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    Emmanuelle
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    46 critiques spectateurs

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    ClashDoherty
    ClashDoherty

    210 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 août 2008
    Certes, c'est un film érotique. Mais c'est cependant aussi un classique, qui a vieilli (ce n'est plus aussi cru et sexe qu'avant, même si ça reste érotique), mais reste un classique du cinéma populaire. Oui, un film culte (cul-culte, dirons nous).
    Critiqueur37
    Critiqueur37

    12 abonnés 144 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 septembre 2008
    Les films érotiques ne sont pas ma tasse de thé, loin de là! Mais il faut reconnaître que ce film là, de part son côté très provoquant pour l'époque, son esthetisme "années 70", son univers moite et torride en à marquer plus d'un, moi compris! A decouvrir, car il fait partie des classiques du cinéma français.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 6 avril 2010
    Décevant, peu de scènes intéressantes...
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 10 février 2014
    Apprécier Emmanuelle en 2014, c'est comme s'extasier sur les effets spéciaux de Vercingétorix.

    On peut comprendre le remue-ménage que le film a pu faire lors de sa sortie (13 ans à l'affiche d'un cinéma parisien, premier film érotique a être sorti dans des salles "classiques", ...), mais il est difficile de l'apprécier à sa juste valeur 40 ans après sa sortie.

    On ne peut parler de jeu d'acteur, mais juste d'esthétisme. Ni de scènes torrides, mais de suggestions qui peuvent certes être "choquantes" pour l'époque, mais qui sont bien rentrées dans les mœurs depuis des années.

    Une mention spéciale au ridicule du personnage interprété par Alain Cuny, qui tombe comme un cheveu dans la soupe avec une philosophie caricaturale et le charisme d'une huître.

    Ceci dit, on a rit, hein...)
    Pascal I
    Pascal I

    667 abonnés 4 048 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 13 avril 2009
    Film érotique laissant plein de bons souvenir pour l'époque.
    Cannaghan
    Cannaghan

    14 abonnés 451 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 octobre 2010
    Si ce film marqua les années 70, il fait bien pâle figure maintenant. Reste néanmoins la troublante beautée de Sylvia Krystel.
    DarioFulci
    DarioFulci

    84 abonnés 1 412 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 novembre 2017
    Horrible reflet d'une époque, ce film érotique vintage ne tient pas le choc des années.
    Une ingénue découvre une sexualité libérée. En gros une idiote que ne rencontre que des sex addict.
    Ça pourrait être inoffensif mais force est de constater que tout n'est que projection fantasmée de mecs. Il n'est pas question de libération de la sexualité féminine mais de ce que les auteurs du film désirent des femmes: débridées mais soumises, nymphomanes, bisexuelles, bref un pur fantasme machiste douteux et puant.
    Cette image des femmes rend le film détestable. Et la musique est ridicule.
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    160 abonnés 2 421 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 22 octobre 2019
    Emmanuelle est un film assez marqueur de son temps.
    On voit bien que quarante années ont passé depuis la sortie de ce film : ce qui à l'époque était hautement sulfureux et complètement tabou pourrait presque décemment apparaître dans certaines productions hollywoodiens (interdit aux moins de 13 ans tout de même). Certains blockbusters et certaines séries ne relevant pas du tout du registre pornographique, mettent plus en avant et de manière bien moins suggérée des scènes de sexe.
    Aujourd'hui, les scènes les plus scandaleuses de ce film ne font qu'à peine émoustiller.
    Pour autant, ce n'est pas surprenant que dans la société des années 70, ce film ait choqué. D'ailleurs, j'ai trouvé que certaines scènes relevaient plus du viol que de la scène d'amour.
    Mais, s'il est aisé de dire que le film est moins subversif selon les critères d'aujourd'hui, c'est tout de même ce film qui a boosté toute l'industrie du film érotique (et dans une plus large mesure du cinéma pornographique) en lui donnant une certaine forme de lettres de noblesse.
    Après, pour ce qui est de la qualité du film, c'est assez vide. L'intrigue est d'une ennui mortel. Si on enlève les scènes de sexe, il n'y a strictement rien à retirer de l'histoire.
    Les dialogues pseudo-philosophiques sur la fidélité et la sexualité sont assez ridicules.
    Ce n'est pas vraiment très bien joué non plus (Sylvia Kristel n'est pas forcément une excellente actrice et le reste du casting est vraiment moyen).
    Les décors de Bangkok sont passables mais font quand même très cliché, on a l'impression de lire un épisode de Tintin (la civilisation thaïlandaise y est dépeinte de manière très folklorique, pour ne pas dire avec un regard de colon, en même le film est sorti en 1974, dans un monde encore colonial).
    C'est marrant de déjà retrouver dans ce film beaucoup de codes du cinéma pornographique qui seront utilisés et réutilisés jusqu'à la parodie (les phrases pleines de sous-entendus, la musique très cheap, la confrontation entre l'héroïne plutôt réservée et candide et les beaucoup plus désinhibées qu'elle rencontre, …).
    Bref, un film intéressant à voir, ne serait-ce que pour constater le changement depuis ; mais sinon, c'est bien ennuyeux.
    chrischambers86
    chrischambers86

