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    Au service secret de sa Majesté
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    244 critiques spectateurs

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    Rotten Tomatoes
    Rotten Tomatoes

    92 abonnés 695 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 mai 2014
    J'entends les arguments contre George Lazenbi même si je ne suis pas trop d'accord avec ceux-ci. Cet acteur, ayant réalisé son seul James Bond (et ayant tué plus de monde que dans tous les précédents) a une classe et une présence indéniable. Le changement peut certes être dur mais il ne s'agit clairement pas pour moi du pire James Bond. 3,5/5
    HamsterPsycho
    HamsterPsycho

    92 abonnés 1 180 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 octobre 2019
    Assurément le James Bond le plus atypique: un acteur unique (George Lazenby), un épisode très porté sur les aventures sexuelles de James Bond, un mariage... Mais c'est aussi un 007 avec des scènes qui frisent le ridicule et qui extrêmement mal vieilli. Reste par contre la présence de Telly Savalas, très bon Blofeld.
    VOSTTL
    VOSTTL

    66 abonnés 1 778 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 mai 2022
    Je le dis d’emblée, je ne suis pas très James Bond.
    Je n’ai vu que 4 James Bond au cinéma et suis ressorti à chaque fois peu emballé.
    A la téloche, l’espion 007 n’est donc pas ma priorité. Je peux même m’en passer.
    Puisque j’ai la possibilité de tous les voir, je vais me contraindre à parfaire ma culture 007.
    D’où une naïveté parfois volontaire et sincère.

    « Au Service Secret De Sa Majesté »
    Sean Connery ne veut plus être James Bond dans ce 6ème épisode, réalisé par Peter Hunt.
    Il laisse sa place à un obscur inconnu George Lazenby.
    Obscur pour moi.
    Ne perdons pas de temps : je dois reconnaître que George Lazenby s’en est bien sorti ; il a su ne pas singer ou faire du Sean Connery. Il a imposé sa personnalité.
    George Lazenby est le premier James Bond à assurer la relève.

    Voilà un autre James Bond encore jamais vu (4 sur 6 ) !

    Après « Opération Tonnerre », j’avais remarqué que James Bond ne la ramenait pas devant les décisions de M ; là, sous les traits de George Lazenby, ce nouveau James Bond conteste.
    spoiler: Il prendra un chemin de traverse pour aller au bout de sa mission en s’associant avec Marc-Ange Draco (Gabriele Ferzetti ), un mafieux.


    Le générique fait défiler quelques brefs portraits de personnages qui ont marqué les cinq premiers épisodes, à commencer par celui de Sean Connery, puis on voit Dr No, Pussy Galore, Goldfinger par exemple tout en continuant de nous gratifier de formes féminines ombrées où l’on devine toujours avec gourmandise des poitrines dénudées.
    Un générique hommage à l'ère Sean Connery, en soi.

    Après les extravagances de « On ne vit que deux fois », on retrouve un récit plus classique, plus terre à terre spoiler: et sans gadget SVP !

    Ainsi, on découvre un nouveau James Bond relativement sobre pour affronter LE SPECTRE.

    Cette fois Blofeld apparaît sous les traits de Telly Savalas, le Kojak de mon adolescence ; sa menace relève de l’extravagance, par contre : spoiler: stériliser toutes vies végétales !

    Voire plus si ses requêtes ne sont pas prises en compte !
    Telly Savalas campe un Blofeld mobile, il n’est pas vissé à son fauteuil, pas replié sur lui-même comme dans l’épisode précédent. C’est un sportif aguerri puisqu’il assure en ski et en bobsleigh. Le spectateur peut profiter de ce mégalomane qui bénéficie de plusieurs séquences.
    Perché dans son antre au sommet d’une montagne alpine, spoiler: Blofeld, sous couvert de guérir des allergies, forme des jeunes femmes appelées « les Anges de la Mort », pour accomplir son méfait diabolique.

