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    La Barbe à papa
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    4,2
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    30 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 27 novembre 2020
    Quel film remarquable, que ce soit sur le plan formel, un magnifique et lumineux noir et blanc, ou sur le plan du fond, un espèce de road trip amoral réunissant une orpheline démoniaque et un adulte détestable, qui vont ensemble battre la campagne et vivre de petits larcins. Réalisé en 1973, le film présente néanmoins une action située dans les années 30: le mariage entre imitation des films d'époque et moyens techniques bien plus modernes est admirable. On assiste à un festival de situations et de dialogues qui transgressent allègrement l'éthique caractéristique de l'âge d'or du cinéma américain, en plus d'être tour à tour comique, touchant, spectaculaire (poursuite en voiture d'époque !) et particulièrement bien interprété. Un vrai délice, et une réussite de bout en bout !
    Serge K
    Serge K

    10 abonnés 347 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 novembre 2020
    Merveilleux moment de cinéma, tout y est, une excellente interprétation, de l'émotion, du rire, de l'action, et un film de 1973 qui n'a pas rit une ride
    Hotinhere
    Hotinhere

    425 abonnés 4 756 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 février 2020
    Ryan O'Neal et sa fille Tatum (oscarisée à l'occasion) forment un duo d'escroc génial dans
    cette fable humaniste et pleine de tendresse, magnifiquement mise en scène par Peter Bogdanovich.
    Alain D.
    Alain D.

    499 abonnés 3 208 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 décembre 2019
    Une très bonne Comédie en N&B, brillamment dirigée par Peter Bogdanovich. Le scénario intéressant nous conte le road-trip d'un duo improbable de chapardeurs au Texas dans les années 30. L'histoire est émouvante, nous offrant quelques scènes d'action et beaucoup d'humour. La comédienne Tatum O'Neal, Oscarisée pour ce film, interprète formidablement le rôle de Addie, l'hallucinante petite fille de 10 ans. Ryan O'Neal se révèle lui aussi excellent dans son personnage a multiples facettes.
    chrischambers86
    chrischambers86

    12 073 abonnés 12 157 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 novembre 2019
    il n'y a pas deux films pareils à celui-là dans l'histoire du cinèma! Peter Bogdanovich, dans le magnifique "Paper Moon", nous conte les exploits d'un couple d'escrocs inhabituel, car composè d'un homme et d'une fillette! Le rèalisateur de l'inoubliable "The Last Picture Show" essaye de film en film, de retrouver les secrets de la comèdie amèricaine des annèes 40! Son "Paper Moon" avec Ryan et Tatum O'Neal est une formidable rèussite dont la mise en scène sait être discrète mais n’est jamais dèpourvue de virtuositè! Exercice de style sur l'èpoque de la dèpression èconomique avec un jeune metteur en scène qui se cherche dans le passè! Jamais son mètrage ne sombre dans le mèlo ni dans la mièvrerie! C'est au contraire un film plein d'humour qui fait preuve d'une belle ènergie! De plus, l'ensemble de l'interprètation est digne d'èloge! Ryan O'Neal est remarquable comme c'est souvent le cas! Mais c'est sa fille à la ville, Tatum O'Neal, qui nous èblouit de son talent prècoce et hors-norme en reportant à seulement dix ans l'Oscar de la meilleure actrice dans un second rôle! Essentiel de Bogdanovich, "Paper Moon" est donc un road-movie plein de charme et sans bavure aucune comme on n'aimerait en voir plus souvent...
    Min S
    Min S

    50 abonnés 437 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 juin 2018
    Excellent film, un duo très particulier dans les années ‘30 nous offrent beaucoup des situations et des comportements très différents à notre époque d’aujourd’hui. Un film dynamique et drôle !
    Je conseille vivement de le voir en famille ;)
    Bertie Quincampoix
    Bertie Quincampoix

    76 abonnés 1 737 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 novembre 2017
    Cette comédie tendre, drôle et légèrement subversive nous fait suivre les aventures d'un improbable duo d'escrocs dans les États-Unis de la Grande Dépression, que le destin va réunir : un homme dans la trentaine et une petite fille espiègle d'une dizaine d'années, qui est à la recherche d'un père (et d'une famille) de substitution. Interprétés par Ryan et Tatum O'Neal, père et fille dans la vraie vie, les personnages principaux sont très complices et cela se ressent de manière très agréable. Hommage au cinéma de l'âge d'or hollywoodien, le film bénéficie d'une superbe photographie noir et blanc signée László Kovács.
    fabrice d.
    fabrice d.

