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    Un Américain à Paris
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    Caine78
    Caine78

    6 024 abonnés 7 396 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Sans être une réussite totale ni le chef d'oeuvre que l'on pouvait attendre, ce film reste tout de même une belle comédie musicale, une oeuvre sensible et belle que l'on prend plaisir a regarder, surtout que l'aspect visuel est vraiment très réussi. Quelques numéros musicaux sont bons, mais c'est surtout le ballet final qui est mémorable, d'une incroyable beauté. Ca reste une oeuvre importante du tandem Minnelli-Kelly.
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    74 abonnés 1 737 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 avril 2015
    Malgré quelques longueurs – la scène finale notamment, qui semble interminable – Un Américain à Paris, grand classique de la comédie musicale hollywoodienne, se laisse regarder avec plaisir. Il s'inspire d'une œuvre symphonique d'une vingtaine de minutes de George Gershwin, reprenant d'autres compositions de l'artiste américain, parmi lesquelles le fameux I got rythm. Sa vision fantasmée d'un Paris éternel et les pas de danse de Gene Kelly et Leslie Caron sont pour beaucoup dans cette réussite.
    Plume231
    Plume231

    3 481 abonnés 4 639 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 juin 2009
    Une excellente comédie musicale où le réalisateur Vicente Minelli utilise savamment la couleur pour constituer un Paris idéalisé. Je vais éviter de m'étendre sur le fait que Gene Kelly était un immense acteur et danseur, 3000 mètres de pellicule le ferait mieux que n'importe-qui. Mais il est plaisant de voir qu'à travers la juvénile Leslie Caron, il a une partenaire à la hauteur. Il faut aussi rajouter le fait que les seconds rôles sont eux aussi très bien choisis. Nina Foch est très élégante, Oscar Levant très pince-sans-rire et Georges Guétary très frenchie. Que demander de plus ?. Mais si on excepte le très beau numéro musical sur les quais de Seine et le final éblouissant avec la superbe musique de George Gershwin ainsi que la chanson «S Wonderful», les autres numéros musicaux sont réussis mais loin d'être marquant. C'est certainement à cause de cela qu'il manque la petite étincelle qui aurait pu faire d'«Un Américain à Paris» un chef d'oeuvre, mais il faut pas se voiler la face ce film reste un divertissement de très grande classe qui se bonifie un peu plus à chaque vision et qui ne serait pas exageré de considérer comme le plus bel hommage que Hollywood ai donné à la ville-lumière.
    ER  9395
    ER 9395

    72 abonnés 1 337 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 février 2013
    Une des meilleures comédies musicales qui ai été faite , un pur bonheur .
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 18 mai 2010
    Un sommet ! Un film d'une élégance rarement égalée et une véritable déclaration d'amour faite aux impressionnistes. Gene Kelly est tout simplement merveilleux, mais c'est bien au coup d'oeil exceptionnel du grand Minelli qu'un Américain à Paris doit la plus grande partie de sa miraculeuse réussite.
    Shiba Otoko
    Shiba Otoko

    31 abonnés 223 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 juillet 2021
    Un grand classique, et qui doit le mérite. Une œuvre gracieuse, un véritable ballet dans Paris. Une explosion de joie et de bonne humeur.
    oooooooooo
    oooooooooo

    86 abonnés 110 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 août 2023
    Chef d'oeuvre dans le marbre, intouchable. Il y a des films dont l'âge ne fait pas défaut. Etre daté leur confère une qualité propre, à minima un charme. Il y a en revanche des films que le temps abime. Si il y a un genre qui souffre tout particulièrement mal le vieillissement, c'est celui de la comédie. Un drame daté peut convoquer la nostalgie, à la poussière du temps se parer d'une autre étoffe. La comédie elle a tendance à tristement se ringardiser. Et c'est souvent le problème du sous genre comédie musical, dont les séquences non chantées/chorégraphiées, deviennent presque embarrassantes.
    Ici Oscar Levant se voit bien offrir quelques lignes réjouissantes (mais nous sommes sur la longueur très loin de Lubitsh). Mais bien des scènes, plombées par ces américains qui pro-non-cent du français, ou ces français qui font du Français en américain, sont tout de même bien pataudes.
    Plus embêtant les numéros, hors le final, sont très communs (très en dessous de ce que Kelly a pu délivrer dans d'autres films souvent non passés à la postérité), comme le livret, qui ne fait pas honneur à l'oeuvre de Gerswhin (qui a pourtant dans son sac nombre de ritournelle imparables).
    Et ce dernier numéro, ce joyau auto proclamé, étant il est vrai d'une grande ambition visuelle (égaler le ballet des Chaussons Rouges?), est cependant peut réjouissant en terme de chorégraphie pure. Peu gracieux.
    Comme Leslie Caron, sûrement très bonne danseuse classique, qui peine cruellement dans le champs de la comédie. Elle s'avère, si l'on met en vis à vis une Ginger Roger, une Debbie Reynolds ou une Cyd Charisse, comme mono-dimensionnelle.
    Alors certes la ré-interprétation de Paris en studio vaut plus que le coup d'oeil.
    Mais un an plus tard, Gene et Arthur, cette fois ci associé au tout jeune Donnen, affichant moins d'ambition, accomplissaient cette fois ci un tout autre miracle.
    Charlotte28
    Charlotte28