    Bref, un Blofeld qui se bouge en participant activement à contrer la mission de James Bond.

    On a droit à quelques poursuites de bonne facture, j’ai retenu celle avec Tracy au volant de sa voiture avec une scène de stock-car sur glace bien menée.
    Après l’attaque finale qui n’avait rien d’exceptionnelle, spoiler: s’ensuit une poursuite en bobsleigh assez prenante.


    Après « Goldfinger », j’avais réalisé qu’il ne fallait pas trop se poser de questions, ici avec « Au Service Secret de Sa Majesté », je réalise qu’il faut appréhender James Bond comme une BD.
    La scène d’introduction sur la plage où James Bond se bat contre des truands relève de la BD : suite aux coups de poings, les corps semblent s’élever du sol avec exagération et le son desdits coups de poing est tellement appuyé que ça en devient risible.
    On imagine sans peine des « Pif ! » « Paf ! » « Bing ! ».
    Du reste, l’issue finale de la poursuite en bobsleigh (je n’en dirai pas plus) me renvoie à un dessin animé ou un film loufoque.

    C’est pourquoi, je suis assez mitigé sur ce 6ème volet ; j’ai eu du mal à le prendre au sérieux, j’avais l’impression que c’était fait exprès. Même si Blofeld est bien présent, sa présence ne dégage aucune anxiété.
    C’est assez sage.
    spoiler: Pourtant la conclusion du récit renvoie au drame.

    « Au Service Secret de Sa Majesté » est un film bâtard, en ce qui me concerne.

    La James Bond Girl ?
    Diana Rigg sans contestation aucune dans le rôle de la comtesse Teresa, dit Tracy.
    Diana Rigg, autre souvenir de mon adolescence : «Chapeau melon et bottes de cuir » ! Emma Peel ! Inoubliable.
    spoiler: Non seulement Diana Rigg a eu l’honneur d’être une James Bond Girl, mais elle fut la première James Bond Girl mariée à l’agent 007.

    Plus exactement, Tracy.
    Ce n’est pas rien !
    Quel privilège !

    Avec le recul, c’est à se demander si le personnage Tracy peut être considéré comme une James Bond Girl ?
    spoiler: Justement, à propos de ce mariage, je me demande si cela aurait marché avec l’acteur Sean Connery dans l’esprit des fans ?

    Ça me semble plus plausible avec un nouveau visage, profiter de George Lazenby pour franchir le pas.
    Cette remarque n’engage que moi.

    J'en reste à "Bons Baisers de Russie"...

    A voir en V.O, si possible pour Diana Rigg.
    soulman
    soulman

    69 abonnés 1 154 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 juin 2020
    Même si la fin est assez palpitante, avec des poursuites à ski à couper le souffle, même si la musique est de qualité tout comme le cinémascope, même si Lazenby est plus qu'à son aise dans le rôle de Bond, même si Diana Rigg est la plus divine des James Bond girls et Telly Savalas un superbe méchant, ces aventures de l'agent 007 souffrent de longueurs qui nuisent au rythme du film. Les scènes au centre de recherches auraient gagné à être plus brèves et moins nombreuses, de même que rien ne justifie que le tout dure plus d'1h30...
    Kalie
    Kalie

    53 abonnés 967 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 28 janvier 2016
    Ce James Bond est assez déroutant. Pour sa seule apparition dans le rôle de l’agent 007, le sentimental George Lazenby est plus proche de Roger Moore que de Sean Connery. Les clins d’œil aux précédents films sont plaisants, comme la réplique « Ça ne serait jamais arrivé à l'autre » en référence à Sean Connery, ou la ceinture et le couteau d’Ursula Andress dans les souvenirs de notre agent secret. Il est regrettable que l’histoire soit si longue à se mettre en place. Le film fait du surplace avec les tergiversations entre George Lazenby et l’inoubliable Diana Rigg de « Chapeau melon et bottes de cuir ». A ce moment là, le film s’avère un peu difficile à suivre et bavard. Heureusement, il décolle véritablement en Suisse spoiler: (courses-poursuites en skis, en bobsleighs, au milieu d’une course de voitures sur glace, etc.).
    A défaut d’exotisme, la photographie rétro du film met en valeur la Suisse et ses paysages enneigés. C’est un plaisir de retrouver Telly Savalas (« Kojac ») en méchant mégalomane. Son acolyte avec un accent germanique caricatural est aussi pas mal dans le genre. Il s’agit du seul film dans lequel James Bond est marié (pas longtemps !), et la première fois que l’on assiste à une fin aussi brutale et tragique. Malgré ses défauts, il s’agit de l’un de mes vieux James Bond préférés.
    Dora M.
    Dora M.