    11 990 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 juin 2018
    "Mèlodie d'amour chantait le coeur d'Emmanuelle, qui bat coeur à corps perdu, mèlodie d'amour chantait le corps d'Emmanuelle, qui vit corps à coeur dèçu"...1974 - "Emmanuelle" ou l'amour chic...Lorsque le producteur Yves Rousset-Rouard achète les droits du roman d'Emmanuelle Arsan, celui-ci est mondialement cèlèbre; lorsqu'il confie la rèalisation à Just Jaeckin, ce dernier est un parfait inconnu qui va - phènomène rarissime - rèaliser un premier film promis (et culte) à un ahurissant succès public! Rien ne paraissait pourtant destiner à ce roman-photo chic à causer un tel choc! Ces aventures èrotico-exotiques d'une jeune femme de diplomate en poste à Bangkok se contentent de mènager au mieux l'èquilibre entre la carte postale, la sentencieuse (Alain Cuny dans le rôle de l'initiateur pervers est à hurler de rire) et l'èrotisme bon genre! Rien qui, apparemment, dèrange! il y a surtout Sylvia Kristel, jeune et ravissante hollandaise aussi inconnue que son metteur en scène qui devint instantanèment cèlèbre avec un rôle qui lui collera à la peau! Excellente musique du regrettè Pierre Bachelet...
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    582 abonnés 2 750 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 juillet 2020
    Il est complexe d’aborder le cas d’Emmanuelle, l’un des plus grands succès du cinéma français et l’une des œuvres qui constitue le symbole de la libération sexuelle dans les années soixante-dix, tant son visionnage en 2020 est heurté par de nombreuses outrances qui, dans notre société contemporaine du politiquement correct, choquent la morale et font du film un archaïsme, le témoignage d’un temps éloigné et heureusement révolu. Car le parfum de scandale que dégage le long métrage de Just Jaeckin n’émane plus des scènes de sexe, davantage du regard colonisateur porté sur la Thaïlande avec ses ambassadeurs blancs à la tête de hordes d’esclaves locaux, figures d’autorité qu’attaquait déjà Marguerite Duras dans une œuvre comme Le Vice-consul huit ans auparavant. Aussi certaines séquences sont-elles difficilement regardables du fait de leur focalisation ethnocentrée et dégradante quant aux hommes et aux femmes ainsi mis en scène, dans un état d’animalité constitutif de la notion d’exotisme avec laquelle flirte le film. Emmanuelle a néanmoins la belle idée de saisir le pays étranger comme le cadre propice à une exploration du désir féminin, jusqu’à l’indépendance de la femme maquillée, contrôlant le désir masculin. Et sa photographie magnifique – rappelons que le réalisateur, Just Jaeckin, reste avant toute chose un photographe de charme – construit une image sensuelle et exaltante, portée par des mouvements de caméra tantôt élégants tantôt brutaux ; de cette alternance naît un rythme particulier qui empêche l’ennui sans néanmoins écarter les répétitions, si nombreuses qu’elles désamorcent en partie l’effet de surprise inhérent à chacune des relations extraconjugales. En somme, le long métrage, porté par quelques bonnes idées de mise en scène et un élégant travail de la lumière, vaut surtout pour sa valeur historique, soit être tout à la fois le héraut et la mémoire de la libération sexuelle.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 15 janvier 2011
    Film ultra-mythique auquel ma jeunesse - et ma vertu, il va sans dire - ne m'avait pas encore permis d'accéder, le premier de la série, réalisé par Just Jaeckin (qui a à la suite d'Emmanuelle fait profession dans le genre... de manière assez triste, il est vrai). Il est évident que la vue de ce film passe par le crible mi inconscient mi culturel de la peste, n'est-ce pas, qui a atteint jusqu'aux tréfonds physiologiques de notre oeil bien contemporain, je veux dire la pornographie. Autrement dit, difficile de saisir aujourd'hui ce qui a fait le succès de ce film (près de 9 millions de spectateurs à la sortie de la France pompidolienne, merci encore une fois, ô Histoire, pour l'ironie) en 1974, post 68 et tout un tas d'idéaux révolutionnaires