Avis : L'Ecole pour tous - Page 4

Dans "L'Ecole pour tous", le rèalisateur Eric Rochant s'attache à raconter l'histoire d'une imposture que l'on aurait aimè plus consistante! Malgrè quelques scènes réussies entre Jahwad et Pivoine (la belle Elodie Navarre), cette comèdie lègère et bourrè de clichès a peine à dècoller et on n'a du mal à croire au jeu des jeunes acteurs hormis Ariè Elmaleh, attachant dèlinquant qui se retrouve propulsè professeur de français dans une banlieue pour une histoire mollassonne et quelque peu stèrèotypèe! Sympathique mais sans plus, surtout que Rochant nous avait habituè à tellement mieux mais peu importe que l'imposture de Ariè Elmaleh ne soit pas rèaliste pour un sous tant l'immersion dans le collège de la ZEP est attachante...

L’école devient le terrain de jeu d’une œuvre puérile, d’une pseudo-nouvelle initiation de la banlieue à la culture. «L’école pour tous» (France, 2006) d’Eric Rochant, est-il un film fait pour les jeunes de ZEP ? Eric Rochant, épaulé par Arié Elmaleh et son manque d’interprétation, décrédibilise la jeunesse en la dépeignant caricaturale. Construit sur un schéma léger et garrotté par des prétextes idiots, «L’école pour tous » possède une nature trop faible pour sincèrement intéressé. Les élucubrations de Jahwad (A. Elmaleh) sont tant de gags inoffensifs mais au déclenchement foireux que leur amoncellement s’avère être un amas de pitrerie pathétique. Certaines trouvailles comiques, typiquement françaises par ailleurs, valent le déclenchement d’un rire mais rien n’unit véritablement les drôleries pour émaner un univers ironique. C’est la volonté ironique qui meut «L’école pour tous», une envie de ne plus représenter l’école comme l’épanouissement de l’individu mais comme l’enfermement des jeunes et d’ironiser de tout cela. Or Rochant n’a pas l’âme caustique et s’empêtre souvent les pieds dans une narration qui tient plus du téléfilm quelconque que de l’œuvre cinématographique. «Le Maître d’école» (France, 1981) de Claude Berri, dont s’inspire forcément Rochant et ses scénaristes, n’est plus là, laissant certes place à une nouvelle génération mais surtout à un style épuré à n’en plus exister. La joliesse légère avec laquelle est représentée la gravité de la scolarité dans les banlieues tend certes avec plaisir à une représentation dédramatisé du problème mais vide aussi l’intrigue d’une vitalité palpable, ne faisant plus de «L’école pour tous» qu’un corps creux où le rire ne résonne pas dans la stupidité des séquences.

une bonne comédie. un film amusant. cependant petite remarque Arié Elmaleh a beaucoup de mimiques et emploie le ton de son frère Gad Elmaleh. dommage mais bon un bonne heure et demie passée avec ce film tout de même!

Film lourdingue et pas drôle. Dans le genre y'a mieux... comme P.R.O.F avec Bruel par exemple.. À éviter

Film trop plat pour garder l'atention du lecteur .

Rien d'exceptionelle mais quand même un bon film.Arié Elmaleh est bon.Il nous fait bien rire.Un bon film si on ne ve pas se prendre la tête.Arié Elmaleh est un acteur sur qui il va faloir compter

Etre professeur, ça ne s'improvise pas et Arié Elmaleh l'apprend a ses dépends. Dans ce film, le frère de Gad joue un délinquant qui est recherché par la police et qui par un drôle de concours de circonstances va retourner au collège, pour parfaire l'éducation des écoliers d'une classe de quatrième. Alors inutile de dire que «L'école pour tous» est une comédie complètement clichée qui ne redore pas le blason déjà bien terne des enseignants et qui présente les élèves comme les pauvres victimes d'un système éducatif qui leur surcharge la cervelle (ce qui d'ailleurs n'est pas faux). Une comédie assez primitive qui parvient à être sympathique si l'on accepte d'être indulgent, mais c'est dur...