    49 abonnés 479 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 mai 2021
    James Bond (George Lazenby) a retrouvé la trace de Blofeld en Suisse où celui-ci travaille sur un virus visant à détruire toute forme de vie sur terre.
    L’histoire ne manque pas d’intérêt mais l’intrigue met du temps à décoller notamment toute la première partie où Bond se fait passer pour un spécialiste de la généalogie et fait la rencontre de plusieurs femmes venues se soigner dans l’institut de Blofeld. Plusieurs scènes sont un peu inutiles et nuisent au rythme général.
    spoiler: A partir du moment où l'identité de Bond est découverte
    , le film décolle et on retrouve plusieurs scènes d’action assez spectaculaires, notamment la poursuite à ski, surtout quand on connaît les moyens limités de l’époque en termes d’effets spéciaux.
    Le personnage principal féminin spoiler: dont Bond tombe amoureux (!)
    , Tracy (Diana Rigg), est sympathique et attachant.
    A noter : l’absence de gadgets, il y a également beaucoup moins d’humour.
    J’ai malgré tout globalement bien aimé ce film qui présente des touches d'originalité par rapport aux autres.
    cylon86
    cylon86

    2 259 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 janvier 2014
    Sans aucun doute le film le plus atypique de la saga James Bond, "Au service secret de sa Majesté" voit George Lazenby remplacer Sean Connery dans le rôle principal et nous montre un 007 moins cynique et plus sensible, allant même jusqu'à tomber amoureux et à se marier. Si cette idée de faire évoluer le personnage est à saluer, on déplorera malheureusement l'intrigue qui manque de rythme et certains défauts comme le fait que Blofeld (incarné par un Telly Savalas nettement moins bon que Donald Pleasence) ne connaisse pas Bond alors qu'ils se vus lors du précédent film. Si George Lazenby n'arrive pas à la cheville de son prédécesseur, il fait ce qu'il peut mais il faut surtout compter sur le scénario qui se déroule quasiment tout le temps en Suisse et sur les scènes d'actions rythmées par une excellente partition musicale pour que le divertissement soit apprécié.
    Julien D
    Julien D

    1 107 abonnés 3 461 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 juillet 2013
    Suite au départ retentissant de Sean Connery de la franchise, les producteurs furent le choix très contesté de le remplacer par un illustre inconnu, un mannequin australien du nom de George Lazenby. Malheureusement, l’aura de James Bond était devenue, aux yeux du grand public au moins, indissociable de celle de Sean Connery et le scénario a dû multiplier les clins d’œil aux précédents épisodes et en engageant Diana Rigg, célèbre pour son rôle dans Chapeau melons et bottes de cuir, pour faciliter ce changement d’acteur. Mais il n’y a pas que l’interprète qui soit renouveler dans ce sixième film, puisque le caractère libidineux de 007 est cette fois davantage prétexte à des scènes amusante qu’à une imagerie sensuelle et que l’intrigue se scinde entre une partie entièrement axée sur sa relation, pour une fois plus passionnelle que charnelle, avec une James Bond Girl dépressive et une autre partie narrant son sempiternel affrontement contre Blofeld, ici incarné par un Terry Savalas impressionnant, offrant l’une des scènes d’actions les plus mémorables de la saga, celle de la course-poursuite en skis. Ces deux trames allant se mêler dans la dernière demi-heure, celle-ci est source d’un suspense haletant et une conclusion d’une charge dramatique surprenante. Cette agréable tentative d’approfondir la psychologie de l’agent secret au détriment du schéma scénaristique classique engendra un film dans l’ensemble très mal rythmé, commercialement trop mal reçu pour que soit renouvelé le contrat de Lazenby qui, de toute façon, n'avait pas la prestance adéquate pour ce rôle.
    dougray
    dougray

