Derniers Avis : Mad Max au-delà du Dôme du Tonnerre - Page 8

Les 40 premières minutes montrent une ambiance différente des deux autres films, mais tout de même dans la même ligné. Franchement, je trouve que ça commence vachement bien, et après il y a l'histoire avec les enfants..... alors c'est pas désagréable a suivre, d’où mon 3/5, j'ai quand même trouvé le film pas mal, mais..... waaah, avec les gosses on dirait que c'est Max qui part a l'aventure avec les Goonies, il y a un changement d'ambiance vraiment direct, et en plus pour nous offrir ça. Cet univers ne semble plus aussi impitoyable et violent, et c'est dommage. Et Max ? il est ou le Max badass ??? Vraiment dommage. Sinon ça reste un divertissement sympa, mais sans plus, au moins c'est bien réalisé et il y a des séquences vraiment réussi. Si vous vous attendiez a une ambiance comme les deux opus précèdent, vous allez vraiment être déçu, mais Mad Max au-delà du dôme du tonnerre reste un petit divertissement, qui fait passer le temps, mais rien de plus.

Mad Max, volet trois , vu après 30 ans à sa sortie en salle. Je ne m’en rappelais plus trop, ce que je savais, il m’avait déçu par rapport aux deux premiers. Le premier avait été une découverte à la télévision, le second, je m’étais précipité en salle. J’avais été un peu surpris car l’univers avait changé, un univers post apocalyptique. Un Fort Alamo des temps modernes. Pourquoi pas. Le Dôme du Tonnerre est une véritable déception et en plus, ils se sont mis à deux pour le réaliser. Déjà, entre le premier et le deuxième, j’avais du mal à trouver une ligne directrice, hormis la violence, les courses poursuites en bagnoles. Le deux nous plonge dans un monde post apocalyptique, je l’accepte, on ne sait pas trop pourquoi le monde est en pénurie d’essence. Mais ça passe encore. Mais le troisième qui s’inscrit dans le même univers semble pourtant éloigné du second. Ne parlons même pas du premier. Et pis : la violence est gommée. La marque de fabrique de Mad Max est effacée au profit d’un film inconsistant qui veut se donner une bonne conscience, après plus d’une heure de pellicules inutiles, avec enfin, une course poursuite, autre marque de fabrique de Mad Max. Elle est non seulement gentillette, mais elle se calque sur le second opus. Cette bonne conscience n’est rien d’autre qu’un manque flagrant d’imagination. Ce Mad Max trois m’a semblé être un conte pour enfants, un Mad Max plongé dans l’univers de Peter Pan. Prenons la poursuite en fin de film, on y voit un gosse frapper un méchant avec le dos d’une casserole, la note gentillette dont je parlais plus haut. La course poursuite est un sucre d’orge. Mad Max se veut plus familiale mais en vérité ce dernier épisode est une imposture ! C’est un reniement, ce n’est pas une évolution. C’est une insulte même à Mad Max. Et pour terminer, à quoi ça sert de mettre en scène Bruce Spence, lequel avait lié une amitié avec Mad Max dans le second volet ? Là, ils ne se connaissent pas. Quel intérêt ? En revoyant le film, et en revoyant Bruce Spence, je m’étais dit qu’ils allaient se reconnaître et former un nouveau un duo. Ben non, c'est un autre personnage ! Plus que jamais, ce mad max (écrit volontairement en minuscule) n’a rien à voir avec le second et évidemment rien à voir avec la saga. Il est indépendant, c’est un autre film, c’est pourquoi, il faut l’écrire en minuscule et c’est pourquoi il est une imposture… Si j'avais su, je ne l'aurais pas revu...

C'est quand même décevant. On a perdu la noirceur et ce qui faisait l'intérêt des deux premiers opus pour les remplacer par des scènes avec des gamins et une sorte de conte de fée ou je ne sais pas quoi... J'ai cru à une blague un moment puis lors de la scène finale, j'ai trouvé que le tout était un peu rattrapé mais pas totalement. Tina Turner est plutôt bien dans son rôle même si elle a pas trop de raison de se trouver là. En fait comparer ce film au premier opus revient à comparer Jurassic Park 1 et 3, même constat pour Terminator, le 3ème est loin derrière les autres. RIP le coiffeur tiens d'ailleurs.

Contrairement au deux premiers ce Mad Max 3 eme du nom n arrive pas à trouver sa propre identité. En fait il ressemble trop à une resucée dû deuxième en étant moins violente et accès sur un public plus large. En fait les meilleurs moments sont le fameux duel sous le dôme du tonnerre et la course poursuite finale qui ressemble cependant trop à celle du deux pour passionner.

