Avis : Hello, Dolly! - Page 2

Je ne pense pas que ce soit une coïncidence à part la scène du Cabaret cette absurdité décousue, désordonnée et exagérée a marqué la fin de la comédie musicale. Si nous voulons apprendre comment les acteurs et actrices sur jouent regardons Hello, Dolly!. Quand il est sorti en 1969 il a reçu des critiques mitigées. Les segments de danse durent beaucoup trop longtemps et pourtant il a été réalisé par Gene Kelly. À part Hello Dolly la chanson titre il y a peu d'autres chansons dignes d'intérêt. La majeure partie du film est réalisée en masquant en partie la faiblesse de l'histoire idiote. Barbara Streisand a souvent l'air mal à l'aise mais peut-être savait-elle que c'était une dinde. Le sur jeu de Michael Crawford est ridicule et sa carrière à Hollywood a été courte. On dit que ce mauvais film est à l'origine du terme feel good movie. Je ne l'ai regardé qu'aujourd'hui et ce ne sont pas ces deux mots qui me viennent à l'esprit pour décrire mon état mental peut-être que je me sens malade serait plus approprié...

Eh ben merci Wall-E car sans cet animé je n aurai pas eu la curiosité de voir ce film.
Je tombe dessus ce soir et ça me dit soudainement quelque chose, bon j envoie la vidéo via Disney + (étalonnage tout refait avec un son revu, d'ailleurs leurs services streams est vraiment impressionnant de part sa qualité).

Et là je suis émerveillé par une comédie musicale romantique et drôle. Alors oui ça à vieillit mais ça ne me dérange pas.

Les chansons sont envoûtantes et B.Streysand si ravissante, j etais choqué de voir qu elle avait autant de charisme, les acteurs, les danseurs et j en passe sont terriblement talentueux.

Que dire des décors si pointilleux, un véritable chef-d'oeuvre que je suis content d avoir découvert.

Après s’être imposé comme acteur phare des comédies musicales, Gene Kelly réalise en 1969 « Hello, Dolly ! » et conclu en beauté une productive décennie. Adapté de la pièce homonyme de Broadway, le film met à l’affiche Barbra Streisand pour son second film, un an à peine après avoir été révélée dans « Funny Girl ». Elle y campe le rôle d’une marieuse qui, lasse d’aider les gens à se rencontrer sans être elle-même aimée, se met en tête d’épouser un riche marchant en faisant échouer ses plans tout en en faisant profiter ses nouvelles rencontres. « Hello Dolly ! » est le résumé idéal d’une décennie de comédies musicales, avec leurs qualités et leurs défauts. Gene Kelly met à l’honneur le spectacle avec un film coloré et dansant. La première scène elle-même s’ouvre sur un défilé de pas et de chaussures créant un rythme sur lequel Barbra Streisand se mettra à chanter. Fidèle à elle-même, les chansons sauront en mettre plein la vue, tant grâce à ses performances vocales qu’aux chorégraphies. Si le jeu de jambe de Mickael Crawford évoque celui de Dick Van Dycke dans « Mary Poppins », les dansent complexes et travaillées ramène au travail de Robert Wise pour « West Side Story ». Ses couleurs et sa légèreté ne sont pas sans rappeler « La Mélodie du Bonheur » auquel il ne reprend malheureusement pas les enjeux, « Hello, Dolly ! » est de ceux ayant un scénario pauvre et prévisible. Ceux réceptifs au style pourront lui pardonner d’autant que la performance de Barbra Streisand se voit pus précise que dans son précédant « Funny Girl ». Elle retrouva des rôles plus dramatique plus tard avec « A Star Is Born » ou son propre « Yentl », mais « Hello, Dolly ! » est un film qui fait sourire. Avec des costumes dignes de ceux d’Audrey Hepburn dans « My Fair Lady » et des décors à couper le souffle, les nombreuses scènes musicales sauront compenser ses touchantes faiblesses sans pour autant les oublier. Sans oublier le glorieux caméo de Louis Armstrong qui rend l’une des meilleures séquences encore plus grande.

J'ai été impressionné par la reprise de « Hello, Dolly! » à Broadway, avec Bette Midler dans le rôle principal. Sa performance, alliant humour exubérant, présence scénique éclatante et une tendresse sous-jacente, est idéale pour succéder à Carol Channing, qui a incarné Dolly Gallagher Levi dans la production originale de 1964. La réalisation de Gene Kelly, dont on connait l’exigence, apporte une dimension classique et raffinée à la production, tandis que la chorégraphie de Warren Carlyle enrichit le spectacle de numéros dynamiques et fusionnant harmonieusement l'élégance traditionnelle et des éléments novateurs. Bette Midler est merveilleuse dans ce rôle, parfaitement soutenue par un casting de haut niveau, dont David Hyde Pierce, dont la performance est à la fois forte et nuancée. La performance de l’actrice est décrite comme une force de la nature, avec sa voix puissante et son charisme indéniable, tout en injectant une chaleur et une humanité profondes dans son personnage de Dolly.

WHITE FINGERS : LA PISTE SYSKIYOU (TOME 1) et LE CIMETIERE DES SQUAWS (TOME 2) (Amazon Kindle).

Comme on peut s’y attendre avec un film de Gene Kelly, les chorégraphies sont magnifiques. Chaque mouvement a un sens et c’est ce qui fait la réelle beauté du film. De plus, Barbara Streisand, monument du genre, incarne très bien le rôle principal. Si l’intrigue ne m’a particulièrement intéressée, j’ai beaucoup apprécié ce film.

Si cette comédie musicale est effectivement très très sympa avec de grands talents, il a toutefois vieilli, l'histoire est un peu légère, et il est préférable de bien comprendre l'anglais.