    22 abonnés 1 392 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 octobre 2017
    Ce film est une vraie comédie à l'américaine.
    Plongé au début du siècle dernier, on se croirait presque dans un film muet à la Charlie Chaplin. Pourtant ce n'est pas une suite de gros gags, juste quelques poursuites en voitures, des gentils escrocs et une kyrielle de personnages rencontrés durant ce road trip où un "père" ramène sa fille chez sa tante. Se ne connaissant pas ils vont se découvrir rapidement, notamment des points communs, et malgré une entente en dents de scie, la petite fille étant d'un caractère très affirmé pour ses 9ans, une belle relation de complicité va naître entre ces 2 là.
    A noter que le père et la fille sont réellement père et fille dans la vraie vie, Ryan O'Neal et Tatum O'Neal. Le film est en noir et blanc mais ce n'est pas du tout gênant.
    On se demande d'où vient ce titre de barbe à papa même si on aperçoit la petite fille en manger une dans une fête.
    Housecoat
    Housecoat

    102 abonnés 392 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 octobre 2017
    Parmi les réalisateurs reconnus du Nouvel Hollywood lancés par Roger Corman, il y a Peter Bogdanovich qui s'était illustré notamment avec La Cible et La Dernière Séance. C'est en 1973 qu'il réalisa son film le plus reconnu: La Barbe à papa (Paper Moon est quand même bien plus parlant) qui raconte la virée à travers les Etats-Unis des années 30 en pleine Grande Dépression d'une petite fille orpheline et d'un escroc notoire qu'elle prend pour son père, les deux vont bien entendus s'entraider et vont passer de coups fumants à coups fumant, oubliant complètement leur mission première pour rester ensemble. Ce road-movie retranscrit idéalement bien que d'une façon assez éclipsée la pauvreté de l'Amérique en pleine déprime (le choix du noir et blanc est parfait), les deux protagonistes n'hésitent pas à filouter leur argent à de pauvres gens honnêtes pour subsister tandis que les individus les plus moralement douteux s'en sortent indemnes. Les deux compères sont dans l'entre-deux, gardant même avec certaines hésitations des scrupules qui maintiennent notre attachement. Leur relation qui n'est au départ motivée que par l'appât du gain devient au fur et à mesure une véritable relation père-fille, et c'est justement le fait qu'il s'agisse d'un lien familial qui ne s'assume jamais qui la rend aussi forte (les deux ne s'avoueront jamais, pratiquement à demi-mot la teneur de leur lien, c'est par des actes dissimulées qu'elle se dévoile au spectateur). Relation père-fille rendue savoureuse, triste, mignonne et drôle par le duo Ryan et Tatum O'Neil que Bogdanovich n'hésite pas à placer dans des plan-séquences (chaque plan dans la voiture, une véritable arlésienne) pour démontrer tout leur talent. La Barbe à papa est une perle du Nouvel Hollywood, témoignage d'une époque triste enveloppant un fragment de lumière qui la rend à la fois mélancolique mais tellement charmante.
    Patacide
    Patacide

    3 abonnés 57 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 mai 2018
    Très belle surprise! Un road-movie sympathique, intéressant et parfois drôle. Les personnages sont attachant surtout Addie et Moses à sa façon, et leur relations évolutive est sympa. Les combines un peu loufoques, la rudesse des sentiments dans certains Etats amènent un certain charme à la trame.
    Arthur Debussy
    Arthur Debussy

    129 abonnés 675 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 octobre 2017
    « La Barbe à Papa » fait partie de ces belles surprises de cinéma qui m'enchanteront toujours et qui prouvent combien cet art est précieux. Diffusé récemment sur Arte, j'hésitais à le regarder, le résumé comme l'affiche ne payant pas de mine. Mais devant certaines critiques laudatives, j'ai franchi le pas et je ne le regrette pas du tout. Qu'est-ce que j'aurais manqué ! J'avais découvert Peter Bogdanovich avec « La Dernière Séance », un très beau film nostalgique, mais je n'avais pas creusé davantage sa filmographie. Grossière erreur ! « La Barbe à papa », ou « Paper Moon » originellement, est un film remarquable, au scénario intelligent, aux prises de vues superbes et aux acteurs remarquables.