    207 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 février 2008
    Une petite déception ! Ce James Bond "maudit" accumule les erreurs avec des effets de mise en scène ratés (les accélérations soudaine de l'image notamment !), un Blofeld (incarné pourtant par l'excellent Telly Savalas) beaucoup trop actif et donc beaucoup moins impressionnant, une absence quasi-totale de gadgets, un scénario un peu brouillon mais surtout une énorme erreur de casting ! L'inconnu George Lazenby, qui remplace l'irremplaçable Sean Connery, ressemble plus à un grand dadais mal à l'aise dans ses costumes (assez ridicules en plus comme le kilt) qu'au flegmatique 007. Il faut le voir draguer comme un gros lourd ou lire Playboy puis subitement tomber amoureux ! Sans classe, sans charme et surtout sans charisme, il ne parvient pas à faire oublier le légendaire Sean. Malgré tout, ce 6e Bond recèle bien des qualités et innove sur plusieurs points : on assiste à la 1ere poursuite à ski de la série (les décors sont d'ailleurs magnifiques), la James Bond girl (Diana Rigg, très bien) restera dans l'histoire comme la femme de James Bond, la fin est étonnement tragique... Mais, en plus d'une excellente BO, c'est davantage les petits clins d'oeil qui sont appréciables avec la scène où 007 vide son bureau (et tombe sur des objets de ses missions précédentes), la révélation de la devise de la famille Bond (Le Monde ne suffit pas...) et l'amusante réplique que Lazenby balance en voyant Tracy le fuir ("Ca, ce n'est jamais arrivé à l‘autre") permettant de faire le lien avec Sean Connery de façon originale. Reste que ce film, à vouloir à tout prix éviter le spectaculaire au profit du réalisme et des personnages, ne ressemble pas assez à un James Bond.
    brqui-gonjinn
    brqui-gonjinn

    82 abonnés 955 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 décembre 2012
    Première et unique apparition de l’acteur George Lazenby dans le rôle de l’agent secret britannique, les spectateurs, n’ayant pas appréciés le départ de Sean Connery, avaient décidés de bouder cette nouvelle mission lors de sa sortie en salle. Jugé comme étant le plus mûr de la saga par un grand nombre, "Au service secret de sa Majesté" est surtout le plus niais. James Bond est amoureux ! Et toute la première partie nous le fit lourdement comprendre, les balades à cheval dans les vergers fleuris, les « gouzigouzi » (à scène cucu, expression cucu), on s’ennuie ferme et le mythe autour du personnage en prend un coup. Les scènes de corps à corps sont décevantes, le montage saccadé les tendant vieillottes par rapport aux précédents opus. Fort heureusement tout n’est pas à jeter et l’intrigue se met rapidement en place dans une seconde partie où on retrouve enfin notre héros. Et cette fois-ci 007 est en confrontation directe avec le n°1 du Spectre, le machiavélique Bloefeld, alors que ce dernier met au point un virus mortel dans le but d’éradiquer toute vie végétale. Le cadre montagnard est sympathique et voir James Bond réellement en difficulté face à son ennemi juré est plaisant. Il est difficile de rentrer dans cette histoire mais au final mais c’est un divertissement qui reste correct.
    matt240490
    matt240490

    71 abonnés 1 059 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 avril 2012
    Au service secret de sa Majesté est le 6ème film présentant James Bond, après On ne vit que deux fois et avant Les diamants sont éternels. Sean Connery n'étant plus dans le rôle, c'est cette fois-ci George Lazenby qui se met sous les traits de l'agent 007 et, fait ironique, c'est là l'un des meilleurs pour le moment, avec Opération Tonnerre. Situé chronologiquement avant le 6ème, cet opus oppose 007 à Blofeld une fois de plus, son ennemi juré. Le cadre se déroulant dans les Alpes, nous avons notamment droit à des poursuites en ski, des calins près de la cheminée et des enquêtes au pays de la glace. Un film correct dans l'ensemble.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 10 août 2019
    L'épisode détonateur de la saga d'employé secret britannique au service de sa Majesté, la Reine Elisabeth II en 1969. Madame la régente confie une mission top secrète à ce nouveau postulant après que Sean Connery laissa le poste vacant, l'unique prestation de George Lazenby. Un acteur au ton neutre qui sait donner de bonnes roustes, très et trop fort en tant qu'agent, viril macho comme à son habitude, la décennie 60 se termine. Il reprend l'héritage laissé par son prédécesseur, la mise en scène et le style est une continuité, l'intrigue se déroule en Suisse, pays de neige montagne pour faire du ski de vacances et opérer des missions souterraines. Il se trame quelque chose avec les méchants comploteurs contre la souveraine et le monde, sur un terrain impartialement neutralisé. D'un scénario classique intéressant passera au drame, James Bond commence à boire beaucoup, fumer et les femmes, sa douleur, une chute finale terriblement marquante, la tragédie anglaise just married. Mes tops acteurs dans ce rôle changeable, bon vieux Timothy Dalton, Pierce Brosnan, Sean Connery avait le costume taillé.
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    66 abonnés 1 656 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 août 2018
    Unique James bond avec cet acteur et on se demande bien pourquoi tant il est parfaitement crédible en agent 007. Il y a certes des longueurs dans cet opus mais aussi pas mal d'humour et des poursuites en ski encore palpitantes aujourd'hui. La fin est assez surprenante et sort du coup des sentiers battues de la licence. Une certaine mélancolie dans ce JB....
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 5 février 2015
    Un 007 vraiment à part dans la collection, à plus d'un titre : interprète unique et remercié après cet épisode, ton beaucoup plus mélancolique que d'habitude...Un film très inégal, alternant anthologie (un des meilleurs génériques de la série, Diana Rigg, poursuite en bobsleigh, dénouement inattendu) et bide total (bagarres mal filmées, scénario qui patine au début du film, passages dans la clinique suisse...). Inégal donc, à l'image de G. Lazenby, James Bond crédible et pas mauvais en soi mais qui fait tout foirer avec ses tenues vestimentaires douteuses (pull orange, costumes marrons, kilt écossais) et sa façon plouc de manger le caviar. Un film a moitié réussi, mais une curiosité devenue collector avec le temps. Verdict : naturellement incontournable pour tout jamesbondphile !
    Chevtchenko2
    Chevtchenko2

    39 abonnés 1 140 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 septembre 2009
    Sixième opus de la saga Bond et premier gros changement avec le remplacement de Sean Connery par George Lazenby. James Bond est toujours à la recherche de Blofeld, le n°1 du spectre. Il découvre finalement qu'il se trouve en suite où il a ouvert un centre médical où il développe secrètement un poison permettant la fertilité végétale. Si Lazenby ne s'en sort pas trop mal (difficile de passer après Sean Connery tout de même !), le scenario est quant à lui un peu simple quoiqu'un intéressant. Le gros point faible du film reste son rythme. Si le début est extrêmement mou (il faut environ 45 minutes pour comprendre ce que James Bond veut faire), la fin est au contraire un déluge d'actions (deux course poursuites en ski, une en voiture, une autre en bobsleigh et un assaut final !! Rien que ça !). Bref un gros problème de rythme et un film qui traine en longueur malgré une fin intéressante pour un James Bond moyen au final.
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