    91 abonnés 1 734 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 janvier 2023
    Un quatuor amoureux mis en scène avec autant de dynamisme dans son évolution que dans les numéros musicaux qui parsèment cette ode à l'art, à la joie de vivre et à la vie parisienne idéalisée. Bien que semblant dans l'ombre voire l'attente ou la soumission, les femmes plus lucides ou responsables tirent les ficelles financières ou sentimentales des hommes rêveurs incapables d'atteindre leurs fantasmes de réussite ou de plénitude. Mélancolique et tendre bien que baignée d'humour et de sautillantes chorégraphies, cette comédie dramatique alterne entre merveilleux artistique et réalité cynique jusqu'au morceau de bravoure fantasmagorique final rendant hommage à d'emblématiques peintres français. Un tourbillon onirique souriant!
    ronny1
    ronny1

    30 abonnés 913 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 novembre 2020
    « An American in Paris » est à la fois l’aboutissement du rêve d’un producteur et de l’entente fusionelle avec son réalisateur. Pendant des annèes Arthur Freed, parolier aussi fameux que réputé, et grand producteur des musicals de la MGM, révait de réunir la musique de Gershwin avec la peinture impresioniste. Il se trouve que son réalisateur favori, Vincente Minnelli, qui fut dessinateur, puis décorateur de théâtre, adore cette peinture (dont des tableaux se retouvent dans plusieurs films comme par exemple le Renoir de l’appartement de Fred Astaire dans « Tous en scène ») et la musqiue jazzy en général et Gershwin en particulier. Après trois années de réflexion et de discussions, et l’aide d’Ira Gershwin qui écrivit les paroles pour la musique additionnelle composée par Conrad Salinger (orchestration, excusez du peu, de Benny Carter, non crédité, qui joue aussi au saxophone), ils décident de réaliser un film qui prend le titre du poème symphonique de Gershwin qui cloture le film sous forme de ballet. Se passant à Paris, Freed et Minnelli portèrent leur regard vers Gene Kelly. Ce dernier, comme le réalisateur, est un amoureux de la capiale française et connaît bien la ville, y ayant vécu et parlant convenablement la langue. Il sera aussi le chorégraphe de talent (peut être le meilleur) permettant à Minnelli toutes les audaces de mise en scène à partir de décors que le cinéaste avait méticuleusement décrits. Quelques plans généraux et le Ritz Place Vendôme seront les seuls tournés sur place, tout le reste est reconstitué dans 44 décors différents, pour lesquels Cedric Gibbons, Preston Ames, Edwin B. Willis et Keogh Gleason reçurent un Oscar. Le réalisteur filma ainsi comme il l’entendait. D’entrée la mise en place montre la vie misérieuse des artistes en devenir, l’un peintre, l’autre musicien, tentant de transcender leur réalité difficile en accédant à leur rêve de reconnaissance, cristalisé dans la formidable séquence onirique d’Adan Cook (Oscar Levant) interprétant et dirigeant le concerto en fa pour piano de Gershwin. La vie de quartier donne le ton avec ses enfants dans les rues, le couple de cafetiers, protecteurs familiaux et bon enfant, le café au lait et les viennoiseries, respirent la grâce par leur élégance certaine. Tout en passant par des séquences d’une d’audace incroyable pour l’époque, comme la présentation de Lise Bouvier (Leslie Caron), réalisée par Gene Kelly, avec la suggestive scène de la chaise qui faillit être censurée, ou encore la fête finale en forme d’orgie décadante qui inspira sans doute Frederica Fellini, mais plus surement Bob Fosse. C’est dans une ville de carte postale que le drame s’envole en une apothèose visuelle et chorégraphique sans précédent. Les fantasmes du rêve inaccessible de Jerry déchiré par le départ de sa bien aîmée se présentent sous la forme d’un ballet de dix huit minutes qui couta un demi million de dollars. Sans dialogues ni chansons, s’y étale une succession de plans hommages aux illustres peintres français. De Raoul Dufy (place de