sinon qui aurait été voir ce truc ?
    Un film en noir et blanc ne suffit pas à faire un film correct.

    A ne pas voir sauf pour s'endormir ...

    (en plus, en effet, certains dialogues de l'actrice sont incompréhensibles ... )
    Les meilleurs films de tous les temps
    Back to Top