Derniers Avis sur Les Blancs ne savent pas sauter

Film de tchatche avec en toile de fond de l arnaque et du basket de rue « les blancs ne savent pas sauter » transpire les années 90 par toutes ses pores. C est flashy, souvent de mauvais goût mais sans arrière pensée ou cynisme. Le film repose avant tout sur son duo Wesley Snipes Woody Harrelson qui fonctionne bien. Rien d’extraordinaire mais son côté capsule temporelle et est amusant.

Un très bon film comique et culte de Ron Shelton avec Woody Harrelson , Rosie Perez et Wesley Snipes sur le basket-ball.

Superbe film vu et revu avec deux grands acteurs vraiment excellent je conseille ce film pour les amateurs de basket et mêmes, autres personnes

Ce film, réalisé par Ron Shelton et sorti en 1992, n'est pas mal du tout ! Je ne partais pourtant pas vraiment confiant car, même si c'est le film culte de toute une génération, je ne suis pas vraiment fan de sport. Et donc, je voyais plutôt d'un sale œil un film sur le basket. Seulement, il n'est pas ici question que de basket ; un peu comme dans "Space Jam" (oui, la comparaison est foireuse), le basket n'est finalement qu'un contexte dans lequel évoluent des personnages. Et là, le film s'aligne un peu plus sur la mode des films de quartiers américains, très à la mode dans les années 90, comme par exemple "Boyz'n the hood". On retrouve en effet ici un quartier populaire de Los Angeles dans lequel évoluent principalement des afro-américains. Sauf qu'un Blanc va pointé le bout de son nez et va finir par faire équipe avec un Noir pour participer à des tournois de basket de rue. Bon, ce n'est pas un scénario de haut vol, ce n'est pas aussi dramatique et sociétal que "Boyz'n the hood", on est plus ici dans la comédie légère mais on retrouve en tout cas les codes du film précédemment cité mais surtout son ambiance ! C'est en effet un film de son époque et c'est je pense ce qui lui donne du charme aujourd'hui. D'ailleurs, je ne sais pas ce que donne le remake sorti récemment sur Disney+ mais c'est généralement le genre de film justement impossible à remaker car c'est avant tout un produit de son époque. On retrouve en effet une certaine manière de filmer, notamment avec ces ralentis etc. aujourd'hui très kitsch, mais également la mode et les musiques de l'époque, tout simplement ! Concernant les acteurs, nous retrouvons principalement Wesley Snipes et Woody Harrelson qui jouent très bien. "Les Blancs ne savent pas sauter" est donc, encore une fois, un pur produit de son époque, ce qui lui donne aujourd'hui un certain charme qui nous permet d'oublier un scénario relativement creux.

Vu a l'instant, parce que j'ai vu pleins de vidéos via fb et surtout qu'il vient d'y avoir un remake semble-t-il...
Le 1er du nom est sympa et vaut surtout pour le duo

Pour la sortie du remake de 2023, je découvre le film original 30 ans plus tard. Et malheureusement, je le trouve assez moyen et oubliable. L’idée est simple mais le scénario est trop prévisible et la réalisation est un peu trop molle.

Très simplement, la réalisation est vraiment ennuyante dans le sens où le film contient pas mal d’action, de course poursuite, de basket et excepté les matchs de baskets, la mise en scène est lente et désagréable à suivre. Le montage est assez rapide mais que pendant un petit ⅓ du film ; c’est donc assez frustrant. Par contre, il faut tout de même noter que la musique est plutôt chouette et colle avec l’image. En clair, la mise en scène est assez cool mais reste clairement timide dans ses attentions.

L’idée de départ est vraiment très drôle ; après, je trouve que tout ce qui entoure le film est soit caricatural, soit trop prévisible. En effet, les joueurs de basket dans les rues de la ville sont tellement clichés que ça devient presque gênant et les histoires d’amour, d’arnaque et de dettes sont trop clichés. On sait tous comment le film va se terminer. Par contre, les deux personnages sont assez attachants à la fin du visionnage. En fait, le tout est un peu prenant grâce à la narration simple mais efficace.

J’imagine que c’est un film culte qu’il faut probablement avoir vu donc je le conseille rien que pour la culture.

un film culte, des acteurs au top, des joueurs en forme une comédie qui fait du bien.
la pop culture en ébulition.

Que de nostalgie en revoyant ce film, les premiers rôles marquants des 2 acteurs principaux, les dialogues sont savoureux et très drôles pour de l'humour Américain of course.

Vu en 1992 avant l'avènement des nouvelles technologies médiatiques, les passionnés de Basket ne suivaient leur sport favoris qu'au travers des 2 magazines papiers Français dédiés à ce sport.

Quasiment rien à la télévision, ce film arrivait comme une loupe sur ce sport qui depuis s'est largement médiatisé.