la concorde), puis Jean Renoir (le marché au fleurs), le Douanier Rousseu (le pont et le jardin des plantes), et l’animation de l’affiche du Moulin Rouge de Toulouse Lautrec, qui complètent ceux répartis répartis précédemment dans le film, Utrillo, Manet et l’opéra de Van Gogh. Reposant sur un argument digne d’un roman photo (un jeune peintre tombe amoureuse d’une toute jeune fille de 19 ans qui va épouser un chanteur célèbre de vingt ans son ainé) Minelli livre pourtant un film d’une richesse inouïe, preuve de l’immense talent de ce cinéaste d’exception. Malheureusement le casting est quelque peu bancal. Si Gene Kelly, Oscar Levant et Nina Foch sont parfaits (sans oublier les trucculents rôles secondaires), Leslie Caron, malgré son charme juvénile (elle a l’âge du rôle) et sa gaucherie émouvante ne peut se mesurer à Cyd Charisse (qui enceinte, refusa le rôle) dont elle n’a ni l’élégance, ni le talent, ni le charme et encore moins la beauté. Arthur Freed et Gene Kelly (il l’avait découverte lors d’une représenation des ballets Roland Petit, un an auparavant), pensaient qu’une française devait tenir le rôle. De même, George Guétary, trop jeune (il a deux ans de moins que Gene Kelly) n’est pas un danseur et manque du punch qu’aurait apporté Maurice Chevalier, initialement prévu pour le rôle. Mais son passé de collaborateur (pourtant innocenté) pendant la deuxième guerre mondiale se heurta à un refus catégorique des patrons de la MGM et de Vincente Minnelli. Ce déséquilibre empêche le film, malgré toutes ses qualités, d’atteindre pleinement le rang de chef d’œuvre. « Un américian à Paris » remporta six oscars (dont celui du meilleur film) et reste, avec « Chantons sous la pluie » et « West Side Story » l’une des comédies musicales les plus célèbres de l’histoire.
    Hotinhere
    Hotinhere

    421 abonnés 4 743 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 décembre 2022
    Une merveilleuse comédie musicale de Minnelli, pleine de vie, d’amour et de couleurs, pastichant l’attrait des Américains pour la culture française avec Montmartre version Hollywood. Vainqueur de six oscars dont celui du meilleur film.
    Ricco92
    Ricco92

    176 abonnés 2 085 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 février 2020
    Un Américain à Paris est très certainement la comédie musicale la plus célèbre après Chantons sous la pluie (West side story étant un drame musical). Le résultat est bien évidemment magnifique (le ballet final de 17 minutes rendant hommage aux peintres impressionnistes français est juste splendide) même si son histoire, créée dans le but d’illustrer les chansons de George Gershwin, est très classique et représente un Paris de cartes postales totalement fantasmé et reconstitué en studio. On pourra d’ailleurs noter que, pour une fois pour une comédie musicale, il est peut-être plus judicieux de regarder l’œuvre en version française car celle-ci adapte les chansons dans la langue de Molière à l’exception de I got rythm annoncée dès le début comme une chanson américaine alors qu’il existe des incohérences de langage dans la version originale (le couple formé par Georges Guétary et Leslie Caron se parle en anglais alors que leurs personnages sont tous les deux français et que l'action se passe en France !). Malgré ces petits bémols, Un Américain à Paris reste un chef-d’œuvre du genre : la réalisation de Minnelli est splendide, les chorégraphies de Gene Kelly sont une fois de plus sublimes, les musiques et chansons de Gershwin sont belles et entraînantes (on y trouve notamment le célèbre ‘S wonderful et le poème symphonique donnant son titre au film) et le tout est porté par de belles prestations de comédiens (malgré l’accent français extrêmement prononcé de Gene Kelly lorsqu'il parle en français). Une belle réussite du genre même si on peut lui préférer des films comme Chantons sous la pluie ou, pour rester dans l’œuvre de Vincente Minnelli, Le Pirate.
    bobmorane63
    bobmorane63