Que de haine envers ce film ! Même le réalisateur le renie à l'occasion de la sortie de Fury Road ! C'est vrai que par rapport aux deux premiers volets le ton change. Mais c'est parce que le monde de Max évolue. Dans Mad Max 3 on assiste à la naissance d'un embryon de société (même si c'est une dictature). Les hommes se regroupent et s'organisent spoiler: (l'énergie obtenue à partir des excréments de cochons !)
. C'est un film utile qui clôture correctement la série ( spoiler: le rôle quasiment messianique de Mad Max à la fin du film
) à défaut d'être le plus mouvementé.

Quel déception de la part de George Miller. Après les deux précédents épisodes qui sont devenues cultes, cette épisode est celui de trop et qui clôture tristement la trilogie. C'est trop fade sur le plan du spectacle et l'histoire est mauvaise et ridicule. Il y'a un changement radical entre cette épisode et les autres films, on ne retrouve plus la même ambiance. Mel Gibson semble perdu dans le rôle de Max, son personnage spoiler: ressemble ici à un mixe entre Moïse et Jésus-Christ à la tête d'une troupe d'enfants abandonnés et solitaires
. Tina Turner n'est pas terrible dans son rôle et Bruce Spence ne sert pas a grand chose dans le rôle de l'aviateur.

Un film un peu décevant par rapport aux deux premiers et surtout qu'on quitte un peu l'ambiance apocalyptique qu'on a connu dans les deux précédents films. J'ai envie dire que je ne sais pas c'est tout ce que le réalisateur a voulu faire mais en tout cas on peut constater qu'au niveau scénario, cela ne ressemble pas à un Mad Max comme on a vu dans les deux premiers. Mel Gibson est toujours excellent dans son rôle mais par contre le reste du casting n'a aucun charisme et je n'en parle même pas pour Tina Turner. Des scènes d'actions toujours aussi bien filmées. Les décors et les costumes sont pas mal foutues. Quelques longueurs d'ennuies. Une saga qui se finit malheureusement mal et qu'il vaut mieux se contenter des deux premiers.

D'aucuns diront que Mad Max 3 est le moins bon élément de la trilogie qui a lancé la carrière de Mel Gibson, et tendront à considérer le second opus comme le meilleur. Eh bien je me permettrai d'aller à l'encontre de l'avis général et d'élire ce troisième opus comme étant mon préféré de la trilogie. Pourquoi ?

Parce que ce "Mad Max" correspond à ce que j'attendais d'une telle saga. Non pas que les deux premiers opus étaient mauvais, loin de là. Mais, justement, la différence entre les deux premiers et ce dernier fait que je préfère cet opus. Quand les deux premiers misaient avant tout sur une ambiance sombre et désertique, avec un minimum de personnages et de développement de leur personnalité, Mad Max 3 propose un regard différent sur ce monde post-apocalyptique. Tout d'abord, l'intrigue nous envoie visiter une ville aux faux airs de Mos Eisley (ville de Tattooine que l'on voit à plusieurs reprises dans la saga Star Wars, NDLR), et rien que le fait d'ajouter des figurants dans ce genre de scène nous fait mieux appréhender le mode d'existence de la population, même si ce n'est qu'au détour de quelques scènes. On découvre aussi le fonctionnement de la ville, lequel ne dépend plus de l'utilisation du pétrole, mais de la consommation de fumier de cochons, travaillé par des petites mains punies pour des méfaits mineurs. En haut on a Tina Turner, semi-antagoniste, prise entre la volonté de faire régner la loi et son pouvoir, sa dépendance vis-à-vis des ouvriers, et son respect à l'égard de Max. Enfin, on a le dôme de tonnerre, arène de combat où la règle du "deux hommes entrent, un homme sort" règne, théâtre de combats dantesques, dont on a l'occasion d'y assister une fois au cours du film. Et puis, pour finir, on a la tribu de nomades perdue, en attente de l'arrivée d'un messie pour les guider vers un eldorado, messie qui sera bien évidemment confondu avec Max.

Ce qui est reproché à cet opus est son côté plus "grand public", tendant moins à se focaliser sur les courses poursuites et au vagabondage entrecoupé par des agressions de gangs punks au look sadomaso. Mais justement, même si cet aspect ne m'a pas tant dérangé, notamment dans le second opus, j'étais quelque peu soulagé de voir des méchants un peu moins excentriques, et plus de dialogues permettant de donner plus de relief aux personnages, qui n'étaient plus relégués au rôle de punching-ball ou de simples "bonjour, au revoir". Il va sans dire que les Mad Max sont confrontés à un jugement souvent tranché de la part spectateurs, de par la manière dont ils sont réalisés, et du contexte dans lequel se déroulent les intrigues. De plus, ceux qui auront suivi la saga seront également partagés entre les deux premiers opus et le troisième dont on ne peut nier la différence avec ses prédécesseurs.

