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    Paris S'Éveille
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    2,6
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    6 critiques spectateurs

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    Backpacker
    Backpacker

    53 abonnés 780 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 avril 2007
    Difficile de rester insensible devant ses deux jeunes à la dérive qui finiront par réaliser leur rêve... On apprécie la réalisation nerveuse d'Olivier Assayas et l'excellent jeu d'acteur de Thomas Langmann et Judith Godrèche... Celle-ci, troublante à souhait dans la peau de la junkie Louise, se voit offrir, et de loin, un des ses meilleurs rôles... Vif et frais, "Paris s'éveille" est une merveille...
    Flavien Poncet
    Flavien Poncet

    208 abonnés 1 024 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 mai 2007
    Troisième film d’Olivier Assayas, «Paris s’éveille» (France, 1991) possède déjà la singularité de mise en scène d’un grand cinéaste. Tout en s’inspirant de la Nouvelle Vague par la distribution et la direction d’acteurs, Assayas met en scène son film d’une manière originale, scindant les espaces, soustrayant la vivacité des couleurs aux teints pâles de son univers. Les images ne s’encastrent pas d’une façon automatique, elles se dissolvent les unes dans les autres. Et c’est ainsi que s’opère l’ouverture d’espace du film, tout comme l’appartement de Clément (Jean-Pierre Léaud) qui sépare l’action et la caméra puis qui, in fine, figure l’élargissement des horizons des personnages. Adrien, interprété par le talentueux Thomas Langmann, passe du petit délinquant au grand voyageur fugueur, Clément, du père transit à l’homme posé et amoureux. Mais c’est le personnage de Louise (le meilleur rôle de Judith Godrech), centre affectif de «Paris s’éveille» qui figure la plus grande évolution passant de jeune fille en quête d’identité à présentatrice reconnue de la météo. Tout s’élargie, tout ne s’améliore pas mais tout prend de l’ampleur. C’est l’imperceptible évolution des choses qui saigne le film. L’entrecroisement des amours, s’entortillant autour de l’ambition calme de Louise, possède au travers de l’œil d’Assayas le teint d’une Nouvelle Vague, la vérité de la foule parisienne, mais aussi les doux affres du commun. Denis Lenoir, directeur de la photographie et Luc Barnier, monteur participent avec brio à l’ambiance réduite du film. Et c’est ainsi, en montrant un petit groupe de personne cloisonné dans des «communautés» anti-sociales qu’Assayas montre le crépuscule de Paris, comme laissant en suspend son réveil, le jour où Paris s’éveillera.
    soulman
    soulman

    67 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 septembre 2012
    Très beau film d'Assayas, magnifique hommage à Paris, superbement joué par Jean-Pierre Léaud (pléonasme).
    leparrainz
    leparrainz

    9 abonnés 192 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 mai 2007
    Une judith Godrèche et un Thomas Langmann en pleine forme por exprimer les amours éphémeres peuplant l'adolescence. La naissance d'un amour qi sera comme tojors fatal à Judith. Toujours l'homme qui s'en va et refuse d'emmener la fille aussi, classique mais bien interprété pat Langmann et Léaud.
    Des gens qui se cherchent, peu qui se trouve. On avance dans le film avec les nombreux matins parisiens qui nous sont présentés. Malgré quelques longueurs, le film reste intéréssant et on attend avec impatience un dénouement, quelqu'il soit.
    Et pourtant, le drame. Un fin des plus mauvaises jamais enregistré par le cinéma à travers toute la france , une fin sans rapports, sans utilité, coupé net, d'un coup sec.
    Dommage que la fin dévalorise largement l'effort prolongé durant tout le film.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 26 août 2012
    Louise (Judith Godrèche) et Adrien (Thomas Langmann) ont le même âge et la même coupe de cheveux. Ils s'attirent, forcément. Manque de pot, elle est la compagne de son père (Jean-Pierre Léaud). Sa belle-mère, donc. Mais comme elle n'a aucun d'état d'âme, elle va l'attirer dans son lit. Celui de son père, donc. Mouais. Tout cela manque cruellement d'originalité. Et de cette intensité qui fait les grands films.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 3 août 2007
    Petit film pas désagréable mais qui ne laissera pas de souvenir impérissable.
    Jean Pierre Léaud fait du Jean Pierre Léaud, Judith Godrèche fait du Judith Godèche (même s'ils font ça très bien) et Thomas Langmann est charmant mais ils peinent tous les trois à nous intéresser à leurs personnages.
    L'esthétique des images renvoie bien à la situation déprimante mais sans révolte de la vie de ces banlieusards aux rêves étriqués.
    La fin laisse un gout d'inachevé. Sans rire, j'ai même cru quelques instants que mon antenne avait un problème et que j'avais perdu l'image.
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