    154 abonnés 1 898 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 septembre 2011
    Un film éblouissant !!! Je ne suis pas un fan de comédie musicale, la danse, c'est pas mon truc, j'ai vu "Un Américain à Paris" par curiosité pour le metteur en scène Vincente Minnelli et bien, le résultat, J'ai étais ébahit. La capitale de la France est généralement vu comme une ville romantique par les Américains, c'est le cas ici avec un Paris de l'aprés guerre mondiale filmé de façon desuet avec surement des décors fabriqué en studio. Une belle histoire d'amour entre un peintre Américain épris d'une belle Française qui a un autre fiancé et ami du premier. Et les musiques et pas de danse du magnifique Gene Kelly aussi bon comme acteur et chanteur et la jeune Leslie Caron, actrice Française dont c'était son premier role au cinéma, demeurant lumineuse. Les chorégraphies et la stylisation de mise en scène de Vincente Minnelli sont d'un morceaux de bravoure, noramment le dernier quart d'heure qui est en apothéose. Du grand cinéma.
    Freaks101
    Freaks101

    127 abonnés 619 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 31 janvier 2014
    Adaptation du poème symphonique de Gershwin, Hollywood brode un vague scénario prétexte autour de l’œuvre du compositeur. Au programme vie de bohème à Paris et triangle amoureux. Heureusement il y a le charme des numéros musicaux et de la mise en scène de Minnelli. Le film vaut surtout pour ses 20 dernières minutes, succession de tableaux musicaux décrivant les différents états d’âmes du héros, moment de cinéma absolument sublime, le film mérite d’être vu rien que pour ça.
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    160 abonnés 2 421 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 décembre 2016
    Un Américain à Paris est une comédie musical pas mal.
    L'histoire se tient, même si elle n'est pas forcément exceptionnelle.
    C'est le premier film que je vois avec Gene Kelly et je dois admettre qu'il est assez impressionnant. Il chante franchement bien, et il est bluffant en danse, sans parler d'un jeu d'acteur très correct. Les autres acteurs sont très convaincants.
    Les chansons sont pas mal, même si aucune n'est véritablement mémorable (surtout en comparaison avec d'autres chansons cultes de comédies musicales). C'est particulièrement dommage d'autant qu'une partie de la musique est tout de même signée George Gerschwin.
    Les scènes de danse sont très réussies, notamment la dernière, incroyablement longue (mais sans que l'on ne s'ennuie).
    Les décors parisiens sont assez beaux.
    Pourquoi pas, ce n'est pas la meilleure comédie musicale que j'ai vu, mais ça se regarde.
    Nicolas S.
    Nicolas S.

    77 abonnés 1 521 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 août 2018
    Regarder "Un Américain à Paris" après avoir découvert "Chantons sous la pluie", ce n'était peut-être pas une bonne idée. Car le film souffre la comparaison avec son successeur. Plus coloré, plus dynamique, plus fou, "Chantons sous la pluie" semble être l'aboutissement et "Un Américain à Paris" le brouillon.

    Mais un sacré joli brouillon, entendons-nous bien ! Car les scènes musicales entre Gene Kelly et Georges Guétary sont entraînantes et les chorégraphies de Gene Kelly sont toujours aussi agréables à regarder.

    Il y a un peu d'humour et surtout beaucoup de romantisme. On est en plein fantasme américain de Paris, représentée comme un repère d'artistes et de gens cultivés, amoureux de la belle vie et du raffinement. Même si c'est cliché, pourquoi pas après tout ? C'est une autre façon de rêver, en mettant de côté les défauts d'une ville pour se concentrer sur son image dans l'inconscient collectif.

    Cependant, le film a un côté un peu fade malgré ses qualités. La faute à une histoire classique, qui ne décolle jamais vraiment et qui n'a pas un brin de folie, et à son image très terne, des costumes aux décors. Même les personnages féminins ne sont pas très intéressants ...

    Le film est agréable cela dit mais il est surprenant qu'il ait pu décrocher l'Oscar du meilleur film en 1952.
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