et libératoires dans la boîte à idées... Mais bon, cela dit, on perçoit sans mal l'effusion libératrice (pas d'équivoque) de ce film adapté du best-seller érotique d'Emmanuelle Arsan. Bon je redis le scénar pour les jeunes qui ne l'ont pas vu : à proprement parler il n'y en a pas, l'histoire se déroulant à partir d'un axe ma foi fort évident : il s'agit d'une exploration (non, ce n'est pas ce à quoi vous pensez !), pour une jeune femme que l'on suit du début à la fin du film, Emmanuelle, d'une découverte, d'une libération progressive quant à l'acte même de l'amour. Pour la faire vite (pas d'équivoque !), on part d'un axiome de départ ultra-admis, c'est-à-dire ultra normal (ou le normal vaut à fond comme norme, c'est entendu) : le couple hétérosexuel marié. Et progressivement, on fait éclater cette bulle initiale, par des rapports extra-conjugaux hétérosexuels et homosexuels. Tout y passe, pour rester correct.
    Que dire sur les idées du film lui-même ? Et bien c'est quand même pas mal, ou ç'aurait pu être vraiment bien (malgré le cliché affiché du film, évidemment, qui ne peut que satisfaire toute cette population de pervers que nous sommes, d'une jeune femme sujette à tout un tas de pouvoirs). Parce qu'on passe du désir en tant que tel (désir barré, désir emprisonné, désir moralisé), à "du" pouvoir (polymorphe, pluriel etc.), c'est-à-dire qu'Emmanuelle se laisse guider, dans une sorte de grande danse ancestrale, par des Maîtres, femme ou homme, qui vont lui ouvrir des portes de vérité et de plaisir. L'exploration ne se fait pas sous le mode du savoir objectif, donc, mais sous l'aura d'un Maître de plaisir et de vérité,qui lui enseigne, en prenant en charge le corps d'Emmanuelle, la connaissance de son corps et de potentialités. Donc le plaisir n'est décuplé qu'à la condition de relations de pouvoir transitoires, de relations, devrions-nous ajouter, de pouvoir-savoir individuelles (Versus désir barré, désir libéré, il faudrait donc dire, suppression de l'axe du désir et ouverture à celui du plaisir-pouvoir). Ce qui est assez plaisant, c'est que ces relations de pouvoir sont mobiles et incontrôlables : dans le film, c'est le mari d'Emmanuelle, Jean, qui la pousse à connaître d'autres occasions de plaisir ; mais ces relations de pouvoir-savoir chamaniques de Maître à disciple transgressent et finissent pas complètement déborder l'intention initiale de Jean. Les relations de pouvoir, dans le film, finissent par avaler (non, pas d'équivoque) et dépasser l'instance normalisatrice constituée par le couple hétérosexuel marié.
    Un mot sur la musique, qui à mon sens est parfaite : essentiellement deux musiques, celle de Bachelet, hyper-connue, mais qu'on n'entend finalement pas tant que ça, et une musique, alors là, chapeau, tout à fait exceptionnelle, en 5/4, avec des croches violentes pourfendant toute mélodie, et censée, c'est évident, marquer les moments d'excitation, d'accélération, de folie. Un 5/4 ! Un 5/4 ! C'est fou non ? Transgression de la norme musicale, de surcroît ! Donc du coup, deux atmosphères opposées, et en tout cas mises en opposition ou plutôt en convergence (parce que le 5/4 ne vit pas supprimer Bachelet, dans l'idée, mais se heurter aux limites qu'il représente, au cadre qu'il institue et perpétue, le 5/4 vient percer Bachelet (sans équivoque)) : la voix de Bachelet, chiante, gaie, paternaliste, douce, populaire, un peu relou, voix de la norme et de l'institution guillerette, et puis le 5/4, affreux, transgressif, agressif, violent, jouissif, brisant la continuité simplette de la norme et de la voix de Bachelet.
    Bon ajoutons quand même des points négatifs, ne serait-ce que sur le plan du jeu d'acteurs, vraiment pas sensationnel (Jean, le mari à moustache par exemple interprété par Daniel Sarky), sauf peut-être Sylvia Kristel, évidemment, qui rehausse un peu tout ça. Notons la présence d'Alain Cuny qui joue le dernier Maître d'Emmanuelle (Alain Cuny quoi... !) Et puis la réa n'est quand même pas de la plus haute volée... Les paysages sauvent tout, et heureusement.