L’école pour tous n’est pas en soi un film désagréable à regarder et malgré son absence totale de rythme, on ne s’impatiente pas comme des fous à vouloir voir apparaître à l’écran le mot fin. Pourtant… Même si les apparitions de Noémie Lvovsky sont hilarantes et qu’Arié Elmaleh s’en sort plutôt bien, le film ne décolle jamais et multiplie les gags peu amusants. Les tentatives d’Eric Rochand pour parler de l’égalité des chances, du problème éducatif français, de la démission des profs devant le manque d'envie d'apprendre des élèves, etc. sont maladroites. Jusqu’à la fin, un peu obscure (cf. le renversement de situation), le réalisateur dresse un portrait amer de l’Education nationale.Mais côté cinéma, c’est le vide abyssal. Le scénario est tout juste digne d’un médiocre téléfilm et les audaces de réalisation sont inexistantes. Alors on devine que le tournage du film a du être fort sympathique et l’équipe du film paraît sincèrement investie dans le projet, mais on a du mal à adhérer au résultat final, malheureusement creux.

Enfin un film qui mêle avec prudence l'amour et l'école, avec des clichés partout, mais tellement drôles. Le couple Elmaleh-Navarre nous prouve qu'ils ont un long chemin encore à tracer. Ils sont tout bonnement excellents. Mme "Doubtfire" est à exploser de rire. La bande s'éclate et nous donne un rendu excellent. Eric Rochant nous amène dans son monde de comédie. BRAVO!

Un brin démagogique, cette petite comédie scolaire se laisse regarder sans déplaisir grâce à quelques belles idées comiques. Pourtant, si le film d’Eric Rochant finit par emporter l’adhésion c’est plutôt au choix de ses acteurs qu’il le doit. Ils sont tous excellents, de Vincent Desagnat à Noémie Lvovsky. Mais tout cela ne serait rien sans la véritable découverte de ce film : Arié Elmaleh ! Dans le rôle d’un professeur/imposteur lunaire et maladroit, il confirme ici un vrai talent comique et un don inné pour la "comédie de gestes" quelque part entre Jacques Tati, Pierre Richard et Peter Sellers. Arié Elmaleh : un acteur à suivre qui mérite, à lui seul, qu’on retourne sur les bancs de l’école.

L'école pour tous ne m'a pas semblé être aussi indigent que ce que j'avais pu lire ou entendre ici ou là (critiques ou entourage qui tiraient à boulet rouge sur le film)... évidemment, nous ne sommes pas dans la chronique réaliste sur le sytème scolaire ("entre les murs",actuellement en cours de tournage d'aprés le roman de Bégaudeau sera certainement d'un tout autre calibre), quoique Rochant ait envie de nous dire deux ou trois choses sur le système éducatif français , qui, hélas, ne vont pas bien loin... Evidemment, "un monde sans pitié" ou surtout "aux yeux du monde "étaient bien fort, mais Rochant n'a quand même pas perdu toute sa pate : certains gags fonctionnent plutot pas mal, les acteurs s'en sortent bien, même Desagnat habituellement superenervant avec Mickael Young, et on ne s'ennuie pas une seconde...surtout, on évite la grosse farce lourde sans queue ni tete ni le film démago holywoodien du style esprit rebelles avec michelle pfeiffer où tous les enfants des ZUP deviennent des surdoués à la fin!!!

Comédie vraiment pas terrible, avec un scénario que doit envier L.Besson. Le gros problème de ce film reste que tous ce qui fait rire, ou devrais-je dire sourire est déja présent dans la bande annonce. On se retrouve devant une comédie française pas très drôle ( la collection en france continue ) qui se regarde quand on a vraiment rien d'autre à faire.

Scénario trop simpliste. C'est un film sympa et mignon à voir une fois mais sans plus.

vraiment génial !!!

un film trop drole ! les acteurs sont excellents et les acteurs profs caricaturent à merveille l'education nationale..

N'etant pas adepte des films francais, j'dois bien dire que celui ci est une excellente surprise!

Gentille comédie qui n’a que l’ambition de divertir. Pour cela, Arié Elmaleh et son charme ahuri s’assurent de diffuser la bonne humeur nécessaire, épaulés par Vincent Desagnat, soumis par excellence, et Valérie Bonneton, irrésistible.