En tout cas, pour ma part, je me rallierai à ce dernier opus, qui clôt la saga d'une manière certes un peu "bisounours" mais comble un vide que j'avais tendance à ressentir suite au visionnage des deux premiers.

Se voulant plus "grand public", « Mad Max au-delà du Dôme du Tonnerre » s’avère être une réelle déception, perdant par la même occasion de son identité propre. Visuellement, le film n’est pas trop mal (costumes, décors), mais impossible de se passionner véritablement pour son intrigue. C’est périodiquement lent et ennuyeux, malgré un réveil tardif avec une ébouriffante course-poursuite en guise de conclusion. Ni l’humour, ni la présence étonnante de Tina Turner, n’arrivent à sauver ce troisième volet, pourtant optimiste, du naufrage.

Le plus décevant opus de la première trilogie de Mad Max. Le scénario est vide et sans intérêt, les acteurs peu convainquant et peu convaincu, et l'action laisse à désirer. Je n'avais pas trouvé le premier film abouti mais celui-ci me laisse complètement sur ma fin.

Ce qu'il y a de particulièrement intéressant dans la saga cinématographique de Mad Max, ce sont les grandes différences de tons et d'univers de chacun des épisodes. Le premier était quasi contemporain, le second était un furieux western motorisé, et cet ultime épisode, qui a dérouté jusqu'aux plus fidèles des admirateurs du guerrier de la route, opère en son milieu un virage à 180 degrés pour se diriger bille en tête vers le film d'aventures familial. Au risque de m'attirer les foudres des fans de Mad Max, je considère ce "Dôme du tonnerre" comme la conclusion idéale des errances post-apocalyptiques de Mel Gibson. Car c'est à la renaissance d'une civilisation que nous assistons ici. Et une civilisation pourrie qui ressemble étrangement à l'ancienne: Barter Town repose sur des excréments dont la ville tire son énergie, le premier inconnu qui pointe son nez devient un outil politique pour prendre ou garder le pouvoir, et même un colosse simple d'esprit est transformé en bras armé dont l'unique but est d'assoir la supériorité d'un homme nettement plus petit que lui. Quoi de plus logique pour Max, flic brisé par la société et ses excès, de se sacrifier une nouvelle fois pour sauver un groupe d'enfants perdus, c'est à dire une certaine idée de l'innocence? "Mad Max au delà du dôme du tonnerre" possède de surcroit le charme nostalgique et indéniable des blockbusters des années 80: une superbe photographie de Dean Semler, la musique de Maurice Jarre associée aux chansons de Tina Turner (irréprochable en gourou politicarde), les décors sont très réussis, et la réalisation beaucoup plus travaillée qu'il n'y parait. La poursuite finale, avec le fameux petit chinois qui saute de voiture en voiture, est franchement excitante. Bref, certainement pas le meilleur des Mad Max, mais un spectacle de qualité, généreux, souvent drôle (contrairement aux 2 premiers qui étaient des modèles de sécheresse) et joliment écolo avant l'heure. Nul doute que la sortie prochaine de "Fury Road" (qui s'annonce, de par sa bande-annonce, comme une simple photocopie de Mad Max 2) devrait permettre de redécouvrir cet opus très injustement boudé.

Plus rien d’épique, violence au niveau zéro, aucun méchant valable, un héros saccagé au profit d’une ambiance Gooniesnesque : le troisième Mad Max est un pur massacre. En tout point.

Entre manque de cohérence et faiblesse scénaristique, ce dernier opus est sans doute le plus mauvais.

Assez ennuyeux même si il y a quelques idées intéressantes, c'est surtout le fait qu'il n'y ait vraiment plus rien à voir avec la saga Mad Max qui dérange. Plus de bagnole, ni de course poursuite ( pourtant celles du deuxièmes opus étaient excellentes et efficaces), seul le coté apocalyptique reste. Ce film aurait gagné à être un film à part, à ne pas faire partie d'une saga auquel il ne correspond pas, cela aurait évité des comparaisons défavorables par rapport à ses prédécesseur.

Après deux premiers opus plutôt violent, voilà le célèbre Max Rockatansky de retour pour une troisième aventure à l'atmosphère toujours aussi soignée mais au ton beaucoup plus naïf. Max, qui s'est fait dérober sa carriole, arrive à Bartertown, ville du troc où règne la terrible mais sensuelle Aunty Entity (jouée par Tina Tutner, s'il vous plaît !) qui propose un marché à l'ancien policier. Si la première partie, nous montrant Bartertown et ses habitants est franchement réussie, misant sur des décors et des costumes soignés, la deuxième partie du film où Max rencontre un groupe d'enfants qu'il va ensuite mener tombe dans une naïveté assez étonnante pour la saga. A partir de là, le film devient beaucoup trop classique et même la course-poursuite finale, loin d'égaler celle qui clôt le deuxième film, semble sans saveur. C'est tout de même un peu dommage.