Comédie écrite et réalisée par Ron Sheldon, Les Blancs Ne Savent Pas Sauter est un film plutôt moyen. L'histoire nous fait suivre deux hommes qui vont s'allier afin d'affronter d'autres adversaires dans des matchs de basket urbains en deux contre deux, avec pour objectif de gagner de l'agent venant des paris qu'ils placent sur leur victoire. Si la première demi-heure est sympathique, on se rend vite compte que ce scénario tourne en rond et est extrêmement redondant une fois passé l'effet de découverte. La faute aux près de deux heures de bobine alors que le film ne méritait pas plus d'une heure et demi générique compris tant il y a peu de choses à développer. L'histoire se laisse tout de même suivre mais l'enjeu et l’intérêt ne sont hélas pas de la partie. La grande force du long-métrage vient de son duo d'acteurs qu'il met en scène, à savoir Wesley Snipes et Woody Harrelson. Les personnages qu'ils incarnent se provoquent constamment et une belle complicité se créer entre ces deux énergumènes plein d'énergies même si parfois ils sont presque fatigants tant ça ne s'arrête jamais. Les autres rôles qui les entourent sont plaisants hormis celui incarnée par Rosie Perez qui est à la limite de l’insupportable. Les cris et les larmes de Gloria sont épuisants et malheureusement elle est assez souvent présente à l'écran faisant de ses scènes des moments peu agréables. Du coup les relations qu'entretient tout ce beau monde sont en demi-teinte à cause de cette dernière. Heureusement les dialogues incisifs, explicites, provocateurs et grossiers décrochent pas mal de sourires même si là encore, les punchlines finissent par s’essouffler et user au fil des minutes. L'ensemble est convenablement mis en scène, offrant des matchs dynamiques dans des lieux assez quelconques. On ne peut pas dire qu'esthétiquement le film soit très attirant même si son ambiance est une de ses plus grande réussite, notamment grâce à la b.o. très plaisante qui donne pas mal de rythme. Reste une fin assez neutre manquant un peu d'idée, à l'image de cette histoire peu convaincante. Vous l'aurez compris, Les Blancs Ne Savent Pas Sauter est un film correct qui fini par lasser même s'il possède quelques qualités.

Quelle déception car Ron Shelton a écrit et réalisé de grands films mais celui-ci n'en fait pas partie. Les séquences d'action font paraître le basketball assez excitant et le dialogue sur le terrain est rapide, vif et drôle. Malheureusement en dehors du terrain les personnages principaux sont généralement irritants. J'avais très peu de sympathie ou de respect pour les personnages joués par Woody Harrelson et Rosie Perez. Je ne pouvais pas me soucier de ce qui leur arrivait alors mon attention s'est portée sur la fin du film. En plus il y a une intrigue secondaire impliquant des gangsters collecteurs de dettes qui n'est pas du tous convaincante...

Plutôt sympa, parfois très drôle (genre la première séquence) et le duo Snipes-Harrelson fonctionne à merveille, mais je trouve que le film se répète beaucoup en plus d'user de facilités pour dérouler son scénario (la scène du Jeopardy qui sort du chapeau), ça fini par tomber à plat.

C'est l'heure de ressortir les Reebok Pump du placard ! Ah, la bonne vieille époque des blagues "ta mère" et des insultes racistes à tire-larigot ! Il y a de la nostalgie dans "Les blancs ne savent pas sauter", c'est indéniable, que ce soit dans les styles vestimentaires, dans ces joutes verbales, dans ces terrains de basket urbains qui étaient toujours occupés dans ces années etc... Wesley Snipes & Woody Harrelson mettent au point une petite combine pour gagner des paris au basket. Ce que l'on retiendra avant tout, c'est ce duo black & white plutôt marrant qui se taille continuellement, et ces gestes techniques réussis lors des matchs de basket. La culture street passe aussi par là !

Ron Shelton réalise en 1983 le film "Les blancs ne savent pas sauter" que je viens de visionner. Selon moi, c'est un film plutôt bien réussi dans l'ensemble quand l'on connaît les moyens de l'époque. Comme dans tout film de sport qui se respecte, le film va revendiquer pas mal de bonnes valeurs morales et avec "Les blancs ne savent pas sauter" on n'y échappe pas, par exemple : ne pas être trop sur de soi, ne jamais rien lâcher, la solidarité, ne pas sous-estimer son adversaire, etc... avec en plus, les scènes de sport qui sont très bien faites et sont assez spectaculaires. On va également trouver une critique du racisme qui, quand on voit l'affiche du film, on ne peut que s'en douter tout en humour. Woody Harrelson et Wesley Snipes (qui jouent les 2 héros) jouent assez bien, toutefois ils vont parfois manquer de crédibilité car ils sont parfois un peu trop naïf. Ce film n'est pourtant pas parfait (même si on prend en compte le manque de moyen de l'époque). En effet, avec un scénario pas super original et pas super complexe ; une fin et certains évènements pas trop crédible, notamment avec les criminels ; et avec une interprète de Gloria (Rosie Perez) qui n'est pas vraiment convaincante dans son jeu d'acteur le film est quelques peu décevant et pourrait être bien mieux mais est déjà pas mal du tout.

Des barres!!! Ce film est trop marrant, je trouve l'histoire va parfaitement avec et chaque personnage a une personnalité vraiment!!
Un bon classique surtout pour les fans de basket

Harrelson (quand il avait encore tous ses cheveux) et Snipes dans une comédie de bouffons autour du basket de rue, une pratique qui dépayse de notre côté de l'atlantique mais dont la répétition ici nous gave rapidement.

Autant dire que ça ne vole pas haut et que ça s'étire en longueurs de plus en plus hystériques tandis que ça tchatche, ça se vanne, ça se traite de tous les noms et que ça combine des magouilles à la petite semaine tout en s'accrochant au panier, sauf Woody qui n'y arrive pas parce qu'il est blanc et que les blancs ne savent pas sauter (?!).

C'était le message de ce film de boulets, merci d'avoir regardé (on est pas obligé de regarder jusqu'au bout non plus : le fouteballe passe pour un sport d'intellectuels raffinés en comparaison du bassequette... quoique ! à quand un navet sur le handeballe pendant qu'on y est ?).