    Tout d'abord, quelle photographie ! László Kovács, sur les conseils d'Orson Welles en personne, nous offre un sépia à la fois chaleureux et au contraste saisissant. En outre, les cadrages et les prises de vues sont magnifiques. Les grands espaces américains sont sublimés, tout comme le visage d'acteurs particulièrement télégéniques. Venons-en justement au duo d'acteurs principaux : Ryan O'Neal et sa fille Tatum O'Neal. Le premier est comme transformé. Je le connaissais dans deux rôles qui l'ont enfermés dans une caricature de lui-même et l'ont poursuivi toute sa vie, ceux de « Love Story » et « Barry Lyndon ». Tantôt bellâtre de service et arriviste arrogant, je le croyais cantonné à ce genre de rôle mono-expressifs et sous-estimais son talent et sa capacité à faire passer toute une palette de sentiments nuancés. Ici il semble libéré de tout carcan, Bogdanovich lui offrant la possibilité d'exprimer tout son art, dans un rôle d'arnaqueur à la petite semaine réjouissant au possible. Mais la véritable héroïne du long métrage, c'est sa fille Tatum, dans le rôle d'une fillette plus maline que les adultes qu'elle croise sur sa route, jamais à court d'idées pour tenter de se sortir de la vie difficile à laquelle l'ont voués ses parents. L'âme de ce film, c'est cette relation d'amour père-fille toute en retenue. Moses Pray (Ryan O'Neal) peine à accepter au début l'irruption de la petite Addie (Tatum O'Neal) dans sa vie, mais peu à peu ils vont s'apprivoiser, sans jamais qu'on assiste à des effusions larmoyantes. Bogdanovich a en effet la finesse de mettre en scène des sentiments doux-amers, sans verser dans l'excès. Pourtant « La Barbe à papa » regorge d'émotion contenue (ce qui ne le rend que plus fort et touchant), de l'esthétique somptueuse à la complicité évidente, l'air de rien, qui unit les deux acteurs principaux, sans compter qu'il réserve des moments de franche rigolade des plus appréciables.

    Beaucoup limitent Bogdanovich à un statut d'habile copieur, comme s'il ne faisait que rendre hommage à ses maîtres. Certes il le fait, et de quelle manière ! On est à des années lumières de la bêtise crasse d'un Tarantino ou du formalisme assez vide d'un Godard. Il donne vie à un style qui lui est propre, en s'appuyant sur une esthétique classique, au noble sens du terme, magnifiant l'image et déployant une direction d'acteurs aux petits oignons. Mais plus encore, il s'appuie sur un scénario à plusieurs niveaux de lecture, ce qui fait de « La Barbe à papa » un film beaucoup plus riche qu'il n'y paraît. Certes il s'agit d'une histoire de paternité attendrissante, mais elle possède un arrière fond social des plus intéressants : nos héros évoluent dans l'Amérique déclassée des années 1930, dévastée par la crise financière de 1929. On comprend que nos deux vagabonds peinent à gagner leur vie dans un contexte si difficile ! Cet état de fait joue donc les acteurs de premier plan dans cette histoire, impossible de s'abstraire du climat économique et social d'alors. Cette situation permet également à Bogdanovich de traiter un thème si cher aux années 70, celui de l'errance et d'une certaine liberté. Moses et Addie se retrouvent en effet à arpenter de long en large les États-Unis dans leur voiture décapotable, dans des scènes qui ne sont pas sans rappeler Arthur Penn, Terrence Malick première époque, Wim Wenders ou plus près de nous Jim Jarmusch. Le rythme du film est tout autant caractéristique : lent et contemplatif, il est à l'image de la poésie de l'ensemble. Sans parler de la liberté de ton du présent long métrage : pour gagner leur croûte, Moses et sa supposée fille revendent à prix d'or des bibles à des veuves venant de perdre leur mari. Difficile de trouver plus cynique et plus drôlement saugrenu à la fois. D'autant qu'on voit la petite Addie fumer de temps en temps (à 9 ans !), le tout est donc au diapason de l'ambiance contestataire des années 70 ! Pour autant Bogdanovich ne tombe pas dans les clichés exaspérants de certains films d'alors : tout se tient, dans une grande cohérence et une grande simplicité des plus admirables.

    En résumé, « La Barbe à papa » est un film profondément original et iconoclaste, complètement libre tout en rendant hommage aux géants du Septième art. Bénéficiant d'un scénario profond et rafraichissant au possible, porté par des acteurs charismatiques, c'est une réussite de bout en bout, et l'on comprend que Bogdanovich eut le plus grand mal à la répéter...
    Carlos Stins
    Carlos Stins