    Bim, pour la musique et le plaisir, 15/20. Et ouais

    Et bien sûr, toutes les critiques sur le Tching's cine :
    http://tchingscine.over-blog.com/
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 27 octobre 2006
    Le premier "Emmanuelle" de Just Jaeckin (1974) comporte son lot de plans soignés, avec d'habiles jeux d'ombres et de lumières. La mise en scène est esthétiquement tamisée, et Sylvia Kristel est sulfureuse. Tout cela dominé par la douce chanson de Pierre Bachelet.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 juin 2010
    Aimé ou détesté, Emmanuelle est un film qui fait partie intégrante du patrimoine cinématographique.
    Rafinné et admirablement bien filmé, voilà un film érotique qui se distingue par la beauté des lieux filmés et les différents plans et photos. A voir absolument pour un grand classique qui s'il a vieilli demeure beau.
    Bicheyrejp
    Bicheyrejp

    11 abonnés 178 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 juillet 2020
    Quelle déception ! J’avais lu le livre avant mes 18 ans non sans avoir ressenti des sensations coupables. J’ai eu plus tard l’occasion de le voir sur mon magnétoscope avec une cassette VHS et je me rappelle d’avoir été bien émoustillé… Lorsque Netflix a mis ce film en prévision, j’étais tout content et j’ai du m’y prendre en deux fois pour arriver à la dernière séquence. Certes, Sylvia Crystel est superbe, les autres actrices aussi, mais je n’ai rien retrouvé dans le scénario des situations érotiques qui m’avaient titillées dans le passé.
    bsalvert
    bsalvert

    321 abonnés 3 460 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 novembre 2023
    Ce film a surtout marqué les esprits car il était précurseur. La sensualité de l'actrice est particulièrement efficace.
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