    69 abonnés 657 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 octobre 2017
    Road trip sous fond de relation père/fille, "La barbe à papa" est un film bien mené mais sans coup de génie. Cette relation père/fille est plutôt bien retranscrite, le film arrivant à générer de l'émotion avec beaucoup de justesse sans en faire trop. Les deux acteurs principaux s'en sortent très bien et le choix d'avoir engagé la véritable fille de l'acteur s'avère judicieux. Le film manque toutefois de rythme et peine à se renouveler en devenant trop prévisible dans l’enchaînement de sa narration. De plus le choix d'une Amérique des années en 30 en pleine crise comme toile de fond était une idée intéressante sur le papier mais ce thème s'avère être sous traité dans le film à ma grande déception. A noter tout de meme une utilisation très élégante du noir et blanc qui donne un certain cachet au film. Je ne considère personnellement pas "La barbe à papa" comme un film majeur, mais ça ne m'a pas empêché de passer un bon moment devant ce long-métrage sympathique à défaut d’être inoubliable.
    soulman
    soulman

    69 abonnés 1 154 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 septembre 2017
    Un très beau film de Bogdanovich, parcouru par un souffle de mélancolie à fleur de peau mais jamais envahissante. Une évocation sans concession, aussi, de la terrible dépression de l'entre-deux guerres, sur fond de paysages désolés, à perte de vue. Peut-être le meilleur rôle de Ryan O'Neal à qui sa fille Tatum donne une réplique convaincante, créant l'un des personnages d'enfant les plus attachants du cinéma outre-atlantique des années 70. La photo en noir en blanc est qui plus est splendide, tout comme la mise en scène au plus près des comédiens.
    steely_dan_76
    steely_dan_76

    14 abonnés 340 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 septembre 2017
    On passe un excellent moment en regardant ce film plein d'humour et à la photographie superbe. Un road movie qui nous plonge au coeur des années 30 avec les pétillants O'Neal père et fille. A voir.
    ATHMOS.ONER
    ATHMOS.ONER

    141 abonnés 259 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 septembre 2017
    Filmé en noir et blanc en 1973, réalisé par Peter Bogdanovich et traitant de l’Amérique des années 30 : sur le papier, tout cela semble foutument casse gueule et rétrograde. Pourtant, « Paper Moon » est une pépite rare et méconnue qui s’avère être un chef d’œuvre !
    L’adaptation du roman de Joe David Brown est intelligente et offre un scénario simple en apparence et pourtant non dénué de subtilité. Par exemple ; la grande dépression est présentée en toile de fond, de façon qui peut sembler légère, mais si l’on cumule les nombreux détails disséminés tout au long du film (passages radio, passants sur la route, fermiers...) et si l’on ajoute la galerie de personnages secondaires rencontrés durant ce road trip, on obtient une vision assez juste de la vie en Amérique à cette époque.
    Cependant, le cœur du film n’est pas là, les projecteurs sont braqués sur la relation aussi improbable que très haute en couleur entre Moses et Addie, portés à l’écran par les talentueux Ryan O'Neal et Tatum O'Neal, qui, comme leur nom l’indique, sont réellement père et fille dans la vie. Cela n’est pas nécessairement un atout, sauf si le duo fait mouche à l’écran… Et là, ça n’est rien de le dire : tout fonctionne à merveille et la fille parvient même à voler la vedette à son père grâce à une prestation qui surclasse tous les jeux d’acteurs d’enfants que j’ai pu voir à ce jour ! Cette fille est d’un naturel et d’une assurance hors norme et la justesse avec laquelle elle porte son personnage à l’écran vaut, à elle seule, d’aller voir le film.
    L’inversion des rapports entre l’adulte (qui ère d’une escroquerie à une autre sans plan préétabli) et la fille (qui a compris les mécanismes de la vie et qui aide son partenaire) est un régal d’impertinence.
    Bien que minimalistes, les dialogues et les répliques sont percutants. Les joutes verbales vont bon train, souvent sur le ton d’une « screwball comedy » dynamique et enjouée, sans jamais appuyer trop fort sur les effets de la comédie.
    Cette justesse se retrouve par ailleurs dans le traitement des passages dramatiques qui n’en rajoutent jamais plus que nécessaire. Le film navigue avec élégance et avec une facilité déconcertante entre les éléments comiques et dramatiques, l’ensemble est parfaitement équilibré et ne sombre jamais dans la complaisance.
    En bonus non négligeable, la photo est sublime. László Kovács nous livre un noir et blanc très contrasté, digne des meilleures productions d’Hollywood des années 30. L’effet rétro est tellement bien réalisé dans que l'on croirait un film d'époque de Charlie Chaplin !
    Les cadrages léchés mettent en avant les personnages et les situations cocasses, de jour comme de nuit.
    Certaines scènes sont tout bonnement magnifiques, notamment lorsqu’Addie fume, elle est vraiment très troublante et l’image est superbement belle.
    Ne manquez pas de voir une fois dans votre vie cette pépite emprunte d’humanité